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Le jardin d'Adélie

Le jardin d'Adélie

Titel: Le jardin d'Adélie Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Marie Bourassa
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une sorte d’examen auquel devaient se soumettre les aspirants à la maîtrise ; un exemplaire de leur travail était évalué par un jury.
    chevaucheur , n. m. Cavalier.
    ciel de lit , Baldaquin.
    cimereau , n. m. Variété de pains blancs.
    complies , n. f. pl. La dernière heure de l’office divin, qui se récite ou se chante le soir, après les vêpres.
    cornuyau , n. m. Variété de pains blancs.
    correau , n. m. Type de verrou qui porte aussi le nom de bâche.
    cotardie ou cotte - hardie , n. f. Type de surcot simple à jupe plus ou moins ample, porté indifféremment par les deux sexes.
    coule , n. m. Vêtement de religieux à manches amples qui se porte par-dessus la tunique lorsque le moine prononce ses vœux définitifs et pendant les offices.
    cour des Miracles , Ancien quartier situé dans l’actuel II e arrondissement. Il s’agissait d’un repaire pour les mendiants et les voleurs. Ils avaient coutume d’élire leur propre roi.
    courante , n. f. Diarrhée.
    courtine , n. f. Tenture, rideau de lit.
    coutil , n. m. Étoffe solide au tissage très serré, destinée à la confection de vêtements de travail.
    croix de Saint-André , Croix en forme de X de la taille d’une personne.
    déchets , n. m. pl. Au Moyen Âge, on appelait déchets ce que l’on désigne aujourd’hui sous le nom de son.
    destrier , n. m. Désignait les grands chevaux utilisés dans les combats, nommés ainsi parce que conduits de la main droite (dextre) par le cavalier. Leur taille représentait un avantage certain en situation de face à face.
    dextre , adj. et n. f. Droit (e), par opposition à la gauche ( senestre ).
    drap naïf , Étoffe dont la chaîne et la trame sont de la même qualité.
    droit de havage , Taxe créée spécialement à l’intention des exécuteurs, car leurs gages en tant que tels étaient trop aléatoires et les auraient laissés dans la misère. Les bourreaux n’étaient rémunérés que lorsqu’ils avaient à exercer leur office. Ce privilège était une sorte d’impôt à lever en nature certains jours prédéterminés. Octroyé par les villes et le roi, il permettait à l’exécuteur d’obtenir une poignée ou un morceau de toutes les marchandises amenées aux halles.
    écrouelles , n. f. pl. Inflammation et abcès d’origine tuberculeuse qui atteint surtout les ganglions lymphatiques du cou. Traditionnellement, le roi de France était le seul en mesure de guérir les gens atteints de cette maladie par imposition des mains. Une fois par an, il consentait à procurer cette faveur à quelques privilégiés, la plupart du temps à la porte d’une église.
    écuyer tranchant , Serviteur spécialisé qu’on voyait surtout lors des festins princiers.
    émeraudine , n. f. Coléoptère semblable au hanneton, aussi connu sous le nom de cétoine dorée ou hanneton des roses. C’est un insecte de forme ovale, très coloré, qui vit dans les fleurs, les plaies d’arbres, le terreau humide ou les troncs pourris. Séchées et réduites en poudre, on les considérait comme un remède contre la peste.
    empunaiser , v. intr. Puer.
    énarmes , n. f. Au pluriel, courroies à l’endos du bouclier à travers lesquelles on passait le bras.
    esconse , n. f. Sorte de lanterne sourde en usage au Moyen Âge.
    escourgée , n. f. Fouet.
    essoriller , v. tr. Couper les oreilles.
    esteuf , n. m. Petite balle pour jouer à la longue paume. Ancêtre du mot éteuf.
    fardelle , n. f. Sac en peau de daim.
    farinière , n. f. Pièce d’une boulangerie qui servait à divers usages, notamment au rangement. // Récipient en bois dans lequel tombe la farine qui sort de la meule. // Lourde et robuste charrette servant au transport des céréales, etc.
    fauchard , n. m. À l’origine, c’était une faux, qui devint une arme d’hast, c’est-à-dire qu’elle fut munie d’un long manche en vue d’un usage guerrier. La majorité des armes de ce type dérivent d’outils de paysans, tels la serpe, le couteau ou la hache.
    faudesteuil , n. m. Ancienne forme de fauteuil
    fervêtu , e, adj. Revêtu d’une armure.
    feve , n. m. Forgeron.
    fibule , n. f. Sorte d’agrafe, ancêtre du bouton. Les premiers boutons datent du début du XIII e s.
    filière , n. f. Chacune des rainures qui partent du centre jusqu’au bord de la meule.
    fistule , n. f. Canal artificiel servant à relier de façon anormale deux viscères entre eux ou un viscère avec la peau.
    floternel , n. m. Manteau court et ajusté porté par les hommes.
    fond de

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