Fourier

pensée
française en éthique et en psychologie aux XVIIe et XVIIIe siècles, voir Lester
G. Crocker, An Age of Crisis: Man and the World in Eighteenth-Century French
Thought (Baltimore, 1959), 218-255 ; Jean Ehrard, L’Idée de nature en France à
l’aube des Lumières (Paris, 1970), 223-240 ; Robert Mauzi, L’Idée du bonheur
dans la littérature et la pensée françaises au XVIIe siècle, 3e éd. (Paris,
1967), 437-458.
    2. Alès de Corbet, De l’origine du mal, 2 vol.
(Paris, 1758), I, 60, cité par Crocker, An Age of Crisis, 229.
    3. Mauzi, L’Idée du bonheur, 451 ; Crocker, An
Age of Crisis, 231 ; Ehrard, L’Idée de nature, 224.
    4. Claude-Adrien Helvétius, De l’esprit,
Discours III, chap. VIII.
    5. Sade, Histoire de Juliette ou les
prospérités du vice, parties IV à VI (Paris, Pauvert, 1987), IV, 131, 321.
    6. Ehrard, L’Idée de nature,
233 ; Crocker, An Age of Crisis, 235.
    7. Le Supplément au voyage de Bougainville de
Diderot nous offre une très belle évocation de ce que pourrait être cette
société.
    8. Sur la permanence de l’idée de providence
au XVIIIe siècle, voir Jacob Viner, The Role of Providence in the Social Order
(Princeton, 1976), 19, et Georges Gusdorf, « Déclin de la providence ? »,
Studies on Voltaire and the Eighteenth Century, CLIII (1976), 951-990.
    9. OC I, 19.
    10. OC III, 258-271.
    11. OC III, 264.
    12. Sur la tendance appelée « newtonisme moral
» du XVIIIe siècle, voir Elie Halévy, The Growth of Philosophical Radicalism
(Boston, 1960), 6, 13, 19, 29, et Georges Gusdorf, Les Principes de la pensée
au siècle des Lumières (Paris, 1971), 151-212.
    13. David Hume, A Treatise of
Human Nature (Oxford, 1955), 12-13. Trad. fr. d’André Leroy.
    14. OC VI, 47.
    15. Ce paragraphe reprend et étoffe Jonathan
Beecher et Richard Bienvenu, The Utopian Vision of Charles Fourier (Boston,
1971), 37-39.
    16. OC I, 79.
    17. « Des cinq passions sensuelles », La
Phalange, IV (1846), 25.
    18. OC I, 77 ; OC VII, 440-443.
    19. Sur les passions des sens, voir « Des cinq
passions sensuelles », La Phalange, IV (1846), 5-51, 97-135, 193-224, 289-310,
385-412.
    20. OC VI, 70
    21. OC IV, 408-409.
    22. Voir le manuscrit de Fourier, « Du clavier
puissanciel des caractères », La Phalange, V (1847), 5-47, 97-135.
    23. Voir par exemple OC I, 88-90, 176.
    24. « Du clavier puissanciel des caractères »,
La Phalange, VI (1847), 23-24.
    25. OC XI, PM (1857-1858), 320-321. On
trouvera un commentaire intéressant de ce passage et du concept fouriériste de
Phalange comme « homme intégral » dans Riasanovsky, Teaching of Fourier,
186-189.
    26. OC VI, 57.
    27. OC VI, 55.
    28. OC IV, 341.
    29. OC VIII, 353.
    30. Voir OC I, 294.
    31. OC VI, 59.
    32. « Des trois groupes d’ambition, d’amour et
de famillisme », La Phalange, III (1846), 231.
    33. OC IV, 345 ; « Des trois groupes », La
Phalange, III (1846), 26-27, 226-231.
    34. OC IV, 347.
    35. OC IV, 340.
    36. OC VI, 52.
    37. OC VI, 63 ; OC IV, 139-140.
    38. OC XI, PM (1857-1858), 146.
    39. OC III, 241.
    40. OC VI, 403.
    41. OC VII, 391. Fourier n’avait sans doute
pas beaucoup lu Sade mais son analyse du caractère général de l’œuvre du
marquis est peu courante pour l’époque.
    42. Lehouck, Fourier aujourd’hui, 34.
    43. OC III, 323.
    44. OC IV, 33.
    45. « De la méthode mixte », La Phalange, VII
(1848), 113-114.
    46. OCX, PM (1851), 59.

Chapitre XII : La communauté idéale
    1. OCX, PM (1851), 95.
    2. OC IV, 495.
    3. Sur l’apparence et l’architecture de la
Phalange, voir en particulier OC IV, 425-504 ; OC VI, 99-129 ; OC X, PM (1851),
8-175.
    4. Voir en particulier « Des modifications à
introduire dans l’architecture des villes », OC XII, 683-717.
    5. OC IV, 460.
    6. OC IV, 463-464, 468. Voir également OC VI,
272.
    7. OC IV, 465.
    8. Walter Benjamin, « Paris,
Capital of the Nineteenth Century », in Reflections, trad. d’Edmund Jephcott
(New York, 1978), 148-149.
    9. Johann Friedrich Geist,
Arcades : The History of a Building Type, trad, de Jane O. Newman et John H.
Smith (Cambridge, Mass., 1983), 457. Ce livre superbe et magnifiquement
illustré est une mine d’information sur le sujet. Voir également
Henri-Auguste-Ottocar Reichard, Le Véritable Conducteur parisien (Weimar,
1828), 114.
    10. Voir à titre d’exemple OC XII, 707, et OC
II, Sommaires, 209. Voir également plus haut, chapitre III, § I.
    11. Sur Ledoux (1736-1806) et les autres
architectes visionnaires, voir Mona Ozouf, « Architecture et