Dernières Révélations sur les Templiers
d'assurer la continuité de la tradition oeuvrière; et cela par cette partie de la règle qui concerne le travail manuel@ obligatoire.
Cette règle du travail manuel persista au fur et à mesure que l'Ordre s'étendait. Une Patiente recherche des traditions, un savoir mathématique sans cesse perfectionnés pe@ent aux Moines de Saint-Benoît de retrouver et de transmettre une connaissance " initiatique " des métiers.
Mais ce savoir ne pou@t pas demeurer monacal Il fallait le laîciser. Mais les laîcs., des vilainsj étaient @s Protection Contre la " classe dirigeante ". Le tour de Passe-vasse fut la création de " frères Ms "., non reli@eux - '
mals appartenant cependant à l'Ordre; c'està@e vivant comme des laîcs -
jusqu'à un certain Point - mais pouvant se réclamer de leur appartenallce cléricale pour n'être ni réquisitionnés ni molest@ Par les seigneurs ou les évêques. Et pouvant se
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Les mystères tempilers
déplacer sous le couvert de l'Ordre, et peut-être même sous son habit.
Ces artisans, artistes et maîtres paraissent bien être demeurés sous la protection de l'Ordre bénédictin jusq¸'à ce que leur sécurité et leurs franchises pussent être assurées par un autre ordre, qui sera celui des Templiers.
Tous les constructeurs de ponts du Moyen Age et la construction des ponts présentait un intérêt capital pour la civilisation -, connus sous le nom de
" Frères Pontifes ", étaient sous la rèee bénédictine.
Déjà sous Charlemagae, leurs maîtres doeuvre et leurs maçons tailleurs de pierre avaient acquis assez de virtuosité et de savoir pour qu'…
d;historien et abbé de Jumièges, ait pu construire, en style b@ tin, la chapelle de Charlemagne à Aix-la-Chapelle, et la construire assez solidement pour qu'eue p˚t défier le temps jusqu'à nos jours.
IU est parfois angoissant de se demander s Benoît de Nurcie fonda son monastère d Cassin et entreprit son oeuvre recivilis ne concerne pas seulement le " b‚timent " - il savait déjà que celle-ci produirait Chartres. quelle volontés précise et s˚re, et savante, a ainsi dirigé tout un monde pendant plus de huit cents ans, et peutau-delà ?
quelle volonté précise, en effet, car, en terre d' cident la science grecque et les connaissances roma et byzantines étaient insuffisantes.
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La lignée
Or., saint Benoît état mort en 547@ Sept ans après la naissance de saint Colomban. A la Chrétienté, saint Benoît gardait un tr @
Chrétienté, saint Clom esor classique; @a cette même tique.
ball allait livrer le trésor cel-
Saint Colomban était un chrétien dirlande. LIrlande était venue très to-t au christianisme et., vraisemblablement, sais les ˘npositiolis plus ou moins
brutales des empereurs romains-, puis des barbares nommément chrétiens, il en aurait été de rne-me dans tous les pays du celtisme druidique. On peut bien dire que les chrétiens de Rome et les chrétiens de Clovis ont dégo˚té
la Gaule du christianisme.
LIrlande n'a connu ni Rome ni les barbares, et cela explique son acceptation sans heurt du cmstianisme.
On 'le sait Plus grand-chose des Druides, mais leur facilité à accueillir une certaine forme de christianisine semble les situer., spirituellement très près de celui-d- Rien ne les a heurtés dans la ré
Veue, qu'ils attendaient d'aW vélation nou@%
eurs avec le changement d ère : ni l'unité divine, ni le Dieu incréé
englobant l'Univers en toutes ses formes> ni la Divinité en trois Personnes., ni le Dieu né d'une Vierge (Merlin est né d'une Vierge)., ni le Dieu incarné., ni l'homme divin r"S el' croix., ni la résurrection, ni limmortalité de l'‚me qu'ils enseignaient déjà.
N'est-oe pas saint Benno qui., à son heure dernière 89écriait : "je vois la Trinité
I)rWdes, et les saints... s et Pierre et Paul., et les Les mystères templters
La Celtique entière, derrière ses Druides, se précipita vers le christianisme. Mais déchanta rapidement dès que le christianisme, dans les mains des rois germains et de leurs évêques, devint un instrument de servage. L'Irlande qui avait échappé à la conquête romaine, puis aux conquêtes barbares demeura chrétienne mais, si l'on peut dire ainsi, "
draidiquement ".
" Saint Kertigern@ dit un auteur an@., reprit plusieurs traditions druidiques et sembla, un temps, ' gir
d'une façon toute druidique... "
Le même auteur décrivait le roi D@uid Mac Caerbhail (528) con=e demi@de demi@étien.
E n'est donc pas
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