Montségur et l'enigme cathare
,
Paris, P. U. F., 1955.
Les Cathares de
Montségur , Paris, Seghers, 1973.
Rahn, O., La croisade contre le
Graal , Paris, Stock, 1964.
La cour de Lucifer ,
Paris, Tchou, 1974.
Robin, J., Rennes-le-Château, la
colline envoûtée , Paris, Trédaniel, 1982.
Roché, D., L’Église romaine et les
Cathares albigeois , Arques, C. E. C., 1937.
Sède, G. (de), Le trésor cathare ,
Paris, Julliard, 1966.
Le sang des Cathares ,
Paris, Plon, 1976.
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[1] Sur les étranges indulgences de Blanche de Castille pour le comte de
Toulouse, voir J. Markale, Le Chêne de la
sagesse : un roi nommé saint Louis , éd. Hermès, Paris, 1985.
[2] Je me suis expliqué longuement sur les structures et les caractéristiques
de la société horizontale de type celtique dans J. Markale, Le roi Arthur et la société celtique , Paris, Payot,
3 e éd., 1981.
[3] Gustave Marty, Les grottes de l’Ariège et en
particulier celle de Lombrives , Toulouse, 1877.
[4] Cité par Christian Bernadac, Le mystère Otto
Rahn , Paris, France-Empire, 1978.
[5] J’ai moi-même été témoin de ce genre de triturations dans les dolmens
du Morbihan qui comportent des supports gravés. Comme les gravures sont
difficiles à photographier par suite des outrages du temps et des intempéries,
on peut accentuer le tracé des lignes en y passant de la craie. Mais, ce
faisant, on peut très facilement compléter ou « arranger » une
représentation selon ce qu’on veut lui faire signifier. Sur la photo ainsi
obtenue, le trucage n’est pas repérable, ce qui permet à certains
« inspirés » de se livrer à des commentaires qui défient non seulement
le bon sens mais l’honnêteté la plus élémentaire. Christian Bernadac a été
témoin de procédés semblables dans les grottes d’Ussat.
[6] On a cru que c’était un membre d’une famille du Razès, mais en réalité
il appartenait à la famille des Blancafort de Guyenne.
[7] Voir, chez le même éditeur, L’Énigme sacrée de M. Baigeut, R. Leigh et H. Lincoln.
[8] Certains affirment que Bézu provient de Albedun ,
ce qui est phonétiquement impossible. D’ailleurs, le nom de Bézu (bouleau, ou tombeau, comme dans le Grand-Bé, à
Saint-Malo) est extrêmement répandu, et à des endroits où il n’y a jamais eu de
forteresse.
[9] Jean-Luc Chaumeil, Le trésor du triangle
d’or , Paris, A. Lefeuvre, 1979, p. 114. L’auteur rejette
catégoriquement la thèse selon laquelle Limoux serait l’antique Rhedae, ce que
je crois personnellement. En effet, le nom de Rennes ne
peut pas provenir du nom de Rhedae , comme
Jean-Luc Chaumeil et bien d’autres le prétendent, au mépris de la plus simple
phonétique : d’où proviendrait le n doublé ? Rennes est une forme fixée anciennement
en français qui découle logiquement de Redones (comme en Ille-et-Vilaine), à moins que ce ne soit du deuxième terme de Pagus Reddensis , désignant le pays tout entier et
non pas seulement une place forte. La forme évoluée occitane est Razès , tout comme en breton moderne, Rennes se dit Roazhon . Dans le Razès, Rennes est un nom générique
qui s’est maintenu sous cette forme pour deux localités, mais Razès recouvre à
l’origine la même signification de pagus . Par
contre, Rhedae désigne une place forte, mais
rien ne nous indique qu’il s’agit de Rennes-le-Château.
[10] Jean Robin, Rennes-le-Château, la colline
envoûtée , Paris, G. Trédaniel, 1982, p. 28.
[11] Ce sentiment correspondait à une réalité. Trois mois plus tard,
quelqu’un, qui n’était pas présent ce jour-là, me fit un récit détaillé de ma
visite à Rennes-le-Château.
[12] Jean Robin, Rennes-le-Château , p. 144.
[13] Un détail qui ne manque pas de pittoresque : sur la façade d’un
hôtel thermal actuellement fermé, on peut lire une liste des maladies soignées
en cet endroit, et parmi celles-ci, les catarres .
Non, cela ne s’invente pas, surtout dans un pays où l’on abuse des jeux de
mots, pour ne pas dire du « langage des oiseaux ».
[14] Jean Markale, Le Druidisme , Paris,
Payot, 1985.
[15] Fernand Niel, Les Cathares de Montségur ,
Paris, Seghers, 1976.
[16] Voir à ce sujet l’ouvrage de Michel Lamy, Jules
Verne initié et initiateur , Paris, Payot, 1984. On y trouvera une
profusion de détails sur ce problème, et des indications tout à fait
intéressantes. Mais le livre est à lire avec précaution, l’auteur ne paraissant
pas faire la différence entre les
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