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Vie et Paroles du Maître Philippe

Vie et Paroles du Maître Philippe

Titel: Vie et Paroles du Maître Philippe Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Alfred Haehl
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sommes tous frères, que nous
avons tous le même Père et le même Maître. (10-10-1895)
     
    Peu de ceux qui sont venus ici ne sont pas marqués sur le Livre
de Vie. Dès la première fois que vous venez, vous sentez après une séance que
vous êtes plus forts. Eh bien ; votre âme, à votre insu, a reçu un rayon
de Lumière qu’elle cherche toujours suivre. Et vos ascendants comme vos
descendants sont aussi inscrits sur le Livre de Vie Je vous le promets.
(2-5-1895)
     
    Ceux qui ont été aux séances participent à leurs effets, même
lorsqu’ils en sont éloignés. La mort ne sera pour eux qu’une formalité ;
un ange viendra leur couvrir la face et les conduira ; on prendra soin
d’eux dans le tombeau.
     
    Vous me demandez ma protection ; mais je ne peux pas plus
que vous protéger personne. Vous venez ici, vous êtes soulagés. Les uns
viennent pour maladie, les autres pour des peines morales, mais tous vous
demandez du soulagement. Vous restez quelques heures dans de bons sentiments
avec l’esprit vers le bien. (26-5-1903)
     
    Quelquefois vous vous dites : N’allons pas là malgré tout vous
êtes poussés à y venir. Ce sont vos anges gardiens qui vous poussent ; et
ne trouvez-vous pas qu’en sortant d’ici vous êtes allégés, que vous vous sentez
plus forts ? (27-11-1894)
     
    Vous serez tous un peu soulagés, mais il faut me promettre
d’être sages. Savez-vous ce qu’il faut faire pour cela ; Simplement ne pas
dire du mal de son prochain. Ah ! si, je vous permets d’en dire mais en sa
présence ; (12-7-1897)
     
    Tout ce que je vous ai dit et que je vous dis, je l’ai prouvé,
car Celui qui m’a envoyé m’a donné le pouvoir de vous présenter des preuves. Y
en a-t-il qui puissent dire que je n’ai pas prouvé tout ce j’ai dit ; On
lui répondit : « Maître, vous avez tout ce que vous avez dit ».
(2-12-1902)
     
    Le mal qui est guéri sans que les péchés soient pardonnés n’est
que remis. Ici nous guérissons en pardonnant les péchés et le mal compte comme
s’il avait été souffert.
    C’est pour votre satisfaction personnelle qu’on vous laisse dire
ce que vous avez, car nous le savons. C’est exactement comme lorsque vous dites
l’état de votre main ; vous n’avez pas besoin de la regarder, elle est à
vous et vous la connaissez. Mais, je répète, pour votre satisfaction nous
écoutons ce que vous nous dites, car un malade est toujours réconforté de
causer à son médecin, et chez vous, vous seriez soulagés de la même chose si
vous demandiez à Dieu avec confiance.
    Et, lorsqu’on vous fait lever, c’est pour que vous vous
recueilliez et demandiez un peu de soulagement si le fardeau est trop lourd.
Vous recevez alors un peu de ce pain de l’âme que vous demandez chaque jour et
c’est ce pain qui aide à supporter ces peines. (12-7-1897)
     
    Je ne fais rien par moi-même pour vous guérir, je m’adresse au
Maître qui est Dieu. N’avez-vous pas été soulagés toujours ? Y a-t-il
quelques personnes qui ne l’aient pas été ? Vous avez vu ici des choses
surnaturelles, des miracles. Pour les expériences qui se feront dès
aujourd’hui, je vous fait payer cher. Oh ! je sais bien que vous êtes
toujours disposés. Mais ce n’est pas ce paiement-là qu’il me faut. Pour les
personnes qui viennent pour la première fois, je leur demande de faire des
efforts pour aimer leur prochain comme elles-mêmes.
    Pour celles qui sont déjà venues, je leur demande d’aimer leur
prochain comme elles-mêmes, et ceux qui ne pourront me faire cette promesse ne
pourront rester dans cette salle (en cas d’expériences). Il faut aussi que
toutes les personnes qui sont en procès me promettent d’arrêter toutes
poursuites, car, je vous le dis, si vous n’êtes pas d’accord en ce monde, il
sera très difficile de vous y mettre dans l’autre. (7-1-1894)
     
    Je ne puis rien, je ne fais que demander à Dieu, et vous ne
pouvez éprouver de soulagement dans cette salle, soit pour les maladies, soit
pour alléger le fardeau qui pèse lourdement sur ce triste monde, que si vous
avez fait quelque chose pour le Ciel. Celui qui n’a pas fait d’œuvres
méritoires n’a rien à attendre, et de même vous ne pouvez être entendus.
(19-2-1894)
     
    Du fond du cœur je demande au Ciel de vous envoyer autant
d’adversités que vous pouvez en supporter, et à moi quarante mille fois plus
qu’à vous.
     
    A un assistant : « Tu as nié Dieu. Je te

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