Bücher online kostenlos Kostenlos Online Lesen
Indomptable

Indomptable

Titel: Indomptable Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Elizabeth Lowell
Vom Netzwerk:
satisfait ? demanda Meg.
    — Vous m’avez satisfait au point que je pouvais à peine
    tenir debout.
    Elle bougea timidement.
    — Vraiment ? Pourtant, vous paraissez encore… prêt.
    — Pas encore. De nouveau.
    Elle écarquilla les yeux.
    — Cela n’a pas pris une demi-heure.
    Dominic éclata de rire et bougea de nouveau en Meg,
    savourant chaque parcelle de sa chaleur et engendrant
    immédiatement une pluie parfumée de plaisir. Lentement,
    il se retira. Lorsqu’il s’enfonça de nouveau, il lui laissa sentir
    son poids et sa puissance. Le frottement intense et glissant
    embrasa Meg.
    — Mon guerrier, souffla Meg.
    La pression intense redoubla au fond d’elle, l’emplit plei-
    nement et la plongea dans l’extase jusqu’à ce qu’elle fut inca-
    pable de penser et fut uniquement capable de ressentir. Elle
    tenta de lui dire à quel point c’était bon d’être unie à lui, de
    432
    INDOMPTABLE
    bouger au même rythme que lui, de partager souffle et
    corps, mais la seule chose qui franchit ses lèvres fut un cri
    lancinant de plaisir.
    Dominic rit du plaisir et de la force qui coulaient en lui,
    une puissance accrue et libérée par la femme qui encore
    maintenant ondulait doucement sous son corps. Il se
    pencha et goûta aux petits cris sur ses lèvres, il se glissa,
    se retira, s’enfonça de nouveau et se retira encore jusqu’à ce
    que ses cris deviennent intenses, pressants, presque
    effrayés.
    — Dominic ? demanda Meg, la voix éraillée.
    — Accrochez-vous à moi. Cette fois, vous allez vous
    envoler très haut.
    — Et… vous ?
    — Je vous accompagnerai. Volez, petit faucon. Volez
    jusqu’au soleil.
    433
    c 24
    Simon se tenait à la porte du poste de garde et observait
    l’agitation et le flot des gens qui se trouvaient dans la
    prairie où le festin funèbre et les jeux avaient pris place en
    l’« honneur » de John de Carlysle, mort en tant que seigneur
    du château de Blackthorne. On était en train de préparer les
    dernières joutes. Jusqu’à présent, le château de Blackthorne
    avait vaincu tous les mercenaires, sauf deux. Sans surprise,
    les deux chevaliers invaincus revenaient de la Guerre Sainte.
    Le Fléau Écossais n’avait pas encore combattu. Dominic
    le Sabre non plus.
    — Vous paraissez sceptique, dit Dominic d’une voix
    tellement basse que personne d’autre n’aurait pu l’entendre.
    Simon regarda son frère d’un air désapprobateur.
    — Tu as l’air content de toi.
    — J’avais peur que Duncan ne pense à un piège et ne
    vienne pas du tout.
    — Il a emmené tous les mercenaires capables de monter
    à cheval.
    — Oui, mais seuls trois de ses chevaliers sont à la hau-
    teur des nôtres, dit Dominic.
    — Duncan vaut deux chevaliers.
    — Oui.
    Simon suivit le regard de son frère vers l’arène rudimen-
    taire où quatre chevaliers se tenaient à l’écart de la bande
    des mercenaires. L’un d’entre eux était Duncan de Maxwell.
    Les autres étaient des hommes qui attendaient et suivaient
    ELIZABETH LOWELL
    les jeux avec les yeux de chevaliers pour lesquels le conflit
    et la mort n’avaient pas de mystères.
    — C’est intéressant de constater que Rufus ne fait pas
    partie des quatre talentueux chevaliers, dit Simon.
    Dominic haussa les épaules.
    — Duncan, ce bougre, est rusé. Il sait que Rufus l’envie.
    Le Fléau Écossais ne fait confiance qu’aux hommes qui sont
    à ses côtés.
    — Rufus est un idiot, dit Simon. Dommage qu’il ne soit
    pas le chef des mercenaires. Nous aurions pu l’appâter, le
    laisser se vautrer comme un cochon et le laisser patauger.
    — À propos de cochons qui se vautrent… as-tu aperçu
    le prêtre dernièrement ?
    — Avec un morceau de mouton rôti dans une main,
    une chope de bière dans l’autre et un petit pain enfoncé
    entre les dents, répondit Simon d’un ton sarcastique. Oui, je
    l’ai aperçu.
    — Où ?
    — Près de Duncan. Où aurait-il pu se trouver ? L’Église
    n’a pas caché ses préférences. Tu aurais dû envoyer le prêtre
    au nord avec le bâtard de John.
    Dominic sourit légèrement.
    — J’y ai pensé, admit-il. Ensuite, je me suis dit que je
    pourrais avoir besoin des bons soins de l’Église avant que le
    château de Blackthorne ne soit en sécurité entre mes mains.
    — Avez-vous besoin du prêtre maintenant ? demanda
    Simon avec curiosité.
    — Oui. Est-ce que les hommes d’armes sont déployés ?
    — Comme tu l’as ordonné, mon commandant . Mainte-
    nant,

Weitere Kostenlose Bücher