Dernières Révélations sur les Templiers

livré. Es le rendent : " Si oe n'était pas un malfaiteur... "
    Pilate leur suggère d'éviter le procès - conune tout fonctionnaire il n'aime pas trop les complications. - " Tuez-le vous-mêmes. "
    Et ils lui répondent :
    "Il ne nous est permis de faire mourir personne. "
    Alors, Pilate le fait crucifier. Mais pas comme pro-215
    Les mystères templiers

    phète, pas comme blasphémateur de Yahvé. Comme malfaiteur.
    Et quel est son méfait ? Comme de coutume, celui-ci est inscrit au-dessus du condamné sur l'instrument du supplice : "Pilate fit faire un écriteau qu'il plaça au-dessus de la croix : jésus de Nazareth, le roi des Juifs (_jean_, XIX, ig) en grec., en latin et en hébreu. " Et cela en application de la loi Julia qui réprimait le crimen majestatis : tout attentat contre le peuple romain ou l'ordre public. …tait coupable et justiciable de cette loi, " quiconque, à l'aide d'honunes armés, conspire contre la République, ou par lequel des séditions prennent naissance".
    Les disciples n étaient pas armés? Oubliez-vous Pierre qui tira son épée contre les soldats romains au
    jardin des Oliviers?
    Rébellion contre Rome? Certainement. La généalogie de jésus est connue.
    Il descend de David,, par joseph, et peut-être par sa mère également. Il est héritier du trône de David. Et il ne fait pas mystère de réclamer son trône.
    Vous trouvez cela tout au long des …critures Gabriel à Marie : "Tu enfanteras un fils... Le Seigneur lui donnera le trône de David, son père.
    Il régnera éternellement sur la maison de Jacob. " il est salué par les mages comme roi des Juifs.
    quand Pilate lui demande : "C'est toi le roi des Juifs?" il répond : <@ Tu l'as dit. "
    On peut bien ergoter sur cette réponse en prétendant queue signifie : e C'est toi qui l'as dit. " En fait, eest bien une affirmation.
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    Le reniement
    Et un roi des Juifs qui ne réclamait pas son royaume seulement avec des bonnes paroles. …coutez-le parler à ses disciples
    " - Amenez ici mes ennemis qui n'ont pas voulu m eavoir pour roi, et tuez-les en ma Présence " (Luc, XIX, 27).
    Le fils de David s'exprime comme un chef de
    guerre civile
    " - Celui qui n'est pas avec moi est contre moi... " - Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre. je suis venu apporter non la paix mais l'épée. "
    Et pour les régions qui l'ont mal accueilli
    " - Malheur à toi, Corazaîn. Malheur à toi, Bethsaîda... "
    E y a aussi les promesses
    Alors Pierre prenant la parole, lui dit : <@ Et nous, nous avons tout quitté et nous t'avons suivi; qu'avonsnous donc à attendre?" jésus leur répondit : " En vérité, je vous le déclare, au renouvellement de toute chose, lorsque le fils de l'homme sera assis sur le trône de sa gloire, vous qui m'avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes jugeant les douze tribus d'IsraÎl. "
    Dans Luc, lorsque l'assemblée, le Sanhédrin, le mène à Pilate, c'est avec cette accusation :
    Voici celui que nous avons trouvé soulevant notre nation, défendant de payer le tribut à César et se disant le Christ, le Roi. " (Christ, est la traduction grecque de l'hébreu, oint. Tous les fils aînés., consacrés au seigneur, étaient oints.)
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    Les mystères templiers
    Paraitra-t-il étonnant que les chevaliers du Temple> qui ont fouwé les soubassements du Temple de Sal(> mon - qui étaient aussi ceux du Temple reconstruit vers 5oo avant Jésus-Christ et détruit par Titus en 70 -,, paraîtra-t-il étonnant qu'ils aient trouvé des documents les éclairant sur cette énigme de JésusChrist ?
    Ne serait-ce qu'un Flavius Josèphe non adapté ?
    Et pourtant, ils restent chrétiens. Si vous avez bien lu, ils ne demandent de renier que celui qui est uff la croix : le crucifié de Pilate.
    Y a-t-il donc autre chose ?
    Eh bien, cela apparaît évident
    E y a des paroles de haine dans les …vangiles, 's il n'y a pas que des paroles de haine. Il y a des paroles d'amour. Des paroles véritablement chr& tiennes, des paroles de sagesse, des paroles d'initié.
    Cela ne se concilie pas toujours très bien, quelque soin que l'on prenne d'accepter une part des écrits dans leur sens littéral et de "traduire s allégoriquement l'autre partie...
    Comment, en effet, concilier : " Si ta main eest un objet de scandale, coupe ta main " et " De peur qu'en arrachant l'ivraie vous n'arrachiez aussi le froment. " Est-ce le partisan qui dit : " je veux la miséricorde et non point le sacrifice ", lui qui