Le mariage de la licorne
décomposition.
tref , n. m. Tente conique soutenue par un mât central.
trimard , n. m. Jeu de hasard qui se pratiquait à trois dés.
troussoire , n. f. Agrafe dont les femmes se servaient pour relever leur robe.
vauplate , n. m. Fût de bois volumineux d’usage spécifiquement normand.
vavasseur , n. m. À l’origine, le vavasseur était un propriétaire terrien d’alleux ne dépendant de personne, sauf du roi. Un alleu était une terre dont les droits de celui qui la possédait n’étaient pas limités par une autorité supérieure. Voir note 26.
veautre , n. m. Chien de chasse.
ventre (faire ventre) , Se bomber, comme une structure qui est sur le point de tomber en ruine.
vergette , n. f. Petite lance que l’on projetait d’une seule main.
videcoq , n. m. Bécasse.
vièle , n. f. Ancêtre du violon.
vin de rivière , Vin qui arrivait par voie d’eau.
vouge , n. m. Arme dont l’embout est une sorte de hachoir ; c’est l’ancêtre de la hallebarde. La guisarme , à l’origine, était une serpe de bûcheron. Ces deux armes devinrent des armes d’hast, c’est-à-dire qu’elles furent munies d’un long manche en vue d’un usage guerrier. La majorité des armes de ce type dérivent d’outils de paysans, tels la faux, le couteau ou la hache. Hormis la guisarme et le vouge, les principales armes d’hast sont la pertuisane, le fauchard, la hallebarde et la pique.
Remerciements
Je tiens à exprimer toute ma gratitude à Dominique Martel, à Jocelyne Fournier et à Bernard Chaput, trois de mes quatre premiers lecteurs, ainsi qu’à Geoffrey Abbott pour avoir éclairé ma lanterne sur certains détails d’ordre technique. Merci du fond du cœur à Jean-Claude Larouche, mon éditeur, pour avoir eu foi en mon œuvre, et à Marc Beaudoin pour ses conseils judicieux. Je suis aussi reconnaissante envers mon employeur, le frère Etienne Rizzo, de même qu’envers mes collègues de travail, Lucie, Luc, Denise, Claudette, le frère Bruno et Michel, qui m’ont donné la chance de bénéficier d’un horaire propice à l’élaboration de ce roman. Je ne saurais non plus oublier Ciuin-Ferrin et mes autres amis clavardeurs pour leur complicité enthousiaste lors de jeux de rôle qui m’ont permis non seulement de voyager dans le temps, mais aussi de mieux cibler certains aspects de mon intrigue et de mes personnages. Enfin, je veux adresser une mention toute spéciale à mon père, Yves, à ma famille et à mes amis pour leur indulgence à mon égard au cours des six dernières années.
M. B.
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