FBI

Program ou Top Ten Holdum (THP) : 149, 169, 172, 446, 453
    Top Echelon Informant : 449-450, 457, 462, 469, 480, 484, 645.
    Toplev : 529.
    Unabomber (« University Airlines bomber ») : 620-621, 705.
    Venona : 12, 80, 108, 110-111, 114-116, 119-121, 127.
    Windflyer : 559-560.

REMERCIEMENTS
     
    Cet ouvrage ne serait pas ce qu’il est sans l’aide d’agents et d’anciens agents du FBI. Ils sont trop nombreux pour êtres remerciés individuellement ici. Le lecteur trouvera cités une partie d’entre eux dans le « Who’s Who » . Nous conservons un souvenir tout particulier de nos rencontres avec Cartha DeLoach, ancien numéro deux du Bureau de J. Edgar Hoover ; il est le premier à avoir répondu à nos questions, en allant aussi loin qu’il le pouvait, sans jamais dénigrer le Bureau. De tous les anciens responsables du Bureau, celui qui nous a le plus impressionné est sans conteste Neil Welch. Nous ne sommes pas près d’oublier la gentillesse de son accueil et sa patience face à notre ignorance. Nous tenons également à remercier plus spécialement Tony Daniels, John Burke et Charles Rooney qui nous ont mis le pied à l’étrier. Nous avons bénéficié de l’aide de l’organisation des anciens du Bureau, Craig Dotlo en tête : à lui et au service historique de l’Association vont nos plus chaleureux remerciements.
     
    Le service des relations publiques du Bureau nous a fait confiance, nous accordant des accès réservés à quelques privilégiés. Toute notre gratitude va au directeur du FBI, Robert S. Mueller, à John Miller et à John Fox qui ont accepté de répondre à nos questions, ainsi qu’à Susan T. McKee et à Ernest Potter pour leur aide. Nous avons rencontré de nombreux agents du Bureau en poste d’un côté à l’autre des États-Unis, de Boston à Billings, dans le Montana, ainsi que certains de leurs futurs collègues à l’Académie du FBI de Quantico. Merci à eux pour leur patience et la chaleur de leur accueil.
     
    Nous avons bénéficié du soutien et de l’aide d’une poignée de journalistes et d’enquêteurs américains. Notre plus vive gratitude va au plus généreux d’entre eux : Dan Moldea, journaliste d’investigation hors pair, ainsi qu’à Jeff Stein et à Bob Parry. Merci également à Emmanuelle et à Izidóra Richard qui ont trouvé le temps et l’énergie de nous aider, ainsi qu’à Suzanne Richiardone.
    Au départ de notre enquête, il y a Maha , maison de production française qui s’est distinguée, entre autres, pour ses films sur la Justice américaine. Ses responsables nous ont fait confiance et nous ont donné les moyens de mener à bien une entreprise qui n’était pas sans risques pour eux. Nous tenons à remercier tout particulièrement Denis Poncet, Jean Xavier de Lestrade, Mathieu Belghiti, Julie Pouillon et Lisa Ababsa. Merci au pôle documentaire de France 5 qui nous a permis de nous lancer dans cette aventure, et tout particulièrement à Carlos Pinsky et Barbara Hurel.
    Sans l’aide amicale du plus impitoyable des lecteurs, ce livre ne serait pas ce qu’il est : merci donc à Claude Durand, aux deux Sophie (Kucoyanis et Burdet), à Hélène Guillaume, à Chantal Marion, à Olivier Nora et à l’équipe de Fayard, ils n’ont pas ménagé leurs efforts afin de nous épauler.