Dernières Révélations sur les Templiers
scindé en différente ' la Milice et ent et l'Occident.
une armée au combat; en organisation monacale, dont mem sont armés> niais seulement pour
défendre. Ils ne Participeront à aucune bataille ni 9lerre en Occident> sauf@ évidemment contre les AlusulMms dEspagne et de Portugal. Cependant, 53
Les mystères temple
un incessant courant d'hommes et de subsistances S'établit entre l'Orient et l'Occident, et dans la plus parfaite harmonie, semble-t-il.
Une question s'impose : comment l'Ordre aurait-il pu être organisé en Occident si l'on s'en tient, comme le font généralement les historiens, à
sa création par les seuls premiers chevaliers?
Il est, en effet, évident, que l'Ordre ne s'organise pas peu à peu mais bien d'après un canevas établi. Le recrutement que font Hugues de Payns et ses chevaliers après le Concile de Troyes leur fournit des miliciens ., mais non point des administrateurs. quand Hugues repart en Terre sainte organiser son armée, en I130, il n'a matériellement pas eu le temps ni les moyens d7organiser les neuf provinces occidentales.
Il laisse bien, quand il part, Payen de Montdidier comme t Maître en France b et, selon Marion Melville., GeofEroy Bisot en Languedoc; mais les autres provinces? Faut-il croire que des hommes désignés étaient déjà prêts à les prendre en main? Mais alors, force est d'admettre que l'Ordre était déjà
secrètement constitué en Franoel et que ses buts et ses moyens étaient prévus de longue date.
On en pourrait tirer la preuve dans le fait que des donations ont été
faites avant la constitution de l'Ordre, avant le retour des neuf chevaliers.
Le ig mars II28, déjà, la reine Marie de Portugal 54
Les @ de l'ordre
donnait à l'Ordre du Temple le ch‚teau et l'honneur de Soure sur le Mondego.
Il ne S'agissait pas de " bénéfice " qui eussent pu alimenter les " pauvres
" gardiens des routes Pèlerines de la Terre sainte., mais bien de territoires à o et à occuper.
De même la donation faite, en 1127., par Foulques dAnjou d'un terrain Près dAzayrur-OEer.
Au reste., l'abondance des dons montre assu claient qu'une campagne est entreprise - et non par les chevaliers qui ne sont pas sur place - pour les faire bénéficier de ces territoires que l'on organise sans doute pour eux.
Il ParaIt évident que tout S'installe selon un plan eme u
préalable. L'Ordre sait m 0, il doit se tenir. En II28@ le Temple change., avec l'abbaye cistercienne de Vaulusant., un terrain sis à Cérilly., contre un autre à COulours,,
"parce qu'il était plus à leur convenance o 1
@ chevaliers, qui gardèrent les routes Pèlerines Pendant neuf ans@ auraient donc su, dès leur retour., les t qui seront le plus " à leur convenance
Et ils avaient donc une " convenance 1) pour lieux de France; cette commanderie de Coulours semble d'ailleurs avoir été
la demeure des précepteurs de France, dont le sceau portait : secretwn tempu (retraite du Temple, sans doute) entourant un sym_ bole gnostique.
Forcé est bien d'admettre que le Temple @te avant sa fondation officielle; qu'il a été voulu., conçu et préparé. Et il est évident que saint Bernard est
U.
de ses maîtres., sinon le Grand-Maître.
Les mystères templwrs
Mais rien ne prouve qu7il le soit en tant que cistercien. Le Temple@ en effet., ne semble nullement "soumis " à Cîteaux. Le serment du Maître de Portugal nomme les Cisterciens : " nos compagnons "., ce qui suppose seulement qieils poursuivent un même but; et, au reste, lors de la croisade contre les Albigeois., ils se sépareront de rArnaud-AmaurY de cîteaux, mm toutefois prendre parti contre lui.
Faut-il penser, alors, qu'il existe une " direction supérieure" qui., depuis des siècles, aurait préparé et mené toute r" affaire " et aurait "
dirigé s les têtes pensantes des Béné&ctinss des Cisterciens et des Templiers?
Tout ceci demeure plein de mystère.
5
Le mystère des origines
Le mystère est-il si profond?
De sorte ou d'autres l'Ordre du Temple est lié intimement à trois sortes d'entreprises humaines : la culture, le conunerce et la construction religieuse.
Mais il est évident qu'en tout cela saint Bernard lui transmet un flambeau.
Il lui donne., en quelque sorte, mission de laÔciser et d'étendre ce qui était, jusque-là, du domaine purement monacal.
Il s'agit donc d'une mission sociale : nourrir les hommes, les protéger., développer leur commerce et leurs relations et., enfin, leur construire Ij'
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