Dernières Révélations sur les Templiers
piller. Leurs constructions ne seront que guerrières : forteress pour défendre le butin.
Et cela, jusque vers l'an mille et au-delà.
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Le mystère des origines
Les disettes succédant aux fanlines, l'oppression aux destructions et les destructions à l'oppression, les Paysans, les vilains, sans avenir5
désespérés., se constitueront en bandes Pillardes qui aggraveront la misère.
La qualité de l'artisanat (sauf rarissimes exceptions), la qualité de l'agriculture tombent à rien. il n, est Plus., en aucune façon, question de transmettre em
un savo@ me e manuel@ qui n'existe plus dans le peuple ni dans les "
classes dirigeantes @>.
Il y a bien la nouvelle religionedtans les doctrines qde laquelle les Celtes nont pas
uelque chose qui " parle " à leur mémoire de race ère, ' é sans retrouver la Vierge M' la Pierre de l'Autels le Dieu fait
homme, l'immortalité de l'ame
. le sacrifice avant la renaissance. Les symboles, aussi : la trinité, la croix., le collège des douze.
Mais très vite., son clergé séculier deviiit un insmment entre les mains des dirigeants.
Clovis a jugé que Soissons et Paris valaient bien une messe., mais il n'entendait pas que la messe f˚t gratuite. Il entend que oe soit lui et ses vassaux qui ilomment les évêques, et bien entendu., dans leurs Propres f@es... Il ferait beau voir qu'uri Gaulois.,
un serf u ep
., un vilain pet accéder à la dignité , iscopale.
Cette politique se perpétuera jusqu'à la Révolution à de bien rares exceptions pr%es.
Jamais monde n'a été Plus long à civiliser que la Société féodale 1
quand elle commence à s'organiser - mal, et sur le dos du peuple - les invasions sarrasines, puis normandes remettent tout en question.
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Les mystères templi£rs
Et puis, voici qu7aux envàons de l'ai mille-, tout change soudain.
…coutez ce que dit Raoul Glaber., nioine de Saint-Bériigne de Dijon '
" Au moment o˘ allait i?ouwk la troisième année après le millénaire., en se mit@ dans toute la Chr& culièrement @n Italie et dans les Gaules., e
tienté et Parti mêne celles qui n7avaient à renouveler les églises- cées., les chrétiens les rempas besoin d'être relnp que le plaçaient par d'autres plus belles. B semblait inonde e˚t secoué la poussière de sonvieux vêtement pour revêtir Partout la robe blanche de ses jeunes églises... b de constructeurs de Avant l'an mille., peu ou pas
talent. Sauf quelques édifices., assez netternent b@ tout ce qui a été
conservé jusqu7à nous est assez tins,
misérable et grossiers eépanouit avec une Après l'an mille, le rolna"
extraordinaire puissance. é qieil existait En l'an miuei on a dénombr
i log abbatiales ror=es dont la presque totalité avaient été construites depuis 95o et reiaites après l'an mille. On en construira encore 326 au xle siècle,
et 702 au XIr-
s@agit pas là de petites b‚tisses;.durant Et il ne SIMOut. Il y a parnu ces ab deux derniers siècles Charité-sur-Loire5
tiales celles de ClunY,, de la abbayes aux horm Tournus5 de j@èges5
les deux
et aux femmes de Caen...
U est tout de même étonnant qieon trouve 'Ou
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Le Mstère dei origine
non seulement le nombre d'artisans et d'artistes nécesS*es, mais aussi, raais surtout le nombre de maîtres d'oeuvre capables de penser une basilique, de la penser matériellement et intellectuellement, et spirituellement.
Entre l'an mille et l'an i3oo, en France, toutes les cathédrales, églises et abbatiales de quelque importance ont été construites. En trois cents ans 1
Presque toutes ont été construites et reconstruites plusieurs fois...
Méditez, si vous le voulez, sur le fait que, depuis le me siècle, en six cents ans, il n'a pas été construit, en France, beaucoup plus de cinquante monuments d'une architecture de qualité; encore s'agit-il surtout de ch
‚teaul
je crains bien qu'on n7en trouve pas un seul dituis cent cinquante @ malgré
l'existence d'une " Pmle Nationale des Beaux-Arts *.
Alors, combien de générations de maçons, de tailleurs de pierres, de charpentiers faudrait-il pour pro. duire des " têtes de files * capables de faire l'équivalent de Chartres ou d'@ens?
Et tout cela semble., chez ces maîtres dceuvre du Moyen Age -
obscurantiste, comme l'on sait comme une science infuse et soudaine.
Génie? Alors, calculez combien il a fallu de génies " de la construction pour élever la flo@n d'immenses b‚timents que nous connaissons actuellement. Et de tous ceux
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