Fourier
(Paris, 1923) ; P. Léon,
« Vie et mort d’un grand marché international. La foire de Beaucaire (XVIIIe-XIXe
siècle) », Revue de géographie de Lyon, 4 (1953), 309-328 ; Charles de Gourcy,
La Foire de Beaucaire, étude d’histoire économique (Montpellier, 1911) ; L.
Arque, « La foire de Leipzig dans les temps passés », La Science sociale, XXV
(mai 1910), 17-88 ; et Braudel, Les Jeux de l’échange, Paris, A. Colin, 1979,
p. 63-78.
50. Labasse, Commerce des soies, 55-56 ; E.
Pariset, Histoire de la fabrique lyonnaise (Lyon, 1901), 291-292.
51. AN 10AS 6 (5).
52. AML I2111 et I2114 ; AN F73559.
53. « Des cinq passions sensuelles », La
Phalange, IV (1846), 37.
54. « Des cinq passions sensuelles », La
Phalange, IV (1846), 39.
55. Pellarin, Fourier, 23.
56. OC II, 189, 209, Le bâtiment en question
est l’hôtel de Thélusson, à Paris, construit par Ledoux entre 1778 et 1781.
Voir aussi OC XII, 705.
57. AN 10AS 9 pour Bâle et AN 10AS 5 (8), p.
40, pour les Kellner.
58. « Du clavier puissanciel des caractères »,
La Phalange, VI (1847), 23.
59. AN 10AS 7 (1) : « Il est très possible que
les savants étrangers ne partagent pas la manie (de dénigrer les idées
originales) commune à ceux de France, et j’en augure par les étrangers de
classe bourgeoise que j’ai fréquentés. Chaque fois que j’ai conféré sur
l’Attraction avec des Allemands, des hommes du Nord, et même des Italiens,
qu’on dit superficiels, j’ai trouvé en eux une rectitude de jugement étrangère
aux Français. »
60. Voir par exemple OC VII, 387 : « Si l’on
raisonne sur les manies amoureuses avec les femmes qui ont eu beaucoup d’amants
et les hommes qui ont eu beaucoup de maîtresses, on apprendra par leurs récits
que ces manies sont variées à l’infini. » Voir aussi AN 10AS 7
(I), p. 19 ; 10AS 7 (2), p. 101 ; 10AS 7 (3), pp. 22, 35-36 ; 10AS 3 (4), p.
46.
61. OC VIII, 189.
Chapitre V : Journaliste à Lyon
1. Sur le journalisme dans la France
napoléonienne, voir André Cabanis, La Presse sous le Consulat et l’Empire
(1799-1814) (Paris, 1975) ; Eugène Hatin, Histoire politique et littéraire de
la presse en France, 8 vol. (Paris, 1859-1861), VII, 377-604; Henri
Welschinger, La Censure sous le Premier Empire (Paris, 1882) ; Robert B.
Holtman, Napoleonic Propaganda (Bâton Rouge, 1950).
2. Sur le journalisme à Lyon sous Napoléon,
voir Pierre Riberette, « Pierre-Simon Ballanche et le Bulletin de Lyon » in
Actes du 96e Congrès des sociétés savantes (Toulouse, 1971), Section d’histoire
moderne et contemporaine, I (Paris, 1976), 481-512, et Aimé Vingtrinier,
Histoire des journaux de Lyon depuis leur origine jusqu’à nos jours (Lyon,
1852), 86-117. Voir aussi Sébastien Charléty, « La vie politique à Lyon sous
Napoléon », Revue d’histoire de Lyon, IV (1905), en particulier 375-378, et
Louis Trénard, Lyon, de l’« Encyclopédie » au préromantisme, II, 522-527.
3. La lettre, signée des deux noms de
Martainville et « Fourrier », est écrite de la main du premier. Elle a été
publiée intégralement dans Vingtrinier, Histoire des journaux de Lyon, 88.
4. Verninac à Fouché, 24 thermidor an VIII, AN
F7 3452, « Police des journaux », pièce 44.
5. Il y a un important dossier concernant ce
projet de journal dans AN F7 3452, pièces 40-56. Certains documents inclus dans
ce dossier laissent penser que Fourier et Martainville agissaient en fait comme
prête-noms pour les imprimeurs royalistes Tournachon et Molin, à qui on avait
d’abord accordé puis refusé l’autorisation de publier un journal sous leur nom.
Voir Verninac à Fouché, 19 thermidor an VIII, AN F7 3452, pièce 46. Après le retrait
de l’autorisation accordée à Tournachon-Molin, écrit Verninac, « on a cherché
un expédient et ç’a été de mettre la permission sur la tête d’un nommé
Martainville et d’un autre mauvais sujet, tous les deux sans aveu, tous les
deux plus immoraux et plus réacteurs encore que Tournachon-Molin et qui sont
évidemment à ses gages ». Pour une analyse détaillée de cet épisode, voir
Riberette, « Fourier à Lyon », 280-284.
6. Martainville, né à Cadix en 1777 et mort de
la goutte à Paris le dernier jour des Trois Glorieuses, attend toujours son
biographe. Le passage qui le concerne ici se fonde principalement sur Henri
Corbel, Figures du passé: Martainville (1777-1830) (Paris, 1911). Voir aussi
Jules Janin, Histoire de la littérature dramatique, 2e édition
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