Les Décombres
meilleurs, que leurs femelles, leurs maîtresses juives, leurs amis juifs ont dévoyés, qui sont peut-être, irrémédiablement perdus pour la France. Des sections spéciales pourront être créées, dans les bibliothèques et les musées, pour l’étude historique de certains ouvrages d’Israël. Mais la mise en circulation publique, sous quelque forme que ce soit, concerts, théâtres, cinéma, livres, radio, expositions, d’une œuvre juive ou demi-juive doit être prohibée sans réserves ni nuances, de Meyerbeer à Reynaldo Hahn, de Henri Heine à Bergson.
Des autodafés seront ordonnés du maximum d’exemplaires des littératures, peintures, partitions juives et judaïques ayant le plus travaillé à la décadence de notre peuple, sociologie, religion, critique, politique, Levy-Brühl, Durkheim, Maritain, Benda, Bernstein, Soutine, Darius Milhaud.
Les Juifs, essentiellement imitateurs, ont été sans conteste de remarquables interprètes dans tous les arts, sauf le chant. Je ne verrais aucun inconvénient, pour ma part, à ce qu’un grand virtuose musical du ghetto fût autorisé à venir jouer parmi les Aryens pour leur divertissement, comme les esclaves exotiques dans la vieille Rome. Mais si ce devait être le prétexte d’un empiètement, si minime fût-il, de cette abominable espèce sur nous, je fracasserais moi-même le premier les disques de Chopin et de Mozart par les merveilleux Horowitz et Menuhin. Quoi ! au temps de Liszt, de Thalberg, de Paganini, qui valait beaucoup mieux que le nôtre, les Aryens n’avaient pas besoin du secours des Juifs pour exécuter incomparablement leurs œuvres. Dans le domaine de la virtuosité musicale on verra reparaître parmi nous d’innombrables talents que le monopole hébraïque étouffait.
J’ai une prédilection pour Camille Pissarro, le seul grand peintre qu’Israël, cette race incroyablement antiplastique, ait produit. Je serais prêt à décréter l’incinération de toutes ses toiles, si c’était nécessaire, pour que l’on fût guéri de ce cauchemar, de cette repoussante moisissure poussée sur les rameaux splendides de l’art français qui se nomma la peinture juive, débarrassé des montagnes d’inepties que cette peinture engendra. Voyez d’ailleurs que si l’on supprimait, dans la même époque, Van Gogh, Renoir, Cézanne, Manet, le vide serait irréparable. Pissarro tout entier n’ajoute au contraire pas grand’ chose que Claude Monet, Jongkind, Sisley, Millet, Boudin, Seurat, Gauguin ne contiennent déjà. Et Pissarro, parmi les Juifs, est resté inégalé.
Tous les grands siècles, tous les grands mouvements des arts et des pensées de notre ère se sont déroulés, de Giotto jusqu’à Renoir, du grégorien jusqu’à Wagner, de la Chanson de Roland jusqu’à Balzac, sans que les juifs y soient apparus, sauf un ou deux accidents, tel celui de Spinoza. Le Moyen Age, la Renaissance, le classicisme, le romantisme, les cathédrales, les fresques florentines, Van Eyck, Breughel, Tintoret, Titien, Greco, Poussin, Vélasquez, Rubens, Rembrandt, Watteau, Corot, Shakespeare, Cervantès, Racine, Goethe, cent mille autres, se sont parfaitement passé de leur concours. L’agréable Mendelssohn est un point infime dans l’océan de la musique allemande. Mais Meyerbeer et Halévy sont d’énormes sagouins.
On avait voulu savoir si les ghettos ne renfermaient point des génies inconnus et dont l’exemple rajeunirait notre vieux monde. On a ouvert les portes. On a été bientôt renseigné. On a vu se ruer des bandes de porcs et de singes qui ont salopé, dégradé tout ce qu’ils approchaient.
Nous pouvons proscrire sans remords l’esprit juif et ses œuvres, anéantir celles-ci. Ce que nous y perdrons ne comptera guère. Mais les vertus que nous y gagnerons seront sans prix.
L’ARMÉE FRANÇAISE
Dans une cinquantaine d’années, les manuels d’histoire à l’usage des rhétoriciens comporteront quelques paragraphes qui seront à certains mots près de cette encre :
« En 1918, l’armée française sortait victorieuse de la plus grande et de la plus dure des guerres, victoire péniblement acquise, et point par nous seuls, mais dont l’univers s’accordait à reconnaître que nous avions été les premiers artisans, et qui parait d’un prestige incomparable nos drapeaux. Couverte de cette gloire, l’armée française rentra dans ses quartiers. Elle y assista l’arme au pied, pendant vingt ans, à la liquidation sans
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