Fourier
301.
48. Pecqueur, « Charles Fourier », p. 5,
Archief Pecqueur, Manuscripts I, International Institute for Social History,
Amsterdam. Voir aussi OC X, PM (1852), 265.
49. Fourier à François Devay, Paris, 26
octobre 1835. Collection du Dr E.G. Gobert, Aix-en-Provence. Voir aussi
Pellarin, Fourier, 21, 174-175.
50. Voir Jean Girardot, « Le Constituant
Muguet de Nanthou (1760-1808) » Bulletin de la Société d’agriculture, lettres,
sciences et arts du département de la Haute-Saône (1938), 43-67, et, sur Antide
de Rubat (1751-1803), Emile Poulat, « Note sur un beau-frère de Fourier : le
sous-préfet Rubat », Le Bugey, fasc. 45 (1958), 60-66.
51. OC I, 2-3.
52. Pellarin, Fourier, 301.
53. AN 10AS 1(5). Ce commentaire apparaît sur
une feuille non paginée qui suit le cinquième cahier de l’ancienne cote 9.
54. « De la Sérigermie composée ou binisexe »,
La Phalange, VIII (1848), 9-10.
55. Fourier à sa mère, 8 janvier 1790,
Pellarin, Fourier, 175.
56. OC II, Sommaires, 209.
57. Arthur Young, Travels in France (Londres,
1890), 113.
58. Fourier à sa mère, 8 janvier 1790,
Pellarin, Fourier, 176.
59. Fragment intitulé « Pauvreté attribuée aux
grandes propriétés faussement », datant probablement des années 1800-1803, AN
10AS 14 (3).
Chapitre II : La décennie révolutionnaire
1. AN 10AS 20 (11) ; OC II, Sommaires, 209
2. OC I, 2-13; OC X, PM (1851), 1-24L; «
Lettre au Grand Juge », publiée par Jean-Jacques Hémardinquer dans Le Mouvement
social, 48 (juillet-septembre, 1964), 59-69. L’article de Hémardinquer, « La “
Découverte du mouvement social ” : notes critiques sur le jeune Fourier », Le
Mouvement social, 48 (juillet-septembre 1964), 49-58, m’a été extrêmement
précieux pour m’aider à mettre en perspective critique les sources du présent
chapitre et du suivant.
3. Sur Lyon à la fin du XVIIIe siècle, voir
Louis Trénard, Lyon de l’« Encyclopédie » au préromantisme, 2 vol. (Paris,
1958); Maurice Garden, Lyon et les Lyonnais au XVIIIe siècle (Paris, 1975) ;
Pierre Grosclaude, La Vie intellectuelle à Lyon dans la deuxième moitié du
XVIIIe siècle (Paris, 1933). La plus récente histoire générale de Lyon est
André Latreille (sous la direction de), Histoire de Lyon et du Lyonnais
(Toulouse, 1975), mais deux ouvrages plus anciens restent de valeur, A.
Kleinclausz, Histoire de Lyon, 3 vol. (Lyon, 1939-1952), et Sébastien Charléty,
Histoire de Lyon depuis les origines jusqu’à nos jours (Lyon, 1903).
4. Sur l’industrie lyonnaise de la soie,
Justin Godart, L’Ouvrier en soie. Monographie du tisseur lyonnais (Lyon, 1888)
n’a toujours pas été surpassé. Voir aussi E. Pariset, Histoire de la fabrique
lyonnaise (Lyon, 1901), et Maurice Garden, Lyon et les Lyonnais au XVIIIe
siècle, 207-242.
5. Pour une évocation vivante et richement
documentée du sort des ouvrières à Lyon en 1791 et 1792, voir l’essai de
Richard Cobb, « A View of the Street : Séduction and Pregnancy in Revolutionary
Lyon », dans A Sense of Place ('Londres, 1975), 77-135.
6. Sur Lyon comme haut lieu de la spéculation
mystique avant la Révolution, voir en particulier Trénard, Lyon, de l’«
Encyclopédie » au préromantisme, I, 76-79, 175-189, 294-304 ; Auguste Viatte,
Les Sources occultes du romantisme. Illuminisme-théosophie : 1770-1820, 2 vol.
(Paris, 1969), I, 45-71, 139-152, 188-195, 270-292; René Le Forestier, La
Franc-maçonnerie templière et occultiste aux XVIIIe et XIXe siècles
(Paris-Louvain, 1970), 275-378, 433-475, 679-706, 835-846 ; Alice Joly, Un
mystique lyonnais et les secrets de la franc-maçonnerie (Mâcon, 1938) ; Paul
Vuillaud, Les Rose-Croix lyonnais au XVIIIe siècle (Paris, 1929).
7. Trénard, Lyon, de l' « Encyclopédie » au
préromantisme, I, 234-239, 335-348 ; Jean Gaumont, Histoire générale de la
coopération en France, 2 vol. (Paris, 1924), I, 17-99.
8. Sur L’Ange et la question de son influence
sur Fourier, voir, en plus des ouvrages de Trénard et Gaumont cités supra,
François-Joseph L’Ange, Œuvres, édition sous la direction de Paul Leutrat
(Paris, 1968) ; Bourgin, Fourier, 94-101 ; Jean Jaurès, Histoire socialiste de
la Révolution française, 4 vol. (1901-1908), III, 328-347, IV, 165 ; Fernand
Rude, « Genèse et fin d’un mythe historique : le préfouriérisme de L’Ange », in
Topique. Revue freudienne 4-5 (octobre 1970), 175-189. Rude donne un résumé de
la somme, depuis longtemps perdue, de L’Ange :
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