Kreuzzug gegen den Gral
Lage schreckte jedoch den Angreifer zurück. Vgl. Pa-
121 Minerve: Lea Bd. I S. 181; Schmidt Bd. I S. 242 ff.; Peyrat Bd. II S. 157 ff; Tudela, Vers 1071 ff; Vaux-Cernay Kap. XXXVII ff.; Vic-Vaissette Kap. LXXXVII.
»Wenn der barbarische Eifer der Pilger sich bisweilen in übertriebener Weise kundgab - so z. B., als sie die Mönche von Boulbonne (Zisterzienserabtei und Nekropole der Grafen von Foix) blendeten und ihnen Nasen und Ohren abschnitten, so daß von dem menschlichen Gesichte eigentlich nichts mehr übrig blieb - so müssen wir zur Erklärung solcher Scheußlichkeiten einerseits an die Volksschichten denken, aus denen die Kirche ihre Rekruten nahm, und andererseits an die Straflosigkeit, die man den Pilgern sowohl für dieses wie für jenes Leben zusicherte.« Lea Bd. I S. 181.
Termes: Peyrat Bd. II S. 171 ff.; Schmidt Bd. I S. 243; außerdem die bei Minerve angegebenen Quellen: Tudela (Kap. LVI), Vic-Vaissette Bd. VI Kap. XCIII.
122 Lea Bd. I S. 184 ff.; Peyrat Bd. II S. 192 ff; Schmidt Bd. I S. 244 ff.; Vic-Vaissette a. a. O.
123 Lavaur: Peyrat Bd. I S. 325, 337; Bd. II S. 204 ff.; Schmidt Bd. I S. 247 bis 248; Vaux-Cernay Kap. XLIX ff; Tudela Kap. LXVIII ff.; Vic-Vaissette Bd. VI Kap. CII, CIII, CVIII; Wilhelm von Puylaurens Kap. XVI.
Wolfram von Eschenbach gibt uns eine Beschreibung, wie man zu seiner Zeit eine Stadt zu belagern und zu verteidigen pflegte (Parzival 205206). Estiers dama Girauda:... die Dame Giralda warf man in einen Brunnen. Sie (die Kreuzfahrer) bedeckten sie mit Steinen. Das war ein Jammer und eine Sünde, denn niemand auf der Welt - wisset es wahrhaftig - durfte sie verlassen, ohne von ihr bewirtet worden zu sein. Tudela Vers 1557 ff.
Dominam etiam castri, quae erat soror Aimerici et haeretica pessima, in puteum projectam Comes lapidibus obrui fecit; innumerabiles etiam haereticos peregrini nostri cum ingenti gaudo combusserunt. Vaux-Cernay, Ende des Kap. LII.
124 Zu Innocenz III. vgl. Schmidt Bd. I S. 244 Anm. 1 - Palauqui (Es-clarmonde) S. 25: Cette guerre allait devenir, en effet, une oeuvre de fanatisme si épouventable qu'Innocent III, lui même, finira par pleurer sur tant de sang versé et maudira Simon de Montfort en ces termes: ». Non content de vous être élévé contre les hérétiques, vous avez tourné les armes des Croisés contre les peuples catholiques; vous avez répandu le sang des innocents, et envahi, à leur préjudice, les terres des comtes de Foix, de Comminges et de Gaston de Béarn ... Vous exigez le serment de fidélité des peuples, faisant donc aveu tacite qu'ils sont catholiques, puis vous les attaquez ... Nous vous ordonnons de restituer au roi d'Aragon et à tous ses vassaux tous les domaines que vous avez envahis sur eux, de crainte que, en les retenant injustement, on ne dise que vous avez travaillé pour votre propre avantage et non pour la cause de la Foi.« -Devant les horreurs dont Simon de Montfort s'était rendu coupable, Innocent III - c'est une justice à lui rendre - ordonna de suspendre la Croisade. Bien inutiles objurgations!
125 Es wurden die Ausführungen von Kannegießer (dort S. XXII) zitiert. Man vergleiche dazu die Worte des großen provençalischen Dichters unserer Tage, Frédéric Mistral: »La sève autochthone qui s'était épanouie en une poésie neuve, élégante, chevaleresque, la hardiesse méridionale qui émancipait déjà la pensée et la science, l'élan municipal qui avait fait de nos cités autant de républiques; la vie publique enfin circulant à grands flots dans toute la nation, toutes ses sources de politesse, d'indépendance et de virilité étaient taries, hélas! pour bien des siècles. Aussi, que voulez-vous? bien que les historiens français condamnent généralement notre cause, - quand nous lisons dans les chroniques le récit douloureux de cette guerre inique, nos contrées dévastées, nos villes saccagées, le peuple massacré dans les églises, la brillante noblesse du pays, l'excellent Comte de Toulouse, dépouillés humilies, et, d'autre part, la valeureuse résistance de nos pères aux cris enthousiastes de: Toloza! Marselha! Avinhon! Provensa! il nous est impossible de ne pas être ému dans notre sang et de ne pas redire avec Lucain: Victrix causa Diis placuit, sed victa Catonii« Mistral, Calendau (bei Palauqui, Esclar-monde S. 37). An anderer Stelle sagt Mistral: »C'est toujours un grand malheur quand, par surprise, la civilisation doit céder le pas à la
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