Dernières Révélations sur les Templiers

Templiers n'étaient pas seuls à
    employer en Occident des symboles gnostiques).
    D'autre part, on sait que certains Templiers se livrèrent à l'alchimie, comme en témoigne le fameux Baphomet du procès; or, ils n'eussent guère pu tenir cette science - en Orient - que des Soufis persans qui semblent euxmêmes l'avoir tirée des documents égyptiens, et sans doute de la fameuse bibliothèque d'Alexandrie avant qu'Omar la br˚l‚t - ou qu'il par˚t la br˚ler, car il n'est pas exclu que les manuscrits les plus précieux en aient été retirés avant que le reste servît de chauffage aux bains.
    On sait qu'avant Saint-Denis, les Soufis persans, mathématiciens et alchimistes, avaient pu fabriquer des vitraux de verre alchimique et il n'est pas impossible qu'un certain enseignement soit passé des soufis à
    Saint-Denis par le canal des Templiers; mais aucune certitude ne peut être retenue, la voie de transmission ayant pu être autre; et apr@es tout, les Chrétiens avaient disposé de la bibliothèque d'Alexandrie bien avant les liq

    Les Pnystères templters
    Persans, et l'évêque Athanase en avait lui-même br˚lé
    une partie.
    Enfin il est assez révélateur que les Rose-Croix constructeurs, ceux qui b
    ‚tirent de si belles rosaces à nos cathédrales, aient pris ce symbole de la rose, produit alchimique persan, rapporté par Thibaud IV de ,Champagne à
    Provins (Thibaud IV, protecteur du Temple en son comté), o˘ la cultivèrent les jardiniers du Temple et o˘ l'atelier des maîtres d'oeuvre de i Provins,
    "Enfants de Salomon", protégés du Temple*
    l'incorpora à la croix.
    Mais là encore, aucune preuve ne peut être donnée que les Templiers aient été la voie qui allait des alchimistes soufis aux jardiniers et constructeurs de Provins.
    L'Occident
    II importe assez peu que les chevaliers du Temple aient eu ou n aient pas eu de rapports particuliers avec les Musulmans, rapports qui étaient certainement beaucoup plus le fait de " civils ". Les reproches qu'on leur fit à ce sujet lors du procès étaient trop nettement formulés en vue de les accuser de trahison pour que l'on puisse s'y arrêter - et aucun cominenceinent de preuve ne fut jamais apporté.
    De plus
    je tiens que les initiés supérieurs du Temple n'avaient nul besoin de puiser aux sources musulmanes, eux qui avaient eu à leur disposition les Tables mêmes de la Loi.
    Leur première mission, qui av@t été de rapporter ces tables, étant accomplie, leur présence en Orient n avait plus pour objet que la "défense"
    de la Terre sainte; elle était aussi le moyen de promotion d'une chevalerie.
    Et son moyen d'enrichissement car
    on ne peut
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    Les mystères templiers
    l'oublier, éest la présence au combat des chevaliers qui conditionne à la fois les privilèges et l'enrichies
    ment des Templiers.
    Pourquoi leur aurait-on accordé des privilèges eils la Chrén avaient eu une armée combattant Pour
    tienté ?
    Or les privilèges ne leur furent utiles qu7en OCOE'dent et leur richesse fut constituée presque uniquement de biens occidenta=
    Là était leur mission vraie., la seconde mission du Temple, la mission SmWe.
    Les privilèges qu'avaient accordés aux Templiers différents papes étaient -
    pour l'époque - exorbitants.
    Tout d'abord@ ils étaient " déglise " et., en tant que la plus grande part aux tels, échappaient pour
    dictions seigneuriales ou royale@ impOtS Compris ,et surtout, ils jouissaient., étant moines@ du droit d'asile en leurs enclos. Ce que nous nommerions une extra-territorîalité.
    …chappant aux juridictions civiles., ils échappaient nde même aux juridictions cléricales puisqu'ils dépe daient de la seule papauté.
    De ce fait@ ils échappaient également à tous imPOts et toutes dîmes., la-iques ou épiscopales- à leurs chaplus encor@ une bulle papale donnait
    de <,rémission" qieaux pelains le même pouvoir évêques.
    En leurs commanderies, ils étaient donc à la fois …tat dans l'…tat et …
    glise dans l'…glise.
    Ajoutez encore qu'hommes d'armes entraInés5 rompus à la bataille., ils n7étaient pas gens que l'on p˚t
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    L'Occident
    impressionner ni piller à sa convenance. Ainsi, les " enclos " du Temple devenaient havres de salut pour quiconque était en butte à des tracasseries.
    Et même parmi les dons qui leur furent faits, on compte nombre de villages entiers., avec droit de seigneurie5 c'est-à-dire de haute et de basse justice.
    Il peut sembler étonnant que le moine qui