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L’HISTOIRE DE L’ATLANTIDE

L’HISTOIRE DE L’ATLANTIDE

Titel: L’HISTOIRE DE L’ATLANTIDE Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: W. Scott-Elliot
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Scandinavie, le Nord de la France et toutes les mers voisines et environnantes. Il est à remarquer que les restes de la Lémurie se trouvent diminués, tandis que les territoires de l’Europe, de l’Amérique et de l’Afrique se sont accrus.
    La troisième carte indique les résultats de la catastrophe qui s’est produite il y a environ deux cent mille ans.
    À l’exception de quelques changements survenus dans les continents d’Atlantide et d’Amérique, et la submersion de l’Égypte, on peut voir que les abaissements et les soulèvements des territoires à cette époque furent relativement peu importants. Et, en effet, la citation que nous avons empruntée au livre sacré des Guatémaléens prouve que cette catastrophe n’a pas toujours été regardée comme une des plus considérables – car, dans ce livre, on n’en mentionne que trois grandes. L’île de Scandinavie apparaît alors jointe au continent.
    Les deux parties qui composaient à ce moment l’Atlantide étaient désignées sous les noms de Routa et Daitya.
    En examinant la quatrième carte, on se rend compte de la prodigieuse convulsion qui eut lieu il y a environ quatre-vingt mille ans. Daitya, la plus petite des deux îles, et celle qui était le plus au sud, a presque complètement disparu, tandis qu’il ne subsiste plus de l’île de Routa qu’une partie relativement petite : l’île de Poseïdon. Cette carte, dressée il y a environ soixante-quinze mille ans, représente exactement, sans aucun doute, la surface de la terre telle qu’elle a existé depuis cette époque jusqu’à la submersion finale de Poseïdon en 9564 avant Jésus-Christ, bien que, dans le cours de cette période, des changements sans importance aient pu se produire.
    Il est à remarquer que les contours des continents commencèrent à ce moment à prendre l’aspect qu’ils ont de nos jours, bien que les îles Britanniques soient encore réunies au continent européen, tandis que la mer Baltique n’existait pas et que le désert du Sahara formait une partie du bassin de l’Océan.

CHAPITRE III
 
LES ORIGINES
 
    Quelques mots doivent être dits sur les Manous, à propos de ce qui a trait à l’origine d’une race racine. Dans le procès-verbal n° 26 de la London Lodge, on fait mention de l’œuvre de ces êtres vraiment supérieurs ; cette œuvre comprend non seulement la création des types du Manvantara tout entier, mais encore la direction, la formation et l’éducation de chaque race racine, en particulier. La citation suivante se rapporte à cette question : « Il existe aussi des Manous, dont le devoir consiste à agir d’une manière semblable avec chaque race racine de chaque planète de la même ronde ; le Manou semence créant les types inaugurés par chaque race racine successivement, et le Manou racine s’incarnant dans la nouvelle race pour être son guide, son instructeur, pour diriger son développement et assurer son progrès. »
    Quant à la manière dont est effectuée, par le Manou directeur, la séparation nécessaire des types supérieurs, il en sera parlé plus tard, ainsi que de sa sollicitude pour le groupe en développement. Il suffira pour le moment de mentionner le mode de procéder.
    La sélection destinée à produire la quatrième race racine s’est effectuée, sans doute, sur le continent connu sous le nom de Lémurie, parmi l’une des sous-races de la troisième race racine.
    En suivant l’histoire de la race à travers les quatre périodes représentées par les quatre cartes, on peut diviser le sujet de la manière suivante :
    1° Origine et répartition territoriale des différentes sous-races ;
    2° Institutions politiques qu’elles ont respectivement développées ;
    3° Leurs migrations dans d’autres parties du monde ;
    4° Arts et Sciences qu’elles ont développés ;
    5° Mœurs et Usages qu’elles adoptèrent ;
    6° Naissance et décadence des idées religieuses.
    On doit donner tout d’abord les noms des différentes sous-races :
    1. Rmoahal.
    2. Tlavatli.
    3. Toltèque.
    4. Première sous-race touranienne.
    5. Sémite primitive.
    6. Akkadienne.
    7. Mongole.
    Il est nécessaire de donner quelques explications sur le choix de ces noms.
    Partout où les ethnologues modernes ont pu trouver des traces de l’une de ces sous-races, reconnaître l’origine de quelques-unes d’entre elles, le nom qu’ils leur ont donné est employé pour la commodité du langage ; mais quant à ce

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