Le pays des grottes sacrées
de la grotte Chauvet, l’une et l’autre n’ayant été
découvertes qu’après 1990.
J’ai visité de nombreuses
grottes, certaines à plusieurs reprises, et si je n’avais oublié ni l’ambiance
ni l’atmosphère qui y régnaient, ni l’état d’esprit qui m’animait, ni encore
les sentiments éprouvés à la vue de ces exceptionnelles œuvres d’art peintes
sur les parois de ces différentes cavernes, je ne me rappelais pas toujours
dans laquelle se trouvait précisément telle ou telle peinture, sur quelle paroi
elle apparaissait, à quel endroit de la grotte elle se trouvait, la direction
dans laquelle elle était orientée. Ce livre m’a donné toutes les réponses dont
j’avais besoin. Le seul problème étant qu’il était rédigé en français. Or, même
si j’ai acquis de bonnes notions de cette langue au fil des ans, on ne peut pas
dire que je la maîtrise réellement.
J’exprime donc toute ma
reconnaissance à Claudine Fisher, consul honoraire de France dans l’Oregon,
professeur de français et directrice des études canadiennes à l’université
d’État de Portland. De langue maternelle française – elle est née en
France –, c’est elle qui s’est chargée de traduire toutes les informations
dont j’avais besoin sur chacune des grottes qui retenaient mon attention. Un
travail considérable. Sans son aide, jamais je n’aurais pu écrire ce livre, et
ma gratitude va au-delà des mots. Outre le fait que c’est une grande amie, son
aide a eu de nombreuses occasions de s’affirmer.
Je voudrais également remercier
plusieurs autres amis qui ont accepté de bonne grâce de lire un long manuscrit
alors qu’il n’était pas encore tout à fait au point, et de me faire part de
leurs commentaires : ils ont nom Karen Auel-Feuer, Kendall Auel, Cathy
Humble, Deanna Sterett, Gin DeCamp, Claudine Fisher et Ray Auel.
Toute ma gratitude in memoriam au professeur Jan Jelinek, archéologue né en Tchécoslovaquie, pays devenu
depuis la République tchèque, qui m’a apporté un soutien multiforme, et ce
depuis nos premiers échanges de lettres jusqu’à sa visite et celle de son
épouse Kveta dans l’Oregon, en passant par les nombreux séjours que Ray et moi
avons faits dans les sites paléolithiques proches de Brno. Son aide a été
inappréciable. Toujours attentionné, généreux de son temps et de ses
connaissances, il me manque beaucoup.
J’ai la chance d’avoir Betty
Prashker pour éditrice : ses commentaires sont toujours pleins de sagesse,
elle m’incite à donner le meilleur de moi-même et améliore encore le résultat
final. Un grand merci à elle.
Et toute ma gratitude, encore et
toujours, à celle qui est là depuis le début, mon merveilleux agent littéraire,
Jean Naggar. À chaque nouvelle livraison je l’apprécie encore plus. Je veux
remercier également Jennifer Weltz, l’associée de Jean au sein de l’agence
littéraire Jean V. Naggar. Toutes deux continuent de faire des miracles
pour cette saga, traduite dans de nombreuses langues et désormais accessible
dans le monde entier.
Durant ces dix-neuf dernières
années, Delores Rooney Pander a été ma secrétaire et mon assistante
personnelle. Malade, elle a malheureusement été contrainte de me quitter, mais
je souhaite la remercier pour les services qu’elle m’a rendus durant toutes ces
années : on ne peut jamais savoir vraiment à quel point on peut s’appuyer
sur une personne avant que celle-ci ne s’efface. Au-delà de tous les travaux
qu’elle a pu effectuer pour moi, ce sont nos conversations, nos discussions,
que je regrette le plus. Au fil des ans, elle est devenue une amie très chère.
(Delores est morte d’un cancer en 2010.)
Et enfin, avant tout, à Ray, mon
époux, qui est toujours là pour moi : mon amour et ma gratitude, au-delà
de toute mesure.
Titre
original : The Land of Painted Caves
©
Jean M. Auel, 2011
Edition originale : Crown Publishers Inc., New York
© Presses de la Cité,
un département de ,
2011 pour la traduction française
L. Mangavelle – Conception
graphique
Carte : © Rodica
Prato d’après Jean Auel
Cartouche : © Palacios d’après Jean Auel
EAN 978-2-258-09094-1
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