Aliénor d'Aquitaine

docteur Jane Martindale, sans doute aujourd’hui l’autorité anglophone en ce qui concerne l’Aquitaine des xi e et xii e  siècles. Les analyses exposées dans ses communications et ses nombreux articles m’ont été d’une aide inestimable pour comprendre Aliénor et son milieu poitevin. Les biographies érudites de Jean Flori sur Aliénor et son filsRichard récemment publiées en France m’ont aussi été très utiles. Emily Amt a eu l’amabilité de lire mes chapitres qui traitent du rôle d’Aliénor en tant que reine d’Angleterre et de me faire part de ses suggestions. D’autres collègues et amis ont partagé leur travail avec moi, m’offrant leurs conseils et m’adressant une copie de leurs communications ou de leurs articles. Je souhaiterais citer Martin Aurell, George Beech, Maïté Billoré, John Gillingham, Marie Hivergneaux, Lois Huneycutt, Sara Lutan, Georges Pon, Daniel Power, Ursula Vones-Liebenstein et John W. Baldwin, mon fidèle ami et mentor. Heather McCallum de Yale University Press UK m’a quant à elle apporté son indéfectible soutien et ses constants encouragements durant l’écriture de ce livre.
    Au fil des années, le département d’histoire de la Florida State University (FSU) m’a donné l’occasion de me mettre en disponibilité et m’a octroyé des bourses de voyage pour mener des recherches qui ont approfondi mes connaissances sur les premiers Plantagenêts. La Strozier Library de la FSU continue à me fournir des ressources utiles. J’ai également effectué des recherches dans d’autres bibliothèques, à la fois aux États-Unis et au Royaume-Uni, notamment à l’Institute of Historical Research de l’université de Londres, de même qu’en France au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, à l’université de Poitiers.