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Dernières Révélations sur les Templiers

Dernières Révélations sur les Templiers

Titel: Dernières Révélations sur les Templiers Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Pascal Le Charpentier
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commanderie en commanderie.
    on Peut aller Plus loin- Il est manifeste que les 4 routes templières "
    n'ont point été nécessitées par

    les commanderies nids, au contraire, que les commanderies ont été
    délibérément voulues sur ces routes - pour autant que cela a été possible.
    Je ne veux pas dire qu'aucune commanderie ne s 'écarte de ces routes; les Templiers Prenaient ce que "on leur donnait, et les dons n'étaient Peut-
    être pas toujouxs oe qu'ils eussent préféré.
    Pourquoi cet intérêt constant pour les voies de communication? On ne peut douter que cela ait fait
    partie de la mission que leur avait confié saint Bernard parce que cette mission était civilisatrice et qu¸
    n'existe pas de civilisation sans moyen de circulation.
    Es retrouvaient, là encore3 une tradition celtique.
    a cru ., on nous a fait croire bien longtemps, que nos ancêtres., les Gaulois, qui a@ent, comme chacun sait@ des moustaches blondes étaient de parfaits barbares qui 'Vivaient bloqués dans les f ore-ts de leur Gaule Chevelue. Ori ces hommes avaient un système routier parfaitement cohérent dont témoi e la rapign
    dité avec laquelle César., et d'autres, purent s,y déplacer.
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    Les mystères te?npliers
    En Lirnagne., ce nie e César put faire une étape em de 75 kilomètres en vingt-quatre heures; une autre de 45 kilomètres, entre Soissons et Reims. En sept ans de campagne, il ne mentionne qu'une seule construction de route et une seule construction de pont car il y avait également des ponts sur ces routes.
    Hannibal, avec ses éléphants, et non sur des routes romaines, parcourait 37
    kilomètres par jour.
    Au reste, certaines routes ont gardé le nom du Druide qui les fit construire, telle la Chaussée Brunehaut; et l'on a trouvé une boucle de ceinture datant de 500 avant Jésus-Christ dans la couche inférieure d'une voie romaine le long du Rhin> voie romaine qui avait été gauloise primitivement.
    L'étain des Iles bretonnes mettait trente jours pour aller de l'embouchure de la Seine à Marseille.
    Les voies gauloises étaient voies commerciales. Les Romains y ajoutèrent des voies militaires. Et tout cela disparut sous le poids des invasions barbares. Et nul des nouveaux seigneurs qui gouvemerent alors n'y porta remède. Tant bien que mal., et surtout lentement, et seulement avec des animaux de b‚t, on runta les anciens chemins, non entretenus et vite emp

    détériorés, o˘ le passage des rivières posait alors des problèmes quasi insolubles.
    Là encore, les fils de saint Benoît apportèrent les premiers secours ". Une fraternité de constructeurs qui leur étaient affihés, les " moines-pontifes
    ", entreprit de reconstruire les ponts - certains subsistent encore - ce qui permit aux suzerains d'établir d'intéressants péages I44
    Les routes templières
    A cause de cela, et aussi des marais., des forêts, des bêtes fauves et surtout des pillards roturiers ou nobles, le Moyen Age a connu d'extraordinaires difficultés de circulations non seulement pour les personnes mais aussi pour les biens.
    Toute personne qui vOY39eait mettait sa vie en jeu Ou, à tout le moins, les biens queue transportait avec elle. Seul l'hon=e appartenant à une
    "puissance" pouvait, jusqu'à un certain point@ échapper au meurtre et au piuage.
    Les Templiers vont, de par leurs installations,, changer grandement cet état de fait. Les " Templeries " sont généralement assez proches les unes des autres pour que les voyageurs, qu>ils soient pèlerins, marchands ou ouvriers en déplacement, soient toujours sous leur surveillance d-honimes d'armes, c'està-dire en mesure d'être défendus.
    On sent combien certaines commanderies ont été établies en fOnctiOn de la sécurité des routes lorsqu'on voit leurs t maisons "installées proche des gués ou des ponts, de part et d'autre des rivières à traverser. L'I-listoire ne dit pas s'ils organisèrent ces passages., mais, à coup sUr3 ils les surveillèrent.
    Or cela, qui est sensible à l'examen des cartes, n'est mentionné ni dans la règle ni dans les retraits, ce qui prouve à tout le moins l'existence d'un organisme directeur agissant sur le Temple entier sans pour autant proclamer orbi ses intentions.
    On sait que, si parfois des chevaliers en armes accompagnaient des convois de pèlerins, cette sollicitude S'étendait également aux convois de marchan-145
    Les mystères temphers
    dises - et l'on sait même que, s'élevant contre toute contrainte et tout péage, les

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