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Les révoltés de Dieu

Les révoltés de Dieu

Titel: Les révoltés de Dieu Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Jean Markale
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édition, Paris, Payot, 1993, p. 43-47, ainsi
que Les Conquérants de l’île Verte , premier
volume de La Grande Épopée des Celtes , Paris,
Pygmalion, 1997, p. 252-258.
    [111] Voir l’enquête 6, « Le déluge et ce qui l’a précédé »,
p. 155.
    [112] Dans un récit épique irlandais, Oengus, le Mac Oc, fils du dieu Dagda,
apprend ainsi par des compagnons de jeux qu’il n’est pas le fils de son père
adoptif Mider, ce qui déclenche toute une quête vers son véritable père. Voir
J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande ,
édition de 1993, p. 73 et suivantes.
    [113] Paul Diel, Le Symbolisme dans la mythologie
grecque , Paris, 1952-1966. Paris, 2002, Petite Bibliothèque Payot.
    [114] La Mère coupable , conte recueilli en
1888 à Céreystes, près de La Ciotat (Var), publié dans la revue La Tradition en 1892. J. Markale, Contes de la Mort des pays de France , Paris, Albin Michel,
1992, p. 95-98.
    [115] Écrits apocryphes chrétiens , sous la
direction de François Bovon et Pierre Geoltrain, Paris, Gallimard, « la
Pléiade » 1997, p. 793-794.
    [116] Celui qu’on appelle communément l’ange gardien, et qui est
l’équivalent de ce que certains textes ésotériques nomment le « jumeau
cosmique ».
    [117] Écrits apocryphes chrétiens , op. cit ., p. 794.
    [118] On peut se poser des questions sur la disparition de la presque
totalité des documents historiques concernant cette période. Certains livres de
Tite-Live ont été perdus ou sont lacunaires, de même que l’Histoire des juifs de Flavius Josèphe, et d’autres
textes latins ou grecs. Pourquoi ? Les outrages du temps sont de piètres
explications. Qui avait intérêt à faire disparaître des témoignages
authentiques et contemporains ? Les tenants de l’orthodoxie chrétienne ou
les Romains, qui se croyaient les maîtres du monde ? Ces questions
demeurent sans réponse.
    [119] Il faut écarter de cette enquête limitée au personnage de Jésus les
doctrines hérétiques qui ont fleuri au cours des quatre premiers siècles du
christianisme, avant que l’édit de Théodose, en 382, en fasse la religion
officielle de l’Empire, avec toutes les conséquences que cela entraînait.
Certaines de ces doctrines refusaient la double nature de Jésus, d’autres ne
voyaient en lui qu’un dieu prenant l’apparence humaine, sans parler de ceux qui
refusaient le dogme trinitaire et de tous les gnostiques qui voyaient dans le
Christ un simple symbole de la divinité. Une fois admise la réalité historique
de Ieshoua ben Iosseph, il importe avant tout de le cerner dans son
comportement personnel sans tenir compte des multiples spéculations nées de
témoignages – non historiques – de ceux qui se prétendaient les disciples ou
les héritiers du Messie. Un message, quel qu’il soit, est toujours diversement
interprété par la postérité.
    [120] L’empereur Octave Auguste.
    [121] La Galilée. À partir de ce nom, certains commentateurs, manifestant
ouvertement leur antisémitisme, ont prétendu que les Galiléens étaient des Celtes,
c’est-à-dire de bons « aryens », et que Jésus n’était donc pas juif
mais gaulois, ou galate.
    [122] Nazareth. Il semble qu’il y ait là une confusion homonymique – devenue
une vérité absolue – car la ville de Nazareth a été fondée au II e siècle de notre ère. Il est probable que Jésus
appartenait, du moins par ses origines, à la secte juive des Nazoréens (ou Nazaréens ,
ou Naziriens ). C’est ce que semble indiquer
l’inscription en grec volontairement dérisoire placée sur le haut de la
croix : I. N. R. I .,
«  Jésus le Nazoréen roi des Juifs ».
    [123] Juda, c’est-à-dire la Judée, au sud de la Palestine, où se trouvent
Jérusalem et Bethléem.
    [124] Les traducteurs de la Bible de Jérusalem emploient le mot
« fiancée », comme Chouraqui, mais ceux de la T. O. B. le
remplacent par « épouse » ce qui est non seulement une contrevérité,
mais une évidente malhonnêteté. Il faut noter que l’évangile de Matthieu se
contente de dire que Joseph « ne la pénétra pas jusqu’à ce qu’elle eût
enfanté un fils ». Quant à l’évangile de Marc, comme celui de Jean, il est
absolument muet sur la conception et la naissance de Jésus.
    [125] La Bible utilise trois termes différents : naara (femme mariée ou non, virgo intacta ou non), betula (qui a conservé ses betuîim , c’est-à-dire son
hymen) et alma (provenant d’une

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