Dernières Révélations sur les Templiers

disparus par usure, par abando]' ou par destruction 1
    y a une autre explication, car rien ne se crée de rien.
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    mystères temple
    il faut qu7il y ait eu un tour de Passe-passe 1 -Une dissin-ligation de richesses.
    De richesses h es-
    je voudrais me laver gyun
    Avant de Poursulvre3 ;,Celui de confondre civi-
    reproche que je sens venir
    - et plus spécialement conslisation et construction truction religieuse. ct que comme signe d'un "état s je dai pris cet aspe . éest le plus valable général. B en est d'autres., D=
    socialement.
    Un écrivaii4 un sculpteur., un peintre ne nous e plus qu7,ux-.êmes. on peut, évidem-livrent guèr eignements sur son époquement., en déduire des rens
    Ainsi., Picasso laissera l'image., très juste> douce époque qui vit le nez près de roreille et en chaos disharn@iose demander si ce nique, mais lon pourra tou),)un
    n'est pas seulement la "Vision e qu7a Picasso de son époque. faire Et un hon=e admirable peut Parfaitement
    une oeuvre admirable au @eu de la plus franche
    barbarie.
    I.!Ifistoire ne nous renseigne guère mieux3 ayant toujours été écrite subjectivement.
    . n, elle, donne déjà> fi=@diatement2@
    La constructio
    des renseignements sur le niveau technique des cons-, ion., sur le niveau des gens tructeurs etj, par extens
    auxquels la construction est destinée.
    de niveau de vie.
    ne eagit évidemment Pas
    niveau de vie est question d7habitudes., voire de modeste 64
    La mystère des Wgines
    Peu d'ouvriers actuels accepteraient le niveau de vie de Descartes. En inférer que Descartes était sousévolué serait exagéré.
    Seul l'édifice religieux peut renseigner à la fois et sur les constructeurs et sur ceux pour lesquels il a été conçu. Cela est particulièrement vrai pour les édifices chrétiens et musulmans; ces religions étant " populaires
    " et non réservées aux seuls initiés comme le fut la religion égyptienne, par exemple.
    L'important, en ioccurrence, eOEt que la cathédrale est l'église de la cités eest-à@e queue est élevée à des fms démocratiques, et que cette cathédrale est aussi savante, et plus encore que les abbatiales destinées aux seuls moines.
    C, est une extension due aux " promoteurs o créés pour celae c'est-à-Wre., entre autres., à l'Ordre du Temple.
    Pour n'être pas aussi évidente, parce que les traces n'en sont pas demeurées, cette promotion laîque S'étendait également à l'agriculture et au commerce., Y COMPris celui de la monnaie, à l'artisanat qui en découle, à l'éducation qui en dépend.
    Par cela,, le Temple s'inscrit comme l'instrument d'action d'une " lignée "
    qui le préparait depuis les temps des invasions.
    Le Temple est issu de Cîteaux, comme celui-d était issu de Cluny., lui-même aboutissement d'Aniane; Wllvergence des voies bénédictines de Fleury et des 65
    Les mystères tetnpliers
    voies du christianisme celtique de Saint-Colomba Il semble bien que les historiens aient été quelqi peu obnubilés, dans leur étude du phénomène "
    Ter plier ", par cette garde des routes pèlerines par ne chevaliers. Es veulent y voir l'origine, au lieu de chc, cher cette origine là o˘ elle se trouve, eest-à@e sîx
    cents ans auparavant
    A Subiaco et au mont Cassin.
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    La lignée
    Avant même que les barbares aient détruit Rome, les Jufs avaient aPPorté
    d'@ent une révélation.
    La @n POU]R laquelle ils J'avaient U=mise et "usage qu'@s en CO@ptaient Lire importe p,, Il y
    a toujours des marchands dans le Temple, et @t
    Paul lui-même disait - ou on le lui f
    Puisque le
    It dire - que,
    nation Peuple juif apportait à Rome cette révé.e il ','était que justice que Rome aid‚t de ses
    bims ceux qui l'aràent apportée.
    IA révélation nden valait pas moins
    érents.
    et Peu de gens Y @t indiff pour autant @, avec les i.@o,., subm@ Ipempire ro 'me barbarie quasi totale Alors apparaît un homme assez e=or@e.

    Il a no@ Benoît. Ben de Nurcie. Cest un Sabin.
    -noît
    n2t en 480. Il se fait @te @ dm tou, s
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    IL
    Les mystères tempes
    désordres des invasions et des luttes partisanes, se livre seul à la méditation.
    Le bruit de sa sainteté se répand; des disciples accourent; ce qui, tout de même, signifie que cet ermite a des rapports avec le monde et, probablement, qu'il enseigne. Il organise une communauté. Il lui donne une règle toute de mesure, d'intelligence et de largeur.
    Par-delà les sectes, il ouvre les portes de son monastère, sans distinction, à qui vraiment cherche Dieu. Et il