Le Druidisme
J. Markale, Merlin
l’Enchanteur , pp. 127-145, chapitres sur « La Clairière
sacrée » et sur « Le Sanctuaire et la Source ».
[202] Guyonvarc’h-Le
Roux, Les Druides . Chez ces auteurs, le mot
« magie » n’a aucune connotation péjorative.
[203] C’est le cas de
nombreux « savants » de la fin du XIX e siècle,
tel Alexandre Bertrand, auteur de La Religion des
Gaulois , ouvrage écrit d’après des conférences devant des étudiants. Le
malheureux, empêtré dans un rationalisme scientiste bien de l’époque, souvent
marqué par un anticléricalisme primaire, passe totalement à côté du sujet en
ayant l’air d’en savoir plus que les autres. Son ouvrage est en fait une
dénonciation indignée de la superstition druidique, mais les arguments
développés et les conclusions auxquelles il aboutit sont assez ahurissants.
C’est évidemment l’inverse d’Édouard Schuré et de ses disciples, mais c’est
aussi excessif et sans intérêt.
[204] Il est
paradoxal de voir des médecins de plus en plus nombreux patronner discrètement
certains guérisseurs et magnétiseurs, reconnaissant par-là l’efficacité de
« pratiques » traditionnelles qui, en toute logique, ne devraient pas
être en contradiction avec la médecine officielle, mais la compléter.
[205] G. Dottin, L’Épopée irlandaise , p. 37.
[206] Trad.
Guyonvarc’h, Les Druides , p. 158.
[207] Un récit
médiéval de Bretagne armoricaine, à tendances hagiographiques, raconte une
histoire analogue, mais la pomme est remplacée par le voile de la fée. Voir
J. Markale, La Tradition celtique en Bretagne
armoricaine , pp. 30-32.
[208] Textes mythologiques irlandais , I, p. 152.
[209] J. Markale, Les grands Bardes gallois , pp. 74-81.
[210] Trad.
Guyonvarc’h, Ogam , XIII, pp. 512-513.
[211] Textes mythologiques irlandais , I, p. 74.
[212] J. Markale,
Les Celtes, pp. 65-90, chapitre sur « Rome et l’Épopée
celtique ». Ce texte a été écrit en 1958 et publié une première fois en
1960 dans la revue les Cahiers du Sud ,
n° 355.
[213] J. Markale, Les grands Bardes gallois , pp. 78-79.
[214] J. Loth, Mabinogion , p. 73.
[215] Ibidem.
[216] J. Markale, La Femme celte , pp. 207-247, chapitre sur
« La révolte de la Fille-Fleur ».
[217] J. Markale, Les grands Bardes gallois , pp. 90-91.
[218] J. Loth,
Mabinogion, pp. 62-63.
[219] R. Steiner, Unsere atlantischen Vorfahren , Berlin, 1918,
p. 14.
[220] Éditions
Triades, Paris.
[221] Éditions Anthroposophiques
Romandes, Genève.
[222] Association
Olivier de Serres, Issigeac (Dordogne).
[223] Taliesin.
J. Markale, Les grands Bardes gallois ,
p. 74.
[224] J. Markale, Les grands Bardes gallois , pp. 29-30 et
48-57.
[225] Id. ,
p. 100. Il s’agit d’Uryen Rheged, chef des Bretons du Nord au XV e siècle de notre ère. Ce personnage historique
est devenu un héros de légende, comme son fils, Owein, l’Yvain de Chrétien de
Troyes.
[226] Voir
J. Markale, Le Christianisme celtique ,
pp. 140-143.
[227] Textes
mythologiques irlandais , I, p. 68.
[228] Textes
mythologiques irlandais , I, p. 16.
[229] Id. ,
p. 245.
[230] Revue Celtique , XLIII, p. 28.
[231] Id. ,
p. 114.
[232] Textes mythologiques irlandais , I, p. 53.
[233] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 182-183.
[234] Je me suis
expliqué longuement sur le thème de la Ville d’Is dans le chapitre « La
Ville Engloutie ou le Mythe celtique de l’origine » dans Les Celtes , pp. 19-43, et dans le chapitre sur
« La Princesse engloutie » de La Femme
Celte , pp. 61-69. Voir également « L’inondation du Lough
Neagh » dans L’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 39-43, et « La Saga de Gradlon le Grand » dans La Tradition celtique en Bretagne armoricaine ,
pp. 60-108.
[235] J. Markale, Contes populaires de toutes les Bretagne ,
Rennes, 1977, pp. 48-50.
[236] Il ne faut pas
oublier qu’en langue bretonne, le mot mor ,
« mer », est du genre masculin. En fait, ce n’est pas la Mer, mais le
vieil Océan, terrible mâle contre lequel on doit toujours lutter.
[237] Il y en a bien
d’autres. Un auteur va même jusqu’à affirmer que le druidisme est dû à des
extra-terrestres, et en profite pour dire que je n’ai rien compris au problème
parce que je n’avais pas l’illumination . Je
préfère ne rien comprendre et être honnête. Toutes ces simagrées reposent sur
du délire et des analogies invérifiables,
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