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Dans le jardin de la bête

Dans le jardin de la bête

Titel: Dans le jardin de la bête Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Erik LARSON
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Papers.
    22. Il « entendait bien faire comprendre » : Dallek, p. 313.
    23. Hyde Park – « un endroit merveilleux » : Dodd, Journal , pp. 428-429.
    24. « De nouveau à Berlin » : Dodd, Journal , p. 430.
    25. « Bien que le président regrette tout désagrément personnel » : Hull à Dodd, 23 nov. 1937, Boîte 51, W. E. Dodd Papers.
    26. « Jusqu’à ce jour, je garde le souvenir » : Boris à Martha, 29 avril 1938, Boîte 10, W. E. Dodd Papers.
    27. Ils se fiancèrent : Chicago Daily Tribune , 5 sept. 1938 ; New York Times , 5 sept. 1938 ; Weinstein et Vassiliev, p. 61 ; Vassiliev, Carnets, White Notebook #2, p. 56, 9 juil. 1938.
    28. « Tu sais, mon chéri » : Weinstein et Vassiliev, p. 61 ; Vassiliev, Carnets, White Notebook #2, p. 56, 9 juil. 1938. Dans Weinstein et Vassiliev, la traduction anglaise est « honey »  ; dans les carnets, «  darling » .
    29. Elle ne sut jamais que la dernière lettre de Boris : Weinstein et Vassiliev, pp. 61-62.
    Chapitre 55 : Quand vinrent les ténèbres
    1. « doit se rendre à la triste évidence » : New York Times , 23 déc. 1937.
    2. « L’humanité se trouve en grand danger » : New York Times , 14 janv. 1938.
    3. « J’étais fermement convaincu » : Moffat, Journal , 14 janv. 1938.
    4. « La Grande-Bretagne » : New York Times , 22 fév. 1938.
    5. « J’aurais tellement souhaité que nous vivions plus près » : Mme Dodd à Martha, 26 fév. 1938, Boîte 63, Martha Dodd Papers.
    6. « Jusqu’ici, je n’arrive à rien » : Mme Dodd à Martha, 26 avril 1938, Boîte 1, Martha Dodd Papers.
    7. « J’aimerais tant avoir un chez-moi » : Mme Dodd à Martha, 23 mai 1938, Boîte 1, Martha Dodd Papers.
    8. « Ce fut le plus grand choc » : Dodd, Journal , p. 446.
    9. « À la tension et la terreur de la vie » : Dodd, Embassy Eyes , p. 370.
    10. « Les tuer tous » : Bailey, pp. 192, 194.
    11. « À peine croire qu’un tel événement » : Breitman et Kraut, p. 230.
    12. « J’imagine que vous dites ou pensez souvent » : Sigrid Schultz à Dodd, 30 nov. 1938, Boîte 56, W. E. Dodd Papers.
    13. « Ce n’était pas ma faute » : pour les détails de cet épisode, voir le New York Times , 9 et 10 déc. 1938 ; 3 mars et 7 mai 1939 ; Bailey, pp. 195-196 ; Dallek, p. 332.
    14. Un article à la une de Der Angriff  : United Press , « Dodd est attaqué… », non daté, Boîte 2, Martha Dodd Papers.
    15. « malade et pas entièrement responsable » : Bailey, p. 199.
    16. « Si elles avaient coopéré » : Dallek, p. 332.
    17. À l’automne, Dodd était grabataire : Bailey, pp. 199-200 ; New York Times , 10 fév. 1940.
    18. Il fut enterré : plus tard, Martha fit transférer le corps au cimetière de Rock Creek à Washington, le 6 déc. 1946, section L, lot 37, site 4.
    Par un agréable après-midi de printemps, en compagnie d’une de mes filles, je me suis rendu au Stoneleigh Golf and Country Club, qui fait partie d’un lotissement comprenant de grandes maisons en faux style colonial sur de vastes parcelles, à une heure environ à l’ouest de Washington. Même si le parcours de golf (18 trous, par 72) était évidemment impeccable, je n’ai pas eu de mal à ressentir l’attrait que cet endroit avait exercé sur Dodd, surtout lors de son premier retour de Berlin, quand les doux reliefs de la ferme durent avoir un effet apaisant. Sa vieille grange est toujours debout, ainsi que quelques pans de l’ancien muret de pierre, mais aujourd’hui, à la place des cochons, la grange abrite des voiturettes de golf. Dodd considérait d’un œil sombre le golf et les golfeurs, en particulier les membres de son personnel berlinois qui ne cessaient de réduire leurs heures de bureau pour aller faire quelques parties dans leur club de Wannsee. Martha a bien fait de transférer sa dépouille, car son fantôme aurait certainement fait des dégâts considérables, bloquant les putts et projetant les balles dans les creux et les roughs alentour.
    19. Cinq ans plus tard : Ryan, p. 418.
    À la fin de la guerre, les vestiges du Tiergarten subirent une autre offensive, cette fois de la part de la population affamée, qui coupa les arbres brisés et les souches pour en faire du bois de chauffage, transformant certaines parties du parc en jardin potager. En 1947, le parc dévasté était, pour le maire de Berlin, « La blessure la plus

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