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Les quatre livres des stratagèmes

Les quatre livres des stratagèmes

Titel: Les quatre livres des stratagèmes Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Sextus Julius Frontin
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Bible pour "protéger" sa fille Antonia ou le moine
vendant son âme au diable). C'est pour cela que le roman fut
censuré à son époque.
     
     

[1]  Tacite, Hist.
Lib
. IV, c.39.
    [2]  Vie de Domitien
    [3]  Tacite, Vie d’Agricola,
ch. VIII & IX
    [4]  Vie d’Agricola, ch.
XVII
    [5]  Plinius Jun., lib. IV,
ep. 8.
    [6]  Liv. IX, lett. 19.
    [7]  Hist. abr. de la litt.
rom., L. II, p. 454
    [8]  Daunou, Cours d’études
d’hist., t.1er, p. 431
    [9]  Essai sur l’hist. de
l’art militaire, t. 1er, p. 288.
    [10]  Mémoires de l’Académie
des sciences morales et politiques, t. iv, p. 839.
    [11]  Le texte de M. Naudet
porte Néron, sans doute par la faute du typographe.
    [12]  Avant d’écrire ce
recueil de stratagèmes, où tout est pratique, Frontin avait publié
des ouvrages purement théoriques sur l’art militaire.
    [13]  Opérations de stratégie
et de tactique, en général
    [14]  Stratagèmes, ruses de
guerre proprement dites.
    [15]  Plutarque (Vie de Caton
le Censeur, ch. X) porte à quatre cents le nombre des villes que
soumit Caton en Espagne. Tite-Live, après avoir rapporté ce fait,
avec le détail de toutes les circonstances qui l’ont amené, ajoute
(liv. XXXIV ch. 17) que le consul marcha contre les villes qui
refusaient d’obéir, et qu’il fut même obligé d’assiéger Segestica,
ville riche et importante, qu’il prit d’assaut. Polyen a compris ce
même fait dans son recueil de stratagèmes (liv. VIII, ch. 17).
Voyez aussi Polybe, Fragments, liv. XIX ; et Aurelius Victor,
qui a reproduit presque littéralement le texte de Frontin (Hommes
illustres, ch. XLVII).
    [16] Selon Diodore de Sicile (liv.
XIV, ch. 55), le point de ralliement indiqué par Himilcon était
Panorme, aujourd’hui Palerme. Cet usage des ordres cachetés,
maintenant encore en vigueur dans la marine, était familier aux
généraux de l’antiquité.
    [17]  C. Lélius était envoyé
par Scipion. Celui-ci, après avoir fait reconnaître le camp de
Syphax, parvint à l’incendier pendant la nuit, ce qui mit un tel
désordre dans l’armée ennemie, que le fer et le feu détruisirent
quarante mille hommes. Voyez Tite-Live, liv. XXX, ch. 3-6 ; et
Polybe, liv. XIV, fragment 2.
    [18]  Gabies, ville du Latium
et colonie d’Albe. Elle était déjà en ruines du temps
d’Auguste.

Les détails de cet odieux artifice des deux Tarquins sont dans
Tite-Live, liv. I, ch. 24. Voyez aussi Florus, liv. I. ch. 7 ;
Valère-Maxime, liv. VII, ch. 4 ; Denys d’Halicarnasse, liv.
IV, ch. 54 ; Ovide, Fastes, liv. II, v. 686 à 711.

Diogène Laërce rapporte que Thrasybule, tyran de Milet, donna un
conseil du même genre à Périandre, tyran de Corinthe, dans les
termes suivants :

THRASYBULE À PÉRIANDRE.

« Je n’ai fait aucune réponse aux questions de votre
héraut ; mais, l’ayant mené dans un champ, j’abattis à coups
de bâton, pendant qu’il me suivait, ceux des épis qui dépassaient
les autres. Si vous l’interrogez, il vous dira ce qu’il a vu et
entendu. Imitez-moi donc, si vous voulez conserver votre
autorité ; faites périr les premiers de la ville, qu’ils
soient, ou non, vos ennemis. L’ami même d’un tyran doit lui être
suspect. »
    [19]  Zeugma. Ville de Syrie,
fondée par Seleucus 1er, ainsi appelée « joindre », parce
que, bâtie sur l’Euphrate, elle était le point de communication
entre la Syrie et la Babylonie.
    [20]  Hasdrubal s’aperçut en
effet, mais trop tard, de la réunion des consuls. On ne doit donc
pas prendre à la lettre cette dernière phrase de Frontin. Voyez le
§ 9 du chapitre suivant, et surtout le beau récit de Tite-Live,
liv. XXVII, ch. 43-5o.

« Quand on marche à la conquête d’un pays avec deux ou trois
armées qui ont chacune leur ligne d’opération jusqu’à un point fixe
où elles doivent se réunir, il est de principe que la réunion de
ces divers corps d’armée ne doit jamais se faire près de l’ennemi,
parce que non seulement l’ennemi, en concentrant ses forces, peut
empêcher leur jonction, mais encore il peut les battre
séparément. » (Napoléon.)
    [21]  Il y a ici une grave
erreur. Lors de ce voyage de Thémistocle à Sparte, en 478 avant
J.-C., les murailles d’Athènes avaient été détruites par les
Perses ; et c’est soixante-quatorze ans plus tard, après la
bataille d Ægos-Potamos, que les Spartiates exigèrent la nouvelle
démolition de ces remparts. Cf. Cornélius Nepos, Vie de
Thémistocle, ch. VI ; et

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