Une histoire du Canada
McClelland & stewart, 1987, p.
40-41.
2. Cotton Mather, en 1691, citation dans Linda Colley, Captives : Britain, Empire and the World, 1600–1850, Londres, Pimlico, 2003, p. 147.
3. au cours du plus célèbre incident, le massacre de deerfield en 1704, quelque 47 colons sont tués sur le champ et 111 amenés en captivité, Miquelon, New France, p. 40.
4. Faragher, Great and Noble Scheme, p. 135. Parmi les amérindiens, on compte des abénaquis, des Malécites et des Mi’kmaq.
5. Bruce P. Lennan, « Colonial Wars and imperial instability », dans P.J.
Marshall, The Oxford History of the British Empire, vol. 2, The Eighteenth Century, Oxford, Oxford University Press, 1998, p. 156.
6. Faragher, Great and Noble Scheme, p. 136–145.
7. Harold Kalman, A History of Canadian Architecture, vol. 1, toronto, Oxford University Press, 1994, p. 48–50.
8. Pehr Kalm, Travels in North America, vol. 2, new York, dover, 1964, p. 428.
9. L’intendant duchesneau cité dans White, Middle Ground , p. 36.
10. voir, par exemple, la description d’un arrangement matrimonial complexe dans White, Middle Ground, p. 70–75.
11. Citation dans Havard et vidal, Histoire de l’Amérique Française, p. 251.
12. alan taylor, American Colonies, new York, viking, 2001, p. 389-390.
13. À certains égards, les guerres de religion des années 1520 à 1648 « dégoûtent »
bon nombre d’européens, mais la religion n’en demeure pas moins une force politique importante et l’on s’inquiète des changements dans l’équilibre des religions en europe. Jacques ii considère sa religion catholique suffisamment importante pour risquer – et perdre – sa couronne en 1688. La guerre de la reine anne ou guerre de succession d’espagne est perçue par de nombreux Britanniques comme la lutte des protestants contre un pouvoir catholique agressif et en progression. voir MacCulloch, Reformation, p. 669–671, pour connaître l’état d’esprit au début du dix-huitième siècle.
14. david Landes souligne les avantages dont jouissent les Britanniques : transports intérieurs efficaces, disponibilité du charbon et agriculture efficace, tous des éléments qui contribuent à la croissance de l’économie britannique aux dix-huitième et dix-neuvième siècles : david Landes, Richesse et pauvreté 494
UnE HIsTOIRE dU Canada
des nations : pourquoi des riches ? Pourquoi des pauvres ?, Paris albin Michel, 2000, chap. 15 (trad. Jean-François séné).
15. Fred anderson, Crucible of War : The Seven Years’ War and the Fate of Empire in British North America, new York, Knopf, 2000, p. 36.
16. anderson, Crucible of War, p. 18–20.
17. eccles, Canadian Frontier, p. 160 ; selon anderson, Crucible of War, p. 32, les Français auront dépensé quatre millions de livres pour cette expédition.
18. ian K. steele, Betrayals : Fort William Henry and the ‘‘Massacre ’’ , new York, Oxford University Press, 1990, p. 117–122.
19. Linda Colley, dans Captives , p. 181-182, se sert de ce massacre pour laisser entendre qu’il y a, envers les amérindiens, un changement d’attitude de la part des Britanniques, qui passent d’une glorification romantique au début du siècle à une sorte de réalisme négatif dans les années 1750 et par la suite. elle ne s’étend toutefois pas sur le sujet et, si elle laisse entrevoir une opinion, celle-ci n’est pas concluante. il semble plus raisonnable de penser que les opinions concernant les amérindiens sont très différentes selon qu’on se place avant ou après fort William Henry.
20. Ces champs ont d’abord appartenu à un des premiers colons, un agriculteur du nom d’abraham Martin – d’où l’appellation « plaines d’abraham ».
21. il en faut beaucoup pour amoindrir la réputation de Wolfe et cela peut fort bien ne mener à rien. L’éminent historien Paul Kennedy ( The Rise and Fall of British Naval Mastery [Londres, ashfield Press, 1983], p. 108) laisse entendre que rares étaient ceux qui, au sein de l’armée britannique, pouvaient se comparer à Wolfe, que ce soit pendant la guerre de sept ans ou plus tard au cours du siècle. W.J. eccles ne pense pas grand bien de Wolfe ni de Montcalm, surtout de ce dernier : Canadian Frontier, p. 181-182. Fred anderson, dans Crucible of War, p. 351–355, soutient que Wolfe cherchait la mort, « sa sinistre muse », en septembre 1759 et je serais tenté de partager son point de vue.
5. LES GUERRES pOUR LA cOnqUêTE DE L’AméRiqUE (2)
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