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Fourier

Fourier

Titel: Fourier Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Jonathan Beecher
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(Paris,
1854-1858), II, 74 sq., et Hatin, Histoire de la presse, VIII, 492-494. Sur le
théâtre de Maratinville, voir aussi Paul Ginisty, La Féerie (Paris, 1910),
75-133.
    7. Léon Thiessé, M. Etienne, essai
biographique et littéraire (Paris, 1853), xxii.
    8. Benjamin Constant, « Journaux intimes »
(1804), in Œuvres (Paris, Bibliothèque de la Pléiade, 1957), 423. Voir J-B.
Dumas, Notice historique sur la vie et les ouvrages de A.-F. Delandine (Lyon,
1820), et l’article sur Delandine par J.J. Hémardinquer in Roman d’Annat et R.
Limousin Lamothe (éd.), Dictionnaire de biographie française, X (Paris, 1963),
682-683. Sur le rôle de Jean-Baptiste Dumas dans le journalisme lyonnais, voir
Pierre Riberette, « Bal-lanche et le Bulletin de Lyon », cité supra (note 2).
    9. Journal de Lyon et du Midi, 5 et 19 nivôse,
3 et 5 ventôse an X. Le troisième article mentionné, « Conseils à un jeune
homme, par une femme », est peut-être de Fourier, qui fut plus tard accusé dans
une autre revue exactement du même type de ruse que le titre implique. L’auteur
donne à son jeune homme le conseil suivant : pour plaire aux autres, mieux vaut
obéir à ses passions, quelles qu’elles soient, qu’essayer de se montrer
aimable.
    10. Journal de Lyon et du Midi, 19 nivôse an
X. Fourier utilise la même expression au même effet dans son manuscrit de 1803
« Petitesse de la politique », OC X, PM (1851), 253.
    11. A en croire les souvenirs de sa sœur,
Fourier fut un versificateur précoce. Aucune de ses œuvres d’enfance ne nous
est parvenue, mais dans ses papiers on trouve un certain nombre de poèmes
datant de ses premières années à Lyon. Parmi eux, quelques poèmes d’amour,
plusieurs « chansons bachiques », une ode totalement irrévérencieuse « Sur le
rétablissement du Temple de la Magdeleine à Genève », et une « Pastorale sur
les jolies fêtes de l’Ile-Barbe à Lyon ». Cette dernière, datée de germinal an
XI (avril 1803), fut apparemment proposée au Bulletin. AN 10AS 23 (16), «
Pièces de vers ».
    12. « Satire envoyée à M. A. J. ... sur son
énigme, aux devins de laquelle il promet deux prix, l’un de saucissons et
l’autre de marrons ; et sur une réponse à cette énigme, sous la signature de
Femme A.F.... », Bulletin de Lyon, 1er frimaire an XII. Ce poème est signé «
Fourrier », comme toutes les autres contributions au Bulletin.
    13. J...ne, « A M. Fourier, auteur d’une
satire des lyonnaises », Bulletin de Lyon, 11 frimaire an XII. Ces lignes sont
signées « J...ne», mais Fourier y reconnut la griffe de nulle autre que la «
Femme A.F. ».
    14. « Harmonie universelle », Bulletin de
Lyon, 11 frimaire an XII.
    15. « Conversation sur l’homme du jour »,
signé « la belle Cordière, descendant de la belle Cordière qui faisait des vers
ou pour qui on en faisait du temps de François 1er ». Ce poème parut dans le
Bulletin de Lyon le 2 nivôse an XII, mais il avait déjà été publié sous forme
de pamphlet deux semaines plus tôt. Voir P.-M. Gonon, Bibliographie historique
de la ville de Lyon pendant la Révolution française (Lyon, 1844), 500 (2736).
    16. Vingtrinier, Revue du Lyonnais, IV (1852),
108-109.
    17. « Triumvirat continental et paix
perpétuelle sous trente ans », Bulletin de Lyon, 25 frimaire an XII.
    18. On trouve dans les manuscrits de 1803 des
brouillons de ces articles. Voir en particulier OC X, PM (1851), 224-235, où
Fourier prédit l’incendie de Paris par les envahisseurs russes et « tartares ».
    19. La Phalange, 2e série, II (1838), 1 ;
Pellarin, Fourier, 5e éd., 55, 165. Dans Paul Janet, « La philosophie de Charles Fourier »,
Revue des Deux Mondes, XXXV (1er octobre 1879), 628-629, on voit Napoléon
offrir à Fourier « un emploi au ministère des Finances » !
    20. Adolphe Brac de La Perrière à Fourier, 15
décembre 1834, AN 10AS 25 (3).
    21. OC l, 316-317.
    22. « Zacharie Delyror, habitué de Charenton
», lettre à la rédaction du Journal de Lyon. Nouvelles de la France et de
l’étranger, 30 frimaire an XII. Ce journal avait été fondé quelques semaines
plus tôt pour faire concurrence au Bulletin et il ne survécut pas plus de deux
mois ensuite. Sébastien Charléty a attribué sa « suppression » à la « verve
intempérée » des articles de Fourier, Revue d’histoire de Lyon, IV (1905), 376.
Il est plus vraisemblable, toutefois, qu’il soit mort de sa belle mort, faute
d’abonnés. Voir Vingtrinier, Revue du

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