L'absent
captain
Ussher et journal du vicomte Charrier-Moissard.
• La Vérité sur les Cent Jours, par un citoyen de la
Corse, Bruxelles, H. Tarlier, 1825. J’en ai tiré le dialogue du
chapitre V avec le messager venu à Porto Ferraio rencontrer l’Empereur.
Celui-ci aurait authentifié le texte, si j’en crois cette note de la
page 176 du même ouvrage : « Le messager tint note de ce dialogue,
au moment même où il quittait Napoléon, et le montra, à son retour, à ceux qui
lui avaient confié les dépêches. L’un d’eux le copia, et quand l’Empereur fut à
Paris, il le lui fit voir. Napoléon le lut, s’en amusa beaucoup, et dit souvent
pendant sa lecture : C’est cela, c’est cela même. »
• A. D. B. Monnier, Une année dans la vie
de l’Empereur Napoléon (1814-1815), Paris, Alexis Eymery, 1815.
• Sophie et Anthelme Troussier, La Chevauchée
héroïque du retour de l’île d’Elbe, imprimerie Allier, Grenoble, 1965.
• Pierre de Gumbert, Napoléon de l’île d’Elbe à la
citadelle de Sisteron, éditions du Socle, Aix-en-Provence, 1968.
À propos de quelques personnages
• Comte d’Ornano, Marie Walewska, Hachette,
1938.
• A. Augustin-Thierry, Notre Dame des
colifichets, Albin-Michel, 1937.
• Fleuriot de Langle, La Paolina, sœur de Napoléon, éditions
Colbert, Paris, 1946 (ressemble furieusement au livre précédemment cité…)
• A. Augustin-Thierry, Madame Mère, Albin-Michel,
1931.
Au sujet des injections que pratiquait l’Empereur, le
docteur Patrick Laburthe m’en a fourni la teneur, et je dois à la comtesse de
Ségur ce bouillon de poule qui est censé soigner la rougeole. L’idée finale de
la rougeole, d’ailleurs, appartient à Anatole France : il voulait conclure
ainsi un roman sur l’île d’Elbe dont il n’a pas écrit le premier mot.
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