Une histoire du Canada
Sates Expansionism. p. 142.
43. il a commencé par refuser ce poste au Canada en juillet 1837 et ne l’accepte qu’après que Londres ait vent des soulèvements de décembre 1837.
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44. Craig, Upper Canada, p. 263.
45. Fernand Ouellet, « Lambton, John George, 1er comte de durham », Dictionnaire biographique du Canada, vol. vii, p. 519.
46. noel, Patrons, Clients, Brokers, p. 108.
47. À l’encontre de durham, thomson est un politicien de tout premier ordre.
il a été président du Board of trade (ministre du Commerce) pendant la plus grande partie des années 1830 et, quelques mois plus tôt en 1839, on lui a offert le poste de chancelier de l’échiquier (ministre des Finances). il l’a refusé parce qu’il sait que la plupart de ses collègues du cabinet s’opposent aux réformes financières qu’il juge nécessaires : Dictionnaire biographique du Canada.
8. DE cOLOniES à pROVincES
1. Bien qu’on se doute en 1832 que l’eau est à l’origine des épidémies, ce n’est qu’en 1849 qu’un médecin londonien observateur conclut que la maladie est en effet d’origine hydrique et en 1883 qu’on isole et qu’on détecte le bacille qui cause le choléra.
2. akenson, The Irish in Ontario, p. 241.
3. Cité dans J. david Wood, Making Ontario : Agricultural Colonization and Landscape Re-creation Before the Railway , Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 2000, p. 139.
4. Letty anderson, « Water supply », dans norman Ball (dir.), Building Canada : A History of Public Works , toronto, University of toronto Press, 1988, p. 200.
après 1801, Montréal possède un « réseau partiel ». La compagnie des eaux de saint-Jean date de 1837 et celle de toronto de 1841.
5. Wood, Making Ontario , p.158. en 1850, près du tiers du couvert forestier du sud de l’Ontario a disparu ; en 1914, il s’agira de 90 pour cent.
6. James dixon, « the Canadian temper at the start of the Free trade era », publié à l’origine dans Craig, Early Travellers , p. 167.
7. Macnutt, The Atlantic Provinces , p. 228–229.
8. À partir du dix-septième siècle, la Grande-Bretagne réglemente, ou essaie de réglementer, qui peut faire le commerce de quoi dans les ports coloniaux. Les nouveaux états-Unis sont évidemment assujettis aux lois sur la navigation, qui sont plus transgressées que respectées. en 1822, le commerce par les Grands Lacs est officiellement exempté de ces lois et ce n’est pas trop tôt, étant donné la quasi-impossibilité de leur application.
9. Bourne, Britain and the Balance of Power , p. 164–169.
10. donald akenson, « irish Migration to north america, 1800–1920 », dans andy Bielenberg (dir.), The Irish Diaspora , Harlow, angleterre, Longman, 2003, p. 120-121.
11. akenson, « irish Migration », p. 121.
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12. Le film Gangs of New York (2002) présente une vision de l’immigration irlandaise et de la réaction américaine face à celle-ci d’une manière extraordinairement déplaisante. On y fait référence au Canada, à la bataille de Lundy’s Lane de 1814, comme source du patriotisme américain.
13. d’après l’entrée du Dictionnaire bibliographique du Canada qui le concerne, Cartier dira plus tard en souriant qu’il était « un insurgé » en 1837 ; dans une lettre à lord durham en 1838, il affirme ne s’être opposé qu’à l’oligarchie locale et non à la Couronne britannique. durham ne le croit pas et inscrit Cartier sur une liste des fugitifs recherchés pour trahison. toutefois, Cartier compose certaines chansons mémorables de nature sentimentale et nationaliste.
14. Lord elgin, le gouverneur général, explique la question à lord Grey, le secrétaire colonial, dans une lettre datée du 23 mai 1848 : « selon moi, en ce qui a trait à cette question, la véritable politique consiste à – garantir aux sujets de sa Majesté au Canada un libre accès aux marchés des états-Unis et tous les avantages relatifs à la réduction du fret qu’assureront la concurrence sur le saint-Laurent et l’océan […] vous devez alors compter sur l’affection
[des sujets canadiens] pour leurs propres institutions […] pour les inciter à demeurer stables et à résister aux offres alléchantes de la ‘‘bannière étoilée’’. »
voir elgin à Grey, 23 mai 1848, dans sir arthur doughty (dir.), La collection Elgin-Grey , vol. 1, Ottawa, imprimeur de sa très excellente majesté le roi, 1937, p.
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