Une histoire du Canada
toujours plausibles, en 1892 : Carl Berger, The Sense of Power : Studies in the Ideas of Canadian Imperialism, toronto, University of toronto Press, 1970, p. 145.
4. Jean-Claude robert, « Quebec », écrans 25 et 26 et tableau, dans Bob Hesketh et Chris Hackett, Canada : Confederation to Present, Cédérom.
5. norrie et Owram, History of the Canadian Economy, p. 321 : « en 1909, il passe plus de blé par Winnipeg que par n’importe quel autre centre au monde. »
6. voir l’analyse qu’en font robert Bothwell, ian drummond et John english dans Canada, 1900–1945, toronto, University of toronto Press, 1989, p. 81-82.
7. Citations dans H.v. nelles, The Politics of Development : Forests, Mines and Hydro-Electric Power in Ontario, 1849–1941, toronto, Macmillan, 1974, p. 220-221.
8. Le biographe de Blair dans le Dictionnaire biographique du Canada (vol. Xiii, p. 89), d.M. Young, cite une évaluation du Conseil des commissaires en la définissant comme « le prototype du tribunal administratif fédéral et la première manifestation nationale importante de l’état réglementateur moderne ».
9. voir en particulier duncan Mcdowall, Banque royale : au cœur de l’action , traduit de l’anglais par Gilles Gamas, Montréal, éditions de l’Homme, 1993, p. 191-230.
10. en 1913, pendant la révolution mexicaine, la délégation britannique à Mexico demande au gouvernement canadien quelles mesures elle doit prendre pour protéger certains investissements canadiens. Ottawa n’en a, bien sûr, pas la 506
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moindre idée. six ans plus tard, cependant, le cabinet canadien est intéressé à acquérir le pouvoir d’intervention au Mexique avant que la création de la société des nations n’interdise ce genre de maintien de l’ordre international.
11. Les banques ne sont pas autorisées à consentir des prêts hypothécaires.
12. Michael Hart, A Trading Nation, vancouver, UBC Press, 2002, p. 74 et 182.
13. son appellation officielle est la Hydro electric Power Commission of Ontario ou HePCO.
14. au Québec, il existe des cercles catholiques de droite dont les membres craignent la contamination anglaise et protestante au point de faire de la propagande en faveur d’un état français et catholique distinct. voir la biographie de Jules-Paul tardivel dans le Dictionnaire biographique du Canada .
15. il existe une raillerie à propos de l’empire (catholique) austro-hongrois, défendu, à ce qu’on prétend, par « une armée de soldats debout, une armée de bureaucrates assis et une armée de prêtres à genoux ». voir en particulier William J. Callahan, The Catholic Church in Spain 1875–1998, Washington, dC, University of america Press, 2000, p. 46.
16. voir Lionel Groulx, Mémoires, vol. 1, Montréal, Fides, 1970, p. 106–108 .
17. nancy Christie et Michael Gauvreau, A Full-Orbed Christianity : The Protestant Churches and Social Welfare in Canada, 1900–1940, Montréal et Kingston, McGill-Queen’s University Press, 1998, p. xiii.
18. Membre du clergé méthodiste, Booth travaille dans les bas quartiers de Londres pendant les années 1860. Confronté aux problèmes sociaux qu’il observe dans l’angleterre du milieu du siècle, il modifie l’orientation de sa prédication et fonde l’armée du salut en 1878. Les membres de cette armée se mettent à l’œuvre au Canada en 1882.
19. À ce sujet, voir William F. ryan, The Clergy and Economic Growth in Quebec, 1896-1914, Québec, Presses de l’Université Laval, 1966.
20. elle y est invitée par des politiciens canadiens serviles dans les années 1850.
21. il s’agit, respectivement, du duc de Kent, du duc de Clarence (qui deviendra Guillaume iv), du prince de Galles (qui deviendra édouard vii), de la princesse Louise, marquise de Lorne et épouse du gouverneur général, du duc d’York (qui deviendra George v) et du duc de Connaught, gouverneur général de 1911 à 1916.
22. Le premier gouverneur général, lord Monck, ainsi que le deuxième, lord Lisgar, sont manifestement des personnages politiques et sociaux de deuxième ordre en Grande-Bretagne mais, dans les années 1880 et 1890, le poste est occupé par des personnes ayant de meilleures relations, jusqu’au plus réputé, le prince arthur de Connaught, benjamin de la reine victoria, qui compense par son lignage et ses bonnes intentions des capacités intellectuelles plutôt restreintes.
23. il existe une toute petite force permanente constituée de
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