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Une histoire du Canada

Une histoire du Canada

Titel: Une histoire du Canada Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Robert Bothwell
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cravache à l’éditeur du Journal .
    Cependant, Glennie est renvoyé de son emploi. Wade, Les Canadiens français , vol. 2, p. 63 donne une description détaillée de l’incident.
     
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    UnE HIsTOIRE dU Canada
    16. Cité dans Wade, Les Canadiens français , vol. 2, p. 64.
    17. douze mille tonnes ont été tirées lors du prélude de la bataille de la somme en 1916.
    18. david stevenson, Cataclysm : The First World War as Political Tragedy , new York, Basic Books, 2004, p. 149. Cinquante-huit pour cent des décès survenus dans le cadre d’une bataille sont causés par l’artillerie.
    19. http://www.junobeach.org/f/4/can-tac-med-org-f.htm. « L’organisation des ser vices médicaux de l’armée ».
    20. Un rapport d’un représentant conservateur présenté à Borden mentionne avec insistance et sur un ton désapprobateur que ce sentiment est exprimé par des membres du gouvernement libéral britannique. stacey, Age of Conflict , p. 186.
    21. Borden à sir George Perley, haut commissaire canadien en Grande-Bretagne, le 4 janvier 1916, cité dans stacey, Age of Conflict , p. 192-193.
    22. Les représentants des dominions sont les premiers ministres du Canada, de l’australie, de la nouvelle-Zélande et de terre-neuve, et le ministre de la défense de l’afrique du sud, le général Jan smuts. Ce dernier est le plus influent en ce qui a trait à la valeur que les Britanniques accordent à sa participation et à ses conseils.
    23. J. e. rea, T.A. Crerar : A Political Life , Montréal et Kinston, McGill-Queen’s University Press, 1997, p. 55-56.
    24. Cité dans Waiser, Saskatchewan , p. 282.
    25. robert Holland affirme que Bourassa supplante Laurier en tant que chef incontesté du Québec, ce qui est faux. voir Holland, « the British empire and the Great War », p. 126.
    26. Les agriculteurs de l’Ontario et du Québec sont particulièrement fâchés et expriment avec force leurs opinions. rea, T.A. Crerar , p. 55-56.
    27. appelé l’impôt de guerre sur le revenu, il représente non seulement une innovation quant au type d’impôt perçu mais également une incursion dans l’imposition « directe ». Cela finira par perturber les provinces, le gouvernement fédéral proposant de partager leur compétence fiscale limitée.
    Lors d’une conférence fédérale-provinciale en 1918, les provinces insistent pour que le gouvernement fédéral leur remette la moitié de l’impôt perçu.
    Christopher armstrong, The Politics of Federalism : Ontario’s Realtions with the Federal Government , 1867–1942, toronto, University of toronto Press, 1981, p. 128–130.
    28. il y a quelques émissions limitées en 1915 et 1916. r. C. Brown et G. r.
    Crook, Canada 1896–1921 : A Nation Transformed , toronto, McClelland & stewart, 1974, p. 230-231.
    29. il retire les troupes canadiennes de sibérie et de Mourmansk dès qu’il le peut, affaiblissant ainsi l’intervention britannique dans ces deux régions.
     
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    30. Les « progressistes » couvrent le spectre idéologique. Certains sont profondément conservateurs dans leur attitude à l’égard du gouvernement, de l’impôt et de la réglementation, les caractéristiques du « progressisme »
    ailleurs dans le monde. d’autres ont un point de vue opposé. Pour aggraver la situation, au Canada, « progressiste » avec un p minuscule est utilisé en anglais dans son sens international habituel, ce qui crée beaucoup de confusion en matière d’identités et de définitions politiques.
    31. J. W. Pickersgill, Seeing Canada Whole : A Memoir , Markham, Ont., Fitzhenry
    & Whiteside, 1994, p. 74-75.
    32. W. a. Motherwell et Charles a. dunning, deux libéraux influents de la saskatchewan, se joignent au cabinet de King dans les années 1920, Motherwell à titre de ministre de l’agriculture et dunning à titre de ministre des Finances.
    33. d’autres complications surviennent. au regard d’une pratique britannique en place depuis des siècles, les députés de la Chambre des communes qui acceptent une nouvelle charge publique doivent démissionner de leur siège et tenter de revenir dans le cadre d’une élection partielle dans leurs nouveaux atours de ministre. au sein d’une Chambre minoritaire, Meighen ne peut pas se permettre de former un cabinet complet. il entre donc en fonction seul et doit ensuite observer les procédures à partir des tribunes. Cette coutume est bientôt abolie et les députés peuvent maintenant accepter une charge sans devoir

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