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Le Druidisme

Le Druidisme

Titel: Le Druidisme Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Jean Markale
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type de conte est la « Saga de Koadalan » (J. Markale, La Tradition celtique en Bretagne armoricaine ,
pp. 169-185), mais le héros de l’aventure ne réussira qu’incomplètement à
se servir du secret qu’il a ramené : il tentera en effet d’acquérir
l’immortalité, après une mort et un démembrement symbolique, mais échouera.
Voir aussi « La Jeune Fille en Blanc » (J. Markale, Contes populaires de toutes les Bretagne ,
pp. 36-47) et la « Montagne Noire » (J. Markale, Contes occitans , pp. 223-235).
    [343] Paul Sébillot, Le Folklore de la France , vol. IV, « Les eaux
douces », Paris, Imago, 1983, pp. 43-44.
    [344] J. Markale, Mélusine , pp. 96-99. Cette vouivre des
légendes populaires est une des images de Mélusine.
    [345] J. Loth, Mabinogion , p. 220.
    [346] Étienne
Renardet, Vie et croyances des Gaulois avant la
conquête romaine , Paris, 1975, Picard, p. 184.
    [347] Par exemple,
des déplacements d’objets à distance sans contact matériel direct, ou encore
possibilité de se déplacer sans bouger (le don d’ubiquité, si cher à Merlin
l’Enchanteur), et tous les phénomènes que, faute de les comprendre, on classe
comme « magiques », ou comme « hystériques ».
    [348] Étienne Guillé
et Christine Hardy, L’Alchimie de la Vie, biologie et
tradition , Monaco, 1983, éd. du Rocher, p. 51.
    [349] Tous les jeux
« enfantins » sont les réminiscences plus ou moins lointaines de
rituels ou de spéculations religieuses ou métaphysiques, y compris l’innocente
« marelle » des petites filles, ou les comptines les plus anodines en
apparence.
    [350] Guyonvarc’h-Le Roux, Les Druides , p. 326.
    [351] J. Markale, Le Christianisme celtique , pp. 99-111.
    [352] La messe
catholique est bâtie sur le même principe. L’énergie psychique de tous les
fidèles se répercute sur le prêtre qui, au moment de la consécration de
l’Eucharistie, devient Dieu, c’est-à-dire la totalité, pour prononcer les
paroles sacramentelles de la transcendance absolue. C’est pourquoi dire la
Messe, le visage tourné vers les fidèles, comme cela se pratique dans la
nouvelle liturgie, est une aberration, au strict point de vue du rituel :
pour être efficaces, les forces psychiques individuelles doivent converger vers
la colonne vertébrale et la nuque du prêtre pour « emplir » celui-ci
et se manifester par sa parole et ses gestes.
    [353] En particulier
les poèmes attribués au barde Taliesin, qui semblent être des réminiscences de
la doctrine druidique passées au rang de motif littéraire ou poétique au cours
du Moyen Âge.
    [354] Vita Merlini de Geoffroy de Monmouth. Voir J. Markale, L’Épopée
celtique en Bretagne , p. 120.
    [355] La Navigation de Bran , Georges Dottin, L’Épopée
irlandaise , pp. 37-41.
    [356] La maladie de Cûchulainn, id ., pp. 127-128.
    [357] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 196-202.
    [358] Bénédeit, Le Voyage de Saint-Brendan , trad. Ian Short, Paris,
10/18,1984.
    [359] Plutarque, Sur la face de la Lune , p. 26.
    [360] G. Dottin, L’Épopée irlandaise , pp. 35-46.
    [361] Voir « La
Chasse du Blanc Porc », dans J. Markale, La
Tradition celtique en Bretagne armoricaine , pp. 52-59, ainsi que le
conte armoricain « Le Temps oublié », dans J. Markale, Contes populaires de toutes les Bretagne ,
pp. 258-263.
    [362] Fumée et odeur
par exemple.
    [363] Plutarque, Sur la fin des oracles , 18.
    [364] Il va sans dire
que les spéculations du néo-druidisme contemporain sur les errances de l’être humain
dans les cercles de l’existence, Abred , monde
des actions humaines, Gwenved , « monde
blanc », cercle paradisiaque, et Keugant ,
cercle vide où réside le divin, sont absolument dénuées de tout fondement.
L’origine de cette hiérarchisation ne remonte pas plus haut que Iolo Morganwg,
fondateur du néo-druidisme gallois à la fin du XVIII e  siècle.
On serait bien en peine de trouver une quelconque allusion à Abred , Gwenved et Keugant dans les textes gallois et irlandais du
Moyen Âge. Iolo Morganwg est un personnage assez étrange qui, comme un peu plus
tard en Bretagne La Villemarqué, était persuadé qu’il travaillait à une renaissance
du druidisme et voulait le rendre cohérent et compréhensible pour une élite
intellectuelle marquée par le christianisme et les sociétés ésotériques.
    [365] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 184-191.
    [366] Le même

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