Fourier

datée du 1er thermidor an IV (19
juillet 1796) dans AN F12 1253 A « Commerce et industrie : Foires et marchés »,
pièces 535-539.
    54. V. Delacroix à Fourier, 19 floréal an V (8
mai 1797), AN 10AS 25 (2) et l’article de Fourier, « Invitation aux échos »,
Journal de Lyon, 7 nivôse an XII.
    55. Mémoire signé « Fourrier » au Citoyen ( ?)
de la municipalité de Bordeaux, 20 frimaire an V (10 décembre 1796), AN 10AS 15
(18).
    56. AN 10AS 15 (18).
    57. Ce paragraphe et le suivant se fondent principalement sur le
compte rendu par Fourier lui-même des « indices et méthodes ayant mené à la
découverte », OC I, 2-12, et sur un manuscrit de treize pages, « Note sur le
développement de la conception de Fourier », par Victor Considerant, AN 10AS 26
(8).
    S8 OC T 7
    59. OC X, PM (1851), 21.
    60. Abel Lefranc, « Le Collège de France
pendant la Révolution et le Premier Empire », Revue internationale de
l’enseignement, XXII (1891), 513-541 ; Henri Gouhier, La Jeunesse d’Auguste
Comte et la formation du positivisme, II (Paris, 1936), 170-171; Hémardinquer,
« Notes critiques », 54-55.
    61. AN 10AS 25 (9). Jean-Etienne Montucla,
Histoire des mathématiques, 4 vol. (Paris, ans VII-X) ; René-Richard Castel, Histoire
naturelle des poissons.... Ouvrage classé par ordres, genres et espèces,
d’après le système de Linné, 10 vol. (Paris, an IX).
    62. « Lettre au Grand Juge », 60.
    63. Hémardinquer, « Notes critiques », 52-53.
Voir aussi Pellarin, Fourier, 31 : « Dans ce désastre de la ville de Lyon, la
fortune de Fourier, héritée du côté paternel, périt en majeure partie. Ajoutons
tout de suite que, pour comble de malheur, le surplus fut englouti dans le
naufrage d’un bâtiment de Livourne, à quelque temps de là. »

Chapitre III : De la réforme architecturale
au système universel
    1. OC V, 230-231.
    2. OC III, 391.
    3. OC V, 230.
    4. OC III, 282-283. Voir aussi OC XII,
657-659.
    5. « Formation d’une Phalange d’attraction
dans laquelle s’organisent les sectes groupées », OC X, PM (1851), 80-174. Pour
l’achèvement du calcul en 1806, voir OC X, PM (1851), 46.
    6. OC IX, F5 ; Victor Considerant, « Note sur
le développement de la conception de Fourier », AN 10AS 26 (8), p. 1.
    7. OC II, Sommaires, 209.
    8. OC X, PM (1851), 17. Fourier utilisait le
terme Garantisme pour désigner la phase de transition entre la Civilisation et
l’Harmonie. Voir ci-dessous, chapitre XVI, section III.
    9. « Fourrier » à la Municipalité de Bordeaux,
20 frimaire an V (10 décembre 1796), AN 10AS 15 (18).
    10. AN 10AS 15 (18). La toise valait six pieds
(soit près de deux mètres). Pour une analyse de propositions similaires à
l’époque, voir Richard Eltin, « L’air dans l’urbanisme des Lumières »,
Dix-Huitième Siècle, 9 (1977), 123-134.
    11. Voir en particulier « Plan d’une ville de
6e période », OC XII, 695-717, et OC IV, 300-308. Certains passages de ces
textes (qui datent du début de la Restauration) sont identiques au mémoire
adressé en 1796 par Fourier à la ville de Bordeaux.
    12. OC XII, 700. Voir aussi OC IV, 303.
    13. OCX, PM
(1851), 274.
    14. OC X,
PM (1851), 274. Voir
aussi OC VIII, 358.
    15. OC X, PM
(1851), 249-252 ; OC XI, PM (1853-1856),
19-20.
    16. « Concurrence réductive et fédération
commerciale », OC XI, PM
(1853-1856), 59-67. Voir aussi La Phalange, X (1849), 209-224.
    17. OC XI, PM (1853-1856), 200-206; « Crimes
du commerce », la Phalange, II (1845), 195-223.
    18. Sur les liens possibles entre les idées de
Fourier et la théorie et pratique de l’association dans la France du XVIIIe
siècle, voir les études remarquablement documentées de A.R. Ioannisian, «
Istochniki prœktov assotsiatsii Fur’e », Istorik Marksist, I (1939), 101-124,
et Genezis obshchestvennego ideala Fur’e (Moscou-Leningrad, 1939), 125-183.
Voir aussi l’étude d’ensemble d’André Lichtenberger, Le Socialisme au XVIIIe
siècle (Paris, 1895), 325-344.
    19. Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des
sciences, des arts et des métiers, X (Neufchâtel, 1765), 704-706, article «
Moraves » de Faiguet de Villeneuve. Cet article fut repris dans la très lue
Encyclopédie méthodique, Histoire III (Paris-Liège, 1788), 630-634. Sur les
associations à Lyon, voir Gaumont, Histoire de la coopération, II, 29-30, 52 ;
Justin Godart, Travailleurs et métiers lyonnais (Lyon, 1909), 24 ; et I.I.
Zil’berfarb, « Tvorcheskii put’ Sharlia Fur’e », Frantsuskii