Aliénor d'Aquitaine

Principalities », New CMH , 3, chap. 16
    I - Parsons, Eleanor of Castile : Queen and Society in Thirteenth-Century England , p. 6.

    II - Brown, dans « Eleanor of Aquitaine : Parent, Queen, Duchess », nous donne l’exemple le plus marquant d’histoire psychologique ; on peut aussi citer Duby et son article « Les “jeunes” dans la société aristocratique dans la France du Nord-Ouest ».

    III - Barber, « Eleanor of Aquitaine and the Media », p. 26. Voir aussi Bynum, « Did the Twelfth Century Discover the Individual ? », p. 82-109.

    IV - Fox-Genovese, « Culture and Consciousness in the Intellectual History of European Women », p. 536.

    V - Galbraith, « Good Kings and Bad Kings in English History », p. 119-132.

    VI - Owen, Eleanor of Aquitaine : Queen and Legend , p. 108.

    VII - Une chronique de la croisade deLouis  VII écrite par son confesseur fut révisée après le divorce d’Aliénor avec leroi de France afin d’en effacer toutes les références à la duchesse. Voir Eudes de Deuil , p.  xxiii , note 67.

    VIII - Historia Anglorum : The History of the English People d’Henri de Huntingdon († 1156) mentionne seulement son divorce et son remariage, p. 756-759. À propos de l’« âge d’or » de l’historiographie médiévale anglaise, voir Gransden, Historical Writing in England c. 550-1307 ainsi que Smalley, Historians in the Middle Ages .

    IX - Concernant ce groupe, voir Turner, « Eleanor of Aquitaine, Twelfth-Century English Chroniclers and her “Black Legend” », p. 17-42.

    X - Farmer, « Persuasive Voices : Clerical Images of Medieval Wives », p. 519.

    XI - Koziol, « Political Culture », p. 63.

    XII - Huneycutt, « Female Succession and the Language of Power in the Writings of Twelfth-century Churchmen », p. 189-191 ; voir aussi Bandel, « English Chroniclers’ Attitude toward Women », p. 113-118 ; et Stafford, « The Portrayal of Royal Women in England, Mid-Tenth to Mid-Twelfth Centuries », p. 143-167.

    XIII - Ce sont les propres documents d’Aliénor, qu’il a fallu attendre la fin du xx e  siècle pour voir rassemblés et édités. Ils seront bientôt disponibles dans une collection unique relevant du projet « Acta of the Plantagenets », dirigé par Sir James Holt : The Acta of Eleanor of Aquitaine and of Richard Duke of Aquitaine and Count of Poitou , Oxford, Oxford University Press, à paraître.

Remerciements
    Il y a de nombreuses années de cela, lorsque j’arrivai à Poitiers en tant que boursier Fulbright, j’étais loin d’imaginer que j’écrirais un jour une biographie sur la femme la plus célèbre de cette ville, Aliénor d’Aquitaine. Cette année à Poitiers m’ouvrit tout un univers et m’amena à poursuivre une carrière de chercheur centrée sur les rois angevins, les premiers Plantagenêts de la couronne d’Angleterre, et sur Aliénor, épouse d’Henri  II .
    Grâce à Sir James Holt, fondateur du projet « Acta of the Plantagenets » à l’université de Cambridge qui s’attache à rassembler et éditer les chartes d’Aliénor de même que celles d’Henri  II et deRichard I er , les spécialistes d’Aliénor peuvent désormais se référer à ses actes qui n’étaient pas facilement disponibles auparavant. Il m’aurait été impossible de rédiger cet ouvrage si les participants de ce projet ne m’avaient généreusement permis l’accès à cette somme de documents. J’ai été également tributaire du travail mené par Marie Hivergneaux, dont les études doctorales en France ont été axées sur les chartes d’Aliénor. Je suis très reconnaissant à Martin Aurell, professeur au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, à l’université de Poitiers, d’avoir organisé une série de conférences sur les Plantagenêts et leur univers, réunissant des chercheurs tant francophones qu’anglophones, et de m’avoir témoigné son amitié et ses encouragements pour ce projet. Deux conférences organisées par les historiens médiévistes de l’université d’East Anglia sur les roisJean sans Terre etHenri  II m’ont également fourni l’occasion d’avoir des échanges fructueux avec mes collègues sur les règnes de ces deux monarques.
    Tout biographe d’Aliénor, qui a fait l’objet d’innombrables études, se doit bien entendu de reconnaître l’apport des travaux d’érudition antérieurs. Je me sens particulièrement redevable au