Dernières Révélations sur les Templiers
de cette Loi de ]!Univers-
On sait qu7il y eut transmission des clés de cette loi S.
quoi l'homme ordinaire n'e˚t jamais progressé*
du danger de transmettre des possibilités mais., à cause de puissance à des êtres insuffisamment évolués., ces clés sont toujours demeurées secrètes Ou Plus exactement inaccessibles à qui n7a pas subi une préparation nécessaire pour les comprendre.
Ces clés ont toujours été désignées, dans la langue ordinaire, par l'or.
Une celle', la plus connue* n parle toujours, est le <, N,)mb,,e d'Or s celle dont o métrique du droit au courbe*
qui permet le passage géo lois célestes. Mais eest-à-dire des lois terrestres aux
est la manière de s'en servir.
ce qui demeure secret, é' il hest pas leimporte de laisser @er une clé s
indiqué à quelle serrure elle s , applique ni con=ent on l'applique.
Une autre est le "Genou d'Or ", qui est de même nature géométrique que le
"Nombre d'Or ", et qieil faudrait lire le " Gonios d'Or "., l' " Angle d'Or
". De là vient sans doute la légende de Pythagore à la jambe d'@...
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L'arche d'alliance
On peut citer encore les "Pommes d'Or" du Jardin des Hespérides, la "Toison d'Or", la "Chevelure d'Or" qui fut, dit-on, précipitée dans le " Garagaî "
de Sainte-Victoire.
Parfois, au lieu de l'or, c'est l'émeraude qui sert à désigner cette " clé
" initiatique; ainsi de l'émeraude qui était au front de Lucifer et qu'il perdit au Paradis terrestre dans sa chute et dans laquelle aurait été
taillée la coupe du Graal; ou encore la Table d'…meraude d'Hermès Trismégiste.
Les " Pommes d'Or " furent conquises pour les Pélasges, par Héraklès sur les filles d'Atlas dont le jardin des Hespérides (ce qui le situe au couchant) était défendu par un dragon et surtout par le géant Antée. Le lieu, les noms (Atlas, Antée) laissent supposer qu'il s'agit là d'un document sauvé du désastre de l'Atlantide.
La " Toison d'Or " fut conquise par Jason, avec l'aide de la magicienne Médée, par les Grecs sur des peuples de ce Caucase o˘ la légende avait fait enchaînerprométhée, coupable d'avoir dérobé le Feu du Ciel pour le donner aux humains.
C'est après le rapt des documents qu'apparaît., chez les peuples qui les ont dérobés, la civilisation ou tout au moins, puisque ce sont eux qui marquent cette civiEsation, le ou les monuments civilisateurs...
Par les légendes, nous ne connaissons que ces quelques transmissions, mais il est certain qu'il y en eut d'autres. Le remarquable est qu'il y a toujours bataille et rapt.
On ne sait d'o˘ venait, de façon certaine, le savoir 29
Les mystères templiers
des …gyptiens., mais il est de fait qu'il apparaît relapourrait-on tivement soudainement., saris géniteurs.,
dire; il est assez probable que les Tables de la Loi sont', elles3 issues des documents sacrés égyptiens emportés par m@ise lors de l'exode, et ceci expliquerait la poursuite des Hébreux à laquelle se livra Pharaon pour les empêcher de quitter le pays.
@ Tables sont de Pierre, dit la Genèse., mais elles sont cependant edermées dans un coffre recouvert
d'or : l'Arche.
Il ne semble pas que les Hébreux., avant Salomon., aient su utiliser les pierres de la Loi, et encore Salomon, qui @t toute la sagesse des …gyptim - et
pour cause - ne put-il., faute de constructeurs., faire auu=ent q¸lappeler à l'aide le roi de TYr Pour cons-
tmire son monument
Si IsraÎl ne put pratiquement jamais se consu=
une civilisation propre, il est M=dant notable que deux civilisations sont issues du "Livre o, de la Biblec
la mus e et la chrétie=e, et il est remarquable que toutes les deux ont possédé lémaiem., eest-
à-Wre le lieu o˘ se trouvaient les Tables de la Loi. Et toutes les de"
l'ont possédée par combat.
or, nous assistons à deux phénomènes identiques une &mbée de civilisation de Pislam après la prise de Jérusalem; une flambée de civilisation de locci-dent après la prise de Jérusalem.
Tout est incongru dans cette civilisation dite arabe.
Un peuple de pasteurs nomades devient constracteurJ'entends bien que les constructeurs mus viennent non pas d'Arabie3 mais de Perse; il ne s'en 30
L'arche d'ati˘m
agit pas moins d'un extraordinaire renouveau qui., d'ailleurs, ne s'arrête pas aux constructions ais
j P
encore s etendra à l'agriculture, à la méd
ecine., aux mathématiques_, à J'alchimie.
Si l'essor chrétien scientifique est moins brutal, eest qu'une base plus
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