Dernières Révélations sur les Templiers
Templiers s'ingénièrent souvent à diriger les convois par des ch@ échappant à ces péages.
Il est certain également qu'ils se mmf ormèrent pour aider le commerce, en entrepositaires, ce qui évidemment était aussi une source de profit.
Pour le commerce, ils firent mieux encore en établissant des marchés - dont ils étaient gardiens et bénéficiaires - qui eurent une extraordinaire influence sur le développement des régions, puisqu'ils étaient les seuls moyens de commercialiser les produits.
Il est tentant d'essayer de retrouver ces " routes templières " et leurs parcours. A travers la France, tout au moms. Ce n'est pas toujours aisé, car bon nombre de lieux du Temple sont encore inconnus et de grandes parties de la carte de France restent en blanc qui possédaient autant de commanderies que d'autres.
Le chemin le plus 4 lisible " (et qui ne se trouve pas en France) est celui de Saint-jacques-de-Compostelle, mais il est dem@ inchangé.
Ces routes templières, peut-on les lire encore sur le terrain? Généralement non, du moins dans le détail, car elles n'ont pratiquement aucune concordance ni avec les voies gallo-romaines de la Table de Peutinger ni avec les voies actuelles.
Mais si l'on relie sur une carte les commanderies connues chacune à sa plus proche voisine, alors se dessine sur la France un immense filet dans lequel 146
Les routes templières
apparaissent des lignes générales qui traversent le pays avec une rectitude assez impressionnante.
Avant d' Cr les grands axes routiers, tentons de retrouver la répartition des commanderies sur le sol de France.
Sur la côte méditerranéenne, de Barcelone à Monaco se trouve tout d'abord une double et parfois triple enceinte de fortermOE.
Ce sont bien là des forteresses de défense contre les incursions maritimes sarrasines qui razziaient un village, des fermes, et rep@ent.
Ces défenses présentent un aspect sporadiquement militaire qui est celui de toutes les lignes de défense de tous les temps.
Il s'y adjoipàt la garde des ports, par o˘ les Templiers faisaient jonction avec leur armée de Terre sainte.
Ces Ports3 qui leur appartenaient presque en propre, Paraissent avoir été, Pour nous en tenir à la seule partie française de la côte., Collioure; peut-être Mèm sur le bassin de Thau; martigues-Berre., Sakt-TrOPez et Mont@10. E existait également des commanderies ou ch‚teaux dans d'autres ports : Marseiue, Hyères@ Toulon, Antibes, Villefranche, Beaulieu, Menton.
Outre cet-te ligne de défense, on constate, dans la répartition des quelque mille commanderies que j'ai pu répertorier, certains " nids s de forte densité :
A la frontière Haute-Bourgogne-Basse-Champagne, 147
Les mystères tempête
il existe un ensemble particulièrement serré de commanderies, s'étendant d'Auxerre aux pays du Barrois.
dans cette
On n est pas étonné de trouver Payns
agglomération. Payns qui, à certains égards, a d˘ demeurer la maison cheftaine d'Occident.
Dans cet-te région également se trouvent Clairvaux et cette mystérieuse Forêt d'Orient.
Une autre concentration est sensible en HauteChampagne3 entre Reims et Soissons, qui se prolonge jusqu'au-dessus de l'embouchure de la Somme.
Autour de Paris, les commanderies s'établissent selon les branches d'une croix., dont le bras vertical irait de Nemours à Beauvais et le bras horizontal de Versailles à Meaux, avec prolongement sur Provins et la route de Payns et TrOYes-Enfin un ensemble très cohérent de commanderies 39établit autour de La Rochelle, jusqu7à cent cinquante kilomètres environ.
Le reste des conunanderies est réparti assez également sur le territoire français3 que la région soit riche ou pauvre5 plate ou montagneuse- Les "
manques " qui paraissent sur ma carte.% en Alsace@ en Lorraine@ en Flandre3
en Normandie., proviennent non de l'absence de templeries dans ces régions mais de mon ignorance de leur position.
En joignant tous ces points apparaît., comme je le disais5 un réseau routier dont se dégagent des voies
principales.
Elles sont immédiatement lisibles sur la carte.
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Les routes temple
La Méditerranée est reliée à la Haute-Manche par deux voies passant l'une par la maison cheftaine de Paris, l'autre par la maison cheftaine de Payns.
La première part de Marseille et remonte parArles, Nîmes, Alès, Le Puy, Lezoux, Saint-Pourçainsur-Sioule, Pougues, Nemours, Paris, TiUé-près-Beauvais, Abbeville, pour aboutir près de Berk
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