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La lumière des parfaits

La lumière des parfaits

Titel: La lumière des parfaits Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Hugues De Queyssac
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de lignes horizontales et verticales constituant un damier d’émaux alternés. L’échiqueté est normalement formé de six tires verticales (on précise le nombre de tires, quand il n’est pas de six). Quand il est formé par deux traits verticaux et deux traits horizontaux, il est appelé équipolé. Qualifie toute surface ou pièce recouverte de ce motif.
    É CROUIR
    Arrondir au marteau une pièce d’armure.
    É CU
    Le mot recouvre plusieurs sens.
    1. Bouclier porté par les hommes d’armes. Au XIIIe s., il est de grande dimension (targe), constitué de planches de bois recouvertes de cuir et de bandes de fer. Durant la bataille, l’écu est tenu par l’intermédiaire d’énarmes disposées à l’intérieur du bouclier. Une courroie (guigue) permet de le suspendre au côté.
    2. Support des armoiries, l’écu donne aussi son nom à la surface sur laquelle sont placés les métaux, les émaux, les fourrures, les meubles.
    3. Monnaie d’or à l’écu de France et à la croix fleuronnée, frappée par Saint-Louis de 1263 à 1266, puis régulièrement émise dont le poids initial de 4,19 g varia à mesure du rognement. Au XIV e s., Philippe VI de Valois frappe une pièce d’or fin appelée écu à la chaise (où le roi est assis sur son trône).
    É CUYER
    Jeune noble ou damoiseau qui exercent des fonctions de domestique auprès d’un chevalier qui le nourrit et qui l’héberge. Il doit s’occuper des chevaux (à les curie), porter l’écu de son seigneur lors des chevauchées, le servir et apprendre à ses côtés le métier des armes. Il est appelé à devenir chevalier (dérivés : écuyer-tranchant : officier domestique chargé de la coupe des viandes).
    É CUYER TRANCHANT
    Écuyer chargé de trancher les viandes et les volailles servies à table.
    É DIT DE FOI
    Texte de proclamation énumérant, dans l’ordre hiérarchique, tous les délits qui relèvent du Saint-Office.
    É DIT DE G RÂCE
    Délai pour permettre aux coupables de confesser leurs délits et aux délateurs de dénoncer les personnes qu’ils jugent coupables.
    É LECTUAIRE
    Onguent.
    E MBÉGUINÉE
    Sotte.
    E MBRENNER
    Emmerder.
    E MBUFER
    Contrarier, braver, rebuffer.
    E MBURLUCOQUER
    Embrouiller (emburlucoquer une embûche).
    É MERVEILLABLE
    Admirable, qui émeut.
    É MEUVEMENT
    Agitation, émoi.
    E MMISTOYER ( S ’)
    Faire l’amour.
    E MMURER
    Emprisonner.
    É MOTION
    Émeute, tumulte.
    E MPENNER
    Emmancher.
    E N GRAND BOBANT
    En grande pompe.
    É NAMOURER
    Rendre, (être) amoureux.
    É NARMÉ ( E )
    Élément de défense (un bouclier, par exemple), qui est tenu en main par des lanières ou des courroies.
    E NCARAUDER
    Empoisonner.
    E NCHARBOTTÉ
    Ému.
    E NCHEFRINER ( ENCHEFRINEMENT )
    Emprisonner (emprisonnement).
    E NCISE
    Meurtre d’une femme enceinte ou de son enfant.
    E NCOURTINÉ
    Se dit d’une personne vivant à la cour (d’un roi, d’un prince, d’un empereur).
    E NDURA ( SE METTRE EN )
    Suicide volontaire des Parfaits (hérétiques albigeois) permis par leur religion : ils se laissaient mourir de faim ou s’ouvraient les veines.
    E NFAGILHER
    Ensorceler.
    E NFELONNÉ
    Irriter, courroucer (ou engrigner).
    E NFERMERIE
    Infirmerie.
    E NFERRER
    Mettre les fers à un prisonnier, un détenu (dans un cachot par exemple).
    E NGORGER
    Écouter en grognant.
    E NGOULER
    Avaler, engloutir.
    E NJÔMINER
    Être sous le charme, captiver par magie (l’attention, par exemple).
    E NVAHIE
    Attaque.
    É OLE
    Dieu des vents dans la mythologie grecque et romaine.
    É PAULIÈRE
    Pièce de l’armure qui protège l’épaule, dont elle épouse la forme.
    É PÉE
    Arme blanche dont les types sont variés : épée longue et droite, à deux mains, à une main, ou à une main et demie, plate, à dégorgeoir ou à profil en diamant, à deux tranchants, forgée pour porter des coups de taille par opposition à l’épée d’estoc, plus fine, à l’extrémité pointue et acérée, plus adaptée pour porter des coups de pointe.
    Pièce de métal fixée au talon des cavaliers, terminée par une molette (petite roue à dents pointues) servant à aiguillonner un cheval en lui piquant les flancs. Argentés pour un écuyer, les éperons sont en or ou dorés lorsqu’ils sont portés par un chevalier. S’il venait à être " dégradé ”, on lui couperait les éperons près du talon.
    É PILENCE
    Épilepsie.
    É PLAPOURDIR
    Stupéfier.
    É POINTÉ
    Dont la pointe est émoussée, arrondie, pour ne pas piquer ou blesser (notamment lors

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