Fourier

étrangères de 1814 à
1815 », in Albums du crocodile (Lyon, 1945).
    53. OC XI, PM (1857-1858), 348-349.
    54. Facture datée du 11 juillet 1814, AN 10AS
25 (2).
    55. AML I2 124 « Passeports étrangers ».
Passeport délivré le 6 septembre 1814 à « Charles Fourier, voyageur,
destination Naples».
    56. Cette lettre, découverte par Pierre
Riberette dans les archives du ministère des Affaires étrangères (Mémoires et
Documents, vol. 675, pièce 29), est reproduite dans Riberette, « Fourier à Lyon
», 286.
    57. E. Welvert, Napoléon et la police sous la
première Restauration, d’après les rapports du comte Beugnot à Louis XVIII
(Paris, s.d.), 47 (rapport du 8 juillet 1814), cité dans Riberette, «Fourier à
Lyon», 286-287.
    58. Sur le bonapartisme de Fourier en 1814,
voir également Tassez mystérieuse missive envoyée à Fourier par l’aide de camp
du maréchal Augereau, le remerciant d’avoir prêté des cartes, citée par
Jean-Jacques Hémardinquer dans « Fourier stratège (1796) et fonctionnaire
(1815) », Cahiers d’histoire, XI, I (1966), 105.
    59. AN F16 II Rhône 4, publiée dans Riberette,
« Fourier à Lyon », 287.
    60. Sur l’allégation (sans preuves) que
Fourier fut nommé chef du Bureau des statistiques du Rhône sous les Cent-Jour s
par son homonyme et lointain cousin le préfet Jean-Baptiste Fourier, voir
Pellarin, Fourier (5e édition), 64, 165.
    61. Hémardiquer, « Fourier stratège et
fonctionnaire », 97-100, citant une lettre de Louis Desarbres à J.B. Planque,
16 mai 1815.
    62. Pour une présentation et une analyse plus
complètes des documents sur lesquels se fonde le présent récit des activités de
Fourier sous la première Restauration et les Cent-Jour s, voir Riberette «
Fourier à Lyon », 284-288, et Lehouck, Vie de Fourier, 140-147.
    63. OCX, PM (1851),319, 321.
    64. « Sur Napoléon Bonaparte », OC X, PM
(1851), 317-334.
    65. OCX, PM (1851), 319-320.
    66. OC X, PM (1851), 223 sq. ; 231 sq. ; OC I,
101 ; OC XI, PM (1853-1856), 118-215 ; OC III, 123, 229-230; OC V, 406-407: «
l’intention de monarchie universelle... est ce qu’il y a de plus sensé dans les
vues de Bonaparte. »
    67. AN 10AS 13 (55) p. ln, AN
10AS 16 (17), p. 4.
    68. La Phalange, X (1849), 465-466. Sur le
clavier général de la création, voir La Phalange, VI (1847), 6-12 : « Du
clavier puissanciel des caractères » (« Antimède »).
    69. OC I, 32.
    70. « Réponse aux conjectures de l’astronome
Herschell sur la Structure de l’univers », Belley, 27 décembre 1815, AN 10AS 23
(6), p. 9.
    71. OC X, PM (1851), 3. Voir aussi «Découverte
du Calcul de l’Association Simple en 1819 », AN 10AS 20 (11).
    72. Fourier à Georges Rubat, brouillon (1818),
AN 10AS 20 (2), p. 2 : « Je suis arrivé ici avec un plan en trente-deux
parties. » Voir aussi OC X PM (1851), 3 : « J’ai apporté avec moi un plan
pleinement élaboré. »

Chapitre VII: « Les vertueuses campagnes »
    1. Quiconque travaille sur cette période de la
vie de Fourier contracte une dette importante à l’égard d’Emile Poulat et de
ses recherches. D’une aide particulièrement précieuse pour ce chapitre ont été
les articles de Poulat, « Le séjour de Fourier en Bugey (1816-1821 », Le Bugey,
fasc. 43 (1956), 5-27 ; « Note sur urf beau-frère de Fourier : le sous-préfet
Rubat », Le Bugey, fasc. 45 (1958), 60-66 ; ainsi que son ouvrage Les Cahiers
manuscrits de Fourier : étude historique et inventaire raisonné (Paris, 1957),
66-82.
    2. Peu après son arrivée dans le Bugey,
Fourier estimait que sur les dix-sept ans qui s’étaient écoulés depuis sa
découverte, il avait à peine trouvé le temps pour « cinq années de vrai
travail, à cause des occupations qui [l’avaient] absorbé ». (AN 10AS 23 (6), «
Réponse aux conjectures », Belley, décembre 1815, p. 7.
    3. Voir par exemple AN 10AS 17 (6), p. 13;
10AS 9 (1), p. 3 ; 10AS 13 (3), p. 46D., ainsi que OC IV, 12 (« 1819 »).
    4. Voir par exemple OC XI, PM (1857-1858),
220-221 ; La PhalangeVIIII (1848), 46-47; OC X PM (1852), 190; et 10AS 3 (4),
p. 78, p. 192 : « J’allais demeurer dans une vertueuse campagne, asile de
l’innocence, et j’y appris par gens très dignes de foi qu’il n’y avait pas une
jolie paysanne qui fût vierge à dix ans partout depuis que les militaires en
retraite abondent dans les campagnes. »
    5. Sur la famille de Fourier, voir les
articles d’Emile Poulat « Note sur un beau-frère de Fourier » et « Le séjour de
Fourier