Fourier
Ezhe-godnik
(1959), 303. Sur les fruitières, voir OC II, 37 ; OC VI, 7 ; Bourgin, Fourier,
46 ; Ioannisian, Genezis, 168-169 ; Michel Vernus, Le Comté, une saveur venue
des siècles (Lyon, 1988), et, du même auteur, l’article « Les fouriéristes et
les fruitières comtoises », Cahiers Charles Fourier, 2 (1991), 47-56.
20. OC I, 6-7.
21. AN 10AS20 (11): « J’entrepris le calcul de
l’association en avril 1799 et réussis à trouver le germe, l’opération
fondamentale, et l’organisation des tâches et des membres en une série de
groupes affiliés et contrastés. »
22. OC I, 8.
23. OCI, 11
24. OC I, 12.
25. Pour une plus ample discussion de ce
problème, voir chapitre XI, section II, et chapitre XVII, section I.
26. Bourgin, Fourier, 56-137. Cette étude
néglige malheureusement les manuscrits publiés de Fourier et ne prend pas en
compte ses sources scientifiques. Pour une critique percutante de Bourgin, voir
Lehouck, Fourier aujourd’hui, 168-172.
27. Bourgin, Fourier, 120-128, 135.
28. Bourgin, Fourier, 60-61.
29. « Des cinq passions sensuelles », La
Phalange, IV (1846), 6-8 ; OC IV, 334.
30. AN 101S 24 (2). 100. L’article est celui
de l’abbé Nauton, « Essai sur la cause physique des différents habitants de la
terre », dans le journal édité par l’abbé Rozier et Mongez le jeune,
Observations sur la physique, sur l’histoire naturelle et sur les arts, XVIII
(septembre 1781), 165-184. Ce journal s’appela ensuite le Journal de la
physique.
31. Voir par exemple OC V, 47-49; OC VI, 175,
202-203, 461 ; OC VII, 33, 111, 223, 261-262 ; OC XII, 609.
32. Sur la connaissance qu’avait Fourier des
physiocrates et de Bernardin de Saint-Pierre, voir ci-dessous, chapitre X,
section I et chapitre XVII, sections III et IV. Sur l’abbé Raynal, voir par
exemple OC I, 59-60, 254-255 ; OC X, PM (1851), 259, 293, 309. Sur Mably, voir
La Phalange, VIII (1848), 151 ; OC XI, PM (1853-1856), 129; OC XII, 667. Sur
Fénelon, voir OC II, Sommaires, 22-23, 116 ; OC V, 477-485.
33. « Des trois passions distributives », La
Phalange, II (1846), 520-521.
34. Léon Cellier, Fabre d’Olivet, Contribution
à l’étude des aspects religieux du romantisme (Paris, 1953), 12, 400. Voir
aussi André Monglond, Le Préromantisme français, 2 vol., (Grenoble, 1930), II,
263-277. Les remarques qui suivent s’appliquent aussi, à quelques nuances près,
à l’oeuvre de mystiques et visionnaires mineurs comme Hyacinthe Azaïs,
François-Guillaume Coëssin et Fabre d’Olivet.
35. OC I, 2 ; Henri de Saint-Simon, Du système
industriel, in Œuvres de Saint-Simon et d’Enfantin, 47 vol. (Paris, 1865-1878),
XXX, 182 ; Pierre Simon Ballanche, Du sentiment considéré dans ses rapports avec
la littérature et les arts (Lyon, 1801), 56-57, Louis de Bonald, Mélanges
littéraires, politiques et philosophiques, 2 vol. (Paris, 1858), II, 406.
36. Henri de Saint-Simon, Esquisse d’une
nouvelle encyclopédie, in OEuvres, XV, 92.
37. Le Producteur, III (1826), 105.
38. Joseph de Maistre, Considérations sur la
France, in Œuvres complètes, 14 vol. (Lyon, 1884), I, 7.
Chapitre IV : Sergent de boutique de province
1. Les Annales Lyonnaises, 30 juin 1814, cité
in Georges Ribe, Opinion publique et la vie politique à Lyon : 1815-1822
(Paris, 1957), 74.
2. Louis Reybaud, Le Dernier des commis
voyageurs, 2e édition (Paris, 1856), 19-21. Pour une description similaire,
bien qu’un peu hyperbolique, de Lyon à cette époque, voir Lamartine, Histoire des
Girondins (Paris, 1860), V, 273 sqq.
3. Mazade d’Avèze, Lettres à ma fille sur mes
promenades à Lyon (Lyon, 1810), II, 177.
4. « Lettre au Grand Juge », Le Mouvement
social, 48 (juillet-septembre 1964), 65.
5. AML, « Registres des passeports », I2154
(11), #3860. Sur ce passeport, il est indiqué que l’âge de Fourier est de
trente-deux ans (alors qu’il en a en réalité vingt-neuf). Pour des raisons
inconnues, il se vieillit également de trois ou quatre ans dans d’autres
passeports datant du Directoire et du Consulat.
6. OCX, PM (1851) 1-24.
7. OCX, PM (1851), 23.
8. « Analyse du mécanisme d’agiotage », La
Phalange, VII (1848), 117.
9. Auguste Ducoin, « Particularités inconnues
sur ... Charles Fourier », Le Correspondant, XXVII (1851), 484. Cet article,
source de beaucoup de détails du présent paragraphe et du précédent, se fonde
en grande partie sur les notes et réminiscences de l’ami de Fourier,
Jean-Baptiste Dumas. Pierre
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