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Retour à l'Ouest

Retour à l'Ouest

Titel: Retour à l'Ouest Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Victor Serge
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Préobrajenski, Zinoviev.
    [10] Référence au roman (fortement autobiographique) de Jean Malaquais, Planète
sans visa dans lequel apparaît un personnage dans lequel on reconnaît
aisément Victor Serge. (N.D.S)
    [11] Lettre du 21 avril 1936, reproduite in Victor Serge et Léon Trotski, La
Lutte contre le stalinisme : textes 1936-1939 , textes choisis
et présentés par Michel Dreyfus, Maspero, 1977, p. 47-48.
    [12] Victor Serge, Mémoires d’un révolutionnaire…, op. cit., p. 773.
    [13] Titre repris, avec Seize fusillés cité ci-dessus, in Mémoires d’un
révolutionnaire…, op. cit., p. 315-493.
    [14] Ces précisions sont tirées d’une brochure non datée : «  La
Wallonie journal moderne ».
    [15] Lire René Campe, Marthe Dumon et Jean-Jacques Jespers, Radioscopie de la
presse belge, Marabout, Verviers, 1975. Leurs analyses portent plutôt sur La
Wallonie de l’après-guerre, mais donnent quand même une idée générale de
l’audience du journal.
    [16] Dans l’après-guerre, et précisément en 1951, la direction de La Wallonie revient
au militant syndicaliste André Renard qui est le leader des grèves générales
des métallurgistes de 1947 et 1957 et soutient la grève générale de 1960-1961.
Par la suite, le journal décline avec la désindustrialisation et la fin des
bastions ouvriers, mais il a encore 87 000 lecteurs en 1973.
    [17] Chiffres approximatifs : les thèmes se recoupent.
    [18] Ne s’applique pas à la présente édition numérique qui comprend la totalité des
rubriques. (N.D.S.)
    [19] « Adieu à un ami » (sur Nin) ; « Ángel
Pestaña » ; « Joaquín Maurín ».
    [20] Lettre de Victor Serge à Andrés Nin (7 août 1936) reproduite in Victor
Serge et Léon Trotski, La Lutte contre le stalinisme, op. cit., p.
122-127.
    [21] Ibid., p. 125.
    [22] Victor Serge, Mémoires d’un révolutionnaire…, op. cit., p. 777.
    [23] Victor Serge, « Crimes en Russie, intrigues en Espagne », La
Révolution prolétarienne, 10 décembre 1936, n°236, p. 1-2.
    [24] Victor Serge, Mémoires d’un révolutionnaire…, op. cit., p. 781.
    [25] Selon Julián Gorkin, un des chefs du POUM : interview avec l’auteur à
Paris le 3 juin 1964.
    [26] Cf. L. Nicolas, « Dans la mêlée espagnole », La Révolution
prolétarienne, 25 septembre 1937, n°255. Dans le même numéro on trouve
l’article « J’ai été témoin à Barcelone » de George Orwell [réédité
dans la revue Agone, 2000, n°24, p. 153-163].
    [27] Quelques titres : « Ce qui naît… », « Mineurs des
Asturies », « Portrait de femme », « Des interventions
étrangères en Espagne », « La victoire de l’Espagne républicaine
est-elle possible ? », « Pensons à Barcelone ! »,
« Réflexions sur des bombardements », « La bataille de
Guadalajara ».
    [28] Lire Emma Goldman, Vision on Fire : Emma Goldman on the
Spanish Revolution, David Porter (dir.), Commonground Press, New Paltz (NY)
1983.
    [29] La Révolution prolétarienne, 10 juin 1936, n°224.
    [30] « Hitler 1923 », « L’homme d’une grande faillite »,
« Hitler peint par Rauschning » et « Un livre d’Otto Strasser
sur Hitler ».
    [31] Voir le catalogue des archives Victor Serge à la Bibliothèque des manuscrits et
livres rares de Yale University :
http://webtext.library.yale.edu/xml2html/beinecke.SERGE.con.html#a3
    [32] Victor Serge, Résistance, Les Humbles, 1938 ; rééd. in Pour un
brasier dans le désert, poèmes réunis, établis et annotés par Jean Rière,
Plein Chant, « TypeType », 1999.
    [33] Parti des usines d’aviation du Havre le 11 mai 1936, le mouvement de grève
s’est rapidement étendu à toute la France. Au début du mois de juin, le pays
compte environ deux millions de grévistes. Le mouvement force le président du
Conseil, Albert Sarraut, à céder sa place à Léon Blum qui forme un gouvernement
majoritairement socialiste. Les accords de Matignon, signés dans la nuit du 7
au 8 juin, prévoient des augmentations de salaire, la nomination de
délégués syndicaux indépendants du patronat et quinze jours de congés payés.
Suite à ces accords, le PCF qui les soutient retire son appui au mouvement de
grève.
    [34] Le mouvement des canuts, les ouvriers tisserands de Lyon, en 1831, est
considéré comme l’une des premières insurrections ouvrières. Cette révolte, de
même que celle de 1834, fut réprimée dans le sang. [Sur ces deux événements,
lire Jacques Perdu,
La Révolte des

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