Le Druidisme
mai et doit sa structure à une religion pré-celtique. La
fête de Noël est chrétienne, mais d’origine romaine (les Saturnales et le culte
de Mithra). C’est un non-sens absolu d’accomplir des rites celtiques aux
solstices. Il est vrai que ces rites – dont ceux qui les pratiquent sont
incapables d’expliquer l’origine – sont devenus des caricatures grotesques ou
des manifestations folkloriques.
[267] « La
Naissance de Conchobar », trad. Guyonvarc’h, Ogam ,
XI, p. 61.
[268] Revue de l’Histoire des Religions , CXXII, p. 132.
[269] Ce qui n’est
plus le cas actuellement. La liturgie catholique romaine a été bâtie sur le
latin et remonte très loin dans le passé. Elle constitue non seulement un
ensemble de paroles, mais également de rythmes, d’articulations d’une grande
précision qui se manifestent dans la récitation, la psalmodie et le chant.
Mettre d’autres musiques et d’autres rythmes sur le texte latin, c’est un
contresens. Mettre d’autres paroles, par exemple des traductions en langues
vivantes officielles ou vernaculaires, c’est un non-sens absolu.
[270] Textes mythologiques
irlandais , I, p. 56.
[271] Les
représentations du diable, ou de légendes concernant le diable, se trouvent toujours
sur le portail nord des cathédrales ou des églises. Au Moyen Âge, et même par
la suite, on plaçait les hommes à droite, dans la nef, et les femmes, êtres
supposés « diaboliques », sur la gauche.
[272] Athénée, XXIII.
[273] Le Livre des
Conquêtes, Textes mythologiques irlandais , I,
15. Ce rite du pied droit perdure dans les coutumes populaires : quelqu’un
qui est de mauvaise humeur, ou qui a raté sa journée, s’est « levé du pied
gauche ». La même connotation s’est longtemps maintenue en
politique : la gauche est inquiétante, mais la droite est rassurante.
[274] « La mort de Cûchulainn », Ogam , XVIII, p. 346.
[275] « Talland
Étair », Revue celtique , VIII,
p. 48.
[276] Textes mythologiques irlandais , I, p. 56.
[277] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 135.
[278] Trad.
Guyonvarc’h, Les Druides , p. 172.
[279] J. Loth, Mabinogion ,
p. 103.
[280] Revue celtique , XII, pp. 119-121.
[281] W. Stokes, Three Irish Glossaries , p. 25.
[282] W. Stokes, Three Irish Glossaries , p. 25.
[283] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 146.
[284] Ancient Laws of Ireland , I, p. 44.
[285] « La mort
de Finn », O’Grady, Silva Gadelica . Voir
J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 165-168.
[286] Cité par Guyonvarc’h-Le
Roux, Les Druides , p. 206.
[287] J. Markale, Merlin l’Enchanteur , p. 14.
[288] Id. ,
pp. 67-68.
[289] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 65.
[290] Id. ,
pp. 155 et 160-161.
[291] Voir le
chapitre sur « Yseult ou la Dame du Verger », dans J. Markale, La Femme celte , pp. 293-354.
[292] Tristan est un
homme-lune qui ne peut plus vivre sans recevoir la lumière du soleil,
c’est-à-dire sans avoir de contacts avec la femme-soleil. Sur tout ce sujet,
voir J. Markale, Siegfried ou l’Or du Rhin ,
Paris, Retz, 1984, en particulier le chapitre concernant la Femme-Soleil.
[293] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 162-163.
[294] Id. ,
pp. 134-137.
[295] Revue celtique , XXI, p. 152.
[296] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 177.
[297] Revue celtique , VI, p. 165.
[298] G. Dottin, L’Épopée irlandaise , pp. 108-110.
[299] Ogam ,
XIV, p. 498.
[300] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 154.
[301] J. Loth, Mabinogion ,
pp. 139-144. Voir J. Markale, Le roi Arthur ,
pp. 285-290.
[302] J. Loth, Mabinogion , p. 99.
[303] Id. , pp. 16-20.
[304] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 184-191.
[305] J. Markale, Le roi Arthur , pp. 198-200 et 297-298.
[306] Id. ,
pp. 267-269 et 294-300.
[307] Ibidem.
[308] G. Dumézil, Romans de Scythie et d’alentour , Paris, Payot, 1978,
p. 13.
[309] Mircea Eliade, Le Chamanisme , 2 e éd.,
Paris, Payot, 1968, p. 15.
[310] J. Loth, Mabinogion ,
pp. 78-79.
[311] Textes mythologiques irlandais , I, pp. 145-156.
[312] « La
Fondation du domaine de Tara », id. ,
pp. 157-166.
[313] J. Markale, Les grands Bardes gallois , pp. 74-81,
pp. 72-73 et 115-116.
[314] J. Markale, L’Épopée celtique en Bretagne ,
pp. 94-100.
[315] J. Markale, Contes populaires de toutes les Bretagne
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