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Une histoire du Canada

Une histoire du Canada

Titel: Une histoire du Canada Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Robert Bothwell
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1. ian Buruma, Anglomania : A European Love Affair, new York, random House, 1998, souligne certaines variantes d’anglomanie en europe depuis voltaire jusqu’à l’époque de Margaret thatcher.
    2. W.s. Macnutt, The Atlantic Provinces : The Emergence of Colonial Society, 1712–
    1857, toronto, McClelland & stewart, 1965, p. 72–75.
    3. t.F. Mcilwraith, « British north america, 1753–1967 », dans t.F. Mcilwraith et e.K. Muller (ed.), North America : The Historical Geography of a Changing Continent, 2nd ed., Lantham, Md., rowman and Littlefield, 2001, p. 207.
    4. Philip Lawson, The Imperial Challenge : Quebec and Britain in the Age of the American revolution, Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 1989, p. 144-145.
     
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    5. Piers Mackesy, The War for America, 1775–1783, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1964, p. 511.
    6. david Hackett Fischer, Paul Revere’s Ride, new York, Oxford University Press, 1994, p. 64.
    7. alan taylor, The Divided Ground : Indians, Settlers and the Northern Borderland of the American Revolution, new York, Knopf, 2006, chapitre 3.
    8. La théorie retenue à Paris est que l’amérique revenait de droit aux Britanniques puisqu’ils l’ont conquise (aux dépens des Français) et découverte, et que les américains en ont eux aussi hérité des Britanniques en raison de leur conquête (aux dépens des Britanniques) : Michael d. Green, « the expansion of european Colonization to the Mississippi valley, 1780–1880 », dans trigger et Washburn, Cambridge History of the Native Peoples, p. 465-466. L’argument va plus loin : le Congrès soutient que, puisque les amérindiens ont soutenu les Britanniques, ils ont perdu leurs terres, en plus de leur souveraineté.
    9. voir simon schama, Rough Crossing : Britain, the Slaves, and the American Revolution, toronto, viking Canada, 2006.
    10. John adams a eu recours au terne « voyou » ( mob ) pour nommer les émeutiers de Boston dans sa défense des soldats britanniques accusés de leurs meurtres dans le « massacre de Boston » survenu en 1770 : citation dans Hiller Zobel, The Boston Massacre, new York, norton, 1970, p. 2929. Les soldats seront acquittés.
    11. schama, Rough Crossing, p. 144–149.
    12. À ce sujet, voir Jane errington, The Lion, the Eagle, and Upper Canada, Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 1987, p. 4-5, 28–30.
    13. « Je pense que nous sommes tous anglophiles », dira l’historien et membre de la Bibliothèque du Congrès daniel Boorstin en 1961. « Comment faire autrement, à moins de nous haïr nous-mêmes ? » Citation dans Christopher Hitchens, Blood, Class and Empire : The Enduring Anglo-American Relationship, new York, nation Books, 2004, p. 14.
    6. LES GUERRES pOUR LA cOnqUêTE DE L’AméRiqUE (3) 1. www.statcan.ca/francais/freepub/98-187-XiF/pop.htm, statistique Canada, La population estimée du Canada, 1605 à aujourd’hui.
    2. taylor, Divided Ground, p. 17-18, souligne à quel point les besoins matériels des iroquois au dix-huitième siècle dépassent ceux de leurs ancêtres du dix-septième siècle.
    3. Gerald Craig, Upper Canada : The Formative Years, 1784–1841, toronto, McClelland & stewart, 1963, p. 142-143.
    4. edward ermatinger, Life of Colonel Talbot and the Talbot Settlement, réimprimé avec une introduction de J.J. talman, Belleville, Mika silk screening, 1972, édition originale de 1859, p. 111–115. Les expressions à double sens du colonel 496
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    pendant le souper sèment la consternation dans l’esprit du pasteur anglican de la région, à tel point que ce dernier ne lui rendra plus jamais visite.
    5. L’adhésion à ce principe, ou la résignation face à la réalité politique, est coûteuse : à la fin des années 1780, le gouvernement britannique verse
    £ 150 000 par an en subventions au Québec : John ehrman, The Younger Pitt : The Years of Acclaim, Londres, Constable, 1969, éd. brochée, 1984, p. 364.
    6. Un peu plus tard suivra une unité de montagnards, les territoriaux de Glengarry, premier régiment catholique de l’armée britannique, constitué en 1794 par alexander Macdonell, un prêtre catholique, pour participer à la guerre qui vient d’éclater contre la France révolutionnaire ; Macdonell en est l’aumônier. Pendant l’interruption des hostilités, en 1802, le régiment est dissous, laissant ses soldats sans emploi et poussant Macdonell à demander l’aide du gouvernement

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