11 Septembre... 1973

de
détails, se reporter à : Atentado a Pinoche, El FMPR fija posición, Arturo
Lozza, Ed. Antarca, 1987.
     
    [59] La Doctrine de
sécurité nationale a été élaborée dans divers centres de pensée
politico-militaires américains et principalement au National war college de
Washington au lendemain de la révolution cubaine, en 1959. Elle s'inscrit dans
le contexte de la guerre froide. Elle considère que la nation repose sur quatre
éléments : le pouvoir politique, le pouvoir économique, le pouvoir social et le
pouvoir militaire. Les trois premiers pouvoirs sont subordonnés au pouvoir
militaire et doivent l'appuyer dans sa "guerre totale" contre
"l'ennemi intérieur" marxiste. Le pouvoir politique facilite l'action
"antisubversive" du pouvoir militaire en prenant les lois et les
règlements appropriés. Le pouvoir économique est chargé de la modernisation de
l'État. Le pouvoir social a pour tâche la fabrication du consentement, via des
campagnes de désinformation et de propagande destinées à faire accepter le
gouvernement par la population.
     
    [60] Se reporter à El
neoliberalismo en Chile : implantación y proyecto 1956-1983, Gonzalo
Caceres Quieto, publié dans la revue Mapocho n°36 et consultable sur le
site Internet de l'Université de Valence, en Espagne, à l'adresse : http://www.uv.es/-jalcazar/gonza3.htm
     
    [61] Ibid.
     
    [62] Ibid.
     
    [63] Fondée à
l'Université de Chicago autour de l'économiste Milton Friedman, l'école
monétariste préconise des politiques fondées sur le contrôle de la masse
monétaire en circulation, à l'opposé des keynésiens, qui pensent qu'il est
préférable d'agir par l'intermédiaire d'autres instruments, tels que la
politique budgétaire et fiscale.
     
    [64] Pour plus de
précisions, se reporter à : Un contrapunto de medio siglo : democracia
liberal y estatuismo burocrático 1924-1970, Silva Fernando in Historia
de Chile, ouvrage paru sous la direction de Sergio Villalobos, Ed.
Editorial Universitaria, 1992.
     
    [65] Gonzalo Caceres
Quieto, op. cit.
     
    [66] Ibid.
     
    [67] Chile después del
autoritarismo : notas sobre et regimen democrítico, document conservé à
l'Instituto intemacional de gobernabilidad de Madrid, José Pena Aguilar, 2002.
     
    [68] Chile todaviada
esta intervenido militarmente, entretien avec Eugenio Pizarro publié dans Pagina 12, 28 mai 1993.
     
    [69] José Pena
Aguilar, op. cit.
     
    [70] El "milagro
chiler" y su crisis, Orlando Caputo, publié dans la revue America libre n°16,
2002.
     
    [71] Ibid.
     
    [72] Le nouvel humanisme
militaire, Noam Chomsky, Ed. Page Deux, 2000.
     
    [73] La posguerra o la
exportación militar de la democracia , entretien de l'auteur avec Roger Chartier,
Clarin, 13 avril 2003.
     
    [74] La Zone de
libre-échange des Amériques, ou ZLEA, également appelée Accord de libre-échange
des Amériques, ou ALCA, est un projet de marché commun unissant tous les États
américains, de l'Alaska à la Terre de Feu, à l'exception de Cuba. Elle
rassemblerait 34 pays, soit 800 millions de personnes, pour un PIB total de
12.000 milliards de dollars. Le projet a été lancé en décembre 1994. Les
États-Unis souhaitent que l'accord soit signé en 2005 et entre en vigueur la
même année. Mais les états d'Amérique latine sont réticents, craignant que cet
accord ne lamine leur économie.