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Dernières Révélations sur les Templiers

Dernières Révélations sur les Templiers

Titel: Dernières Révélations sur les Templiers Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Pascal Le Charpentier
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colline de Belleville o˘ ils avaient courtwes, les pentes de Montmartre et leurs vignes.
    Sur la rive gauche, ils semblent avoir eu quelques Possessions dans le quartier Saint-@cel et la plus grande part du faubourg Saint-Jacques.
    Ainsi en auait-il dans chaque ville de France.
    On comprend que le morceau parut doux @a cro-
    i6g

    Les mystères teinpliers
    ,quer au roi Philippe le Bel_, toujours impécunieux comme tous les gouvernements. se Et une question, des plus importantes., se po alors : pourquoi?
    Voici un ordre dm lequel la pauvreté est de rigueur, plus que de rigueur m@
    imposée, et dont la rèee, qui @ge la pauvreté, est conçue de telle sorte que la richesse devienne obligatoire.
    @ devise des Templiers répond., mais seulement jusqu7à un certain point : Non nobis Domine-, nm nobts., se-d nomim tuo da g - Non Pour nous> Seigneur., non pour nous @ pour que ton Norîi en ait la gloire.
    Rêvons...
    que serait-il arrivé si Philippe le Bel n7avait pass en 1307, ordonné l'arrestation de tous les Templiers3 la nase sous séquestre de tous le,= biens et syil n9avait pas, à l'instigation du Grand Inquisiteur de F=@
    son confesseur> frère Guillaume de Paris> intenté contre eux ce pr@.) modèle d'mquité?
    @ Templiers possédaient, dans la seule Francrc environ deux millions d'he=@
    qui échaPPaient à toute taxe, à toute dîme. Ils en eussent., très rapidement, possédé le double* exploité Par des gens sur lesquels s'étendait leur protection entière, tant civile que cléricale qui ne payaient non Plus ni d˚nes ni taxes-, qui relevaient seulement de leur justice, haute ou basse.
    Très vite, q ' ue serait-il resté des Puissances telnporelles tant de l'…
    glise que des " seigneurs 0 ?
    Une puissance temporelle ne se @tient que par
    170
    La richesse du Temple
    la force qui permet d'imposer, ou par l'argent qui permet d'acheter. Or, toute la force de la noblesse passait au Temple qui possédait sans doute la me¸leure armée du monde et que la noblesse rejoignait; et toute la richesse s'accumulait également au Temple.
    Les évêques eussent été réduits à n'être plus que des hommes de Dieu. Et quel b‚tard royal, quel cadet de famille e˚t alors postulé un évêché?
    La noblesse n'e˚t plus été qu'une chevalerie qui, sous l'égide du Temple, n'aurait plus connu que l'alternative d'être noble, au sens g=d du terme., ou de n'être rien.
    . qu'on ne s'y trompe pas, tout cela est contenu implicitement dans la rèee de saint Bernard : à la fois la puissance de l'ordre et l'impossibilité pour awm des chevaliers d'en tirer des avantages personnels, ni même d'en profiter.
    Conformément à l'idéal chevaleresque, qui naît et se @e vers les temps de la oe du Temple, ces chevaliers sont, avant tout, des libérateurs.
    Sauf en ce qui concerne la Milioe d'Orient, qui constitue à la fois un alibi et une t probation " pour les chevaliers, on n'a pas ass@ me semble-t-il, r qué que les missions remplies par l'Ordre du Temple ont été, avant tout, des missions de libération.
    Leurs cultures, rôle qu'on ne s'attendrait pas à voir remplir avec tant de soin par des guerriers, fussentils moines, ont contribué dans une mesure notable à libérer les hommes de ces famines constantes qui étaient le fléau du Moyen Age.
    Il est évident que ces cultures dépassaient de loin 117Z
    Les mystères templiers
    leurs propres besoins et ceux de la Aqce opérant en Orient. Ce blé., cette orge ont donc certainement paru sur les marchés de l,époque, et nous savons que dans les pays gros producteurs., telle la Beauce, ils avaient ès ou dans les commanderies des granges construit, Pr par ailleurs, les moyens de pour le blé qu'ils avaiente transporter ou de faire transporter aux lieux o˘ une disette se manifestait- ent nécessité à tous les Tem-La règle faisait égalein ne pouvaient Pas pliers de j,alimône envers ceux qui
    était de règle, dans payer leur nourriture. L'aun@,One ' par semaine; de chaque maison tenplière, trois fois plus, avec les restes de nourriture de deux Tenpiiers, on devait pouvoir nourrir un pauvre., et chaque frère devait surveiller ce qu'il mangeait en conséquenceAutant qu'on le sache, ces prescriptions de la règle ont toujours été scrupuleusement observées.
    Durant i
    une colnmanderie qui avait fa t
    le procès., on a cité
    semaine., plus de dix mille aumônes dans une seule dans un temps de disette.
    au moins L)existence de routes temP"Ures ou-' tout a de chemins que les

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