Fourier

urbanisme :
l’image de la ville chez Claude-Nicolas Ledoux », Annales : Economies,
Sociétés, Civilisations,, XXI, 6 (novembre-décembre 1966), 1273-1304; Bronislaw
Baczko, Lumières de l’utopie (Paris, 1978), 325-360 ; Allan Braham, The
Architecture of the French Enlightenment (Berkeley, 1980), 111-117, 159-209,
231-232; Emile Kaufmann, Three Revolutionary Architects: Boullée, Ledoux, and
Lequeu (Philadelphia, 1952), et Architecture in the Age of Reason : Baroque and
Post-baroque in England, Italy and France (Cambridge, Mass., 1955) ; ainsi que
le précieux catalogue édité par J.C. Lemagny, Visionary Architects : Boullée,
Ledoux, Lequeu (Houston, 1968). Voir également Claude-Nicolas Ledoux,
L’Architecture considérée sous le rapport de l’art, des mœurs et de la
législation, 2 vol. (Paris, 1804).
    12. OC II, Sommaires, 189, 209 ; OC IX, 701 ;
OC XII, 705 ; La Phalange, X (1849), 225. Voir également AN 10AS 20 (11) :
Fourier y dresse une liste de modèles architecturaux comprenant « l’Hôtel
Thélusson » et les « Barrières » de Ledoux.
    13. OC XII, 705. Sur l’hôtel
de Thélusson, voir  Braham,
 Architecture of the French Enlightenment, 186-189.
    14. OC IX, 701.
    15. Ledoux, L’Architecture,
I, 181. Voir également I, 2 et 202 ; II, 89 et 103.
    16. Ledoux, L’Architecture,
I, 18.
    17. OC IV, 445, 516-518 ; OC
V, 502-514.
    18. « Lettre au Grand Juge », 62.
    19. OC V, 4-5. Pour plus de précisions sur le
système éducatif imaginé par Fourier, voir le chapitre suivant.
    20. OC V, 445-446.
    21. OC VII, 126.
    22. Sur la cuisine dans la Phalange, voir
Rolande Bonnain-Merdyck, « Fourier gastrosophe », in Henri
Lefebvre et al.,
Actualité de Fourier (Paris, 1975), 145-180,
ainsi que les lumineux
commentaires de Barthes dans Sade, Fourier, Loyola, 83-S6,
120-122, et Spencer, Fourier, 69-71.
    23. Jean-Paul Aron, Le Mangeur du XIXe siècle
(Paris, 1973), surtout p. 5-6 et 13-25 ; Grimod de la Reynière, Manuel des
Amphitryons (Paris, 1808), Almanach des gourmands (1803-1810) ; Joseph de
Ber-choux, La Gastronomie, ou l’Homme des champs à table (Paris, 1801) ;
Anthelme Brillat-Savarin, La Physiologie du goût (Paris, 1825); Marie-Antonin
Carême, Le Maître d’hôtel français, 2 vol. (Paris, 1822) et L'Art de la cuisine
française au XIXe siècle, 2 vol. (Paris, 1833).
    24. OC VI, 255 ; OC VIII, 283.
    25. OC VII, 131 ; OC VI, 71-72 ;
OC V, 110-112.
    26. OC IV, 404.
    27. OC I, 167 ; OC IV, 19 ;
OC X, PM (1852), 159-161.
    28. OC IV, 139 ; « De la médecine naturelle ou
attrayante composée », La Phalange, VII (1848), 417-448.
    29. La Phalange, VII (1848), 434.
    30. OC XII, 482 ; Henri Desroche, La Société
festive (Paris, 1975), 144.
    31. OC VII, 142-143.
    32. OC VI, 114.
    33. OC VI, 113, OC IV, 447.
    34. OC XI, PM (1857-1858), 170. Voir également
OC III, 368-385 ; OC VI, 230-232.
    35. Voir par exemple le « Ralliement
d’ambition en direct ou ascendant par les souverainetés progressives et
échelonnées » avec son « Tableau des sceptres d’Harmonie », OC XI, PM
(1857-1858), 170-190.
    36. OC V, 21.
    37. OC V, 32-33. Sur le rôle que joue le
groupe dans l’éducation et la discipline, voir plus loin, chapitre XIII,
paragraphe ii.
    38. OC X, PM (1851), 149-150. Sur « l’éclipse
» et la discipline de travail, voir plus loin, chapitre XIV, paragraphe iii.
    39. OC V, 467.
    40. OC XII, 481.
    41. « Du groupe d’amitié », La Phalange, III
(1846), 353.
    42. OC V, 429-431 ; OC VI,
248 ; OC X, PM (1851), 121-125.
    43. OC 1,159.
    44. OC V, 26.
    45. OCX, PM (1851), 194.
    46. Le Phalanstère, II, 38 (31 janvier 1834),
410.

Chapitre XIII : L’éducation en Harmonie
    1. Les écrits de Fourier sur l’éducation totalisent
plus de six cents pages dans ses Œuvres complètes. Voir en particulier OC V,
1-309 ; OC VI, 166-244 ; OC X, PM (1852), 73-214 ; Voir également David Zeldin,
The Educational Ideas of Charles Fourier (1772-183?) (Londres, 1969); Jean
Dautry, « Fourier et les questions d’éducation », Revue internationale de
philosophie, XVI, 60 (1962), 234-260 ; Hubert Bourgin, « La pédagogie de
Fourier », Revue internationale de l’enseignement, LV (1908), 130-143 ; Emile
Lehouck, Fourier aujourd’hui, 78-103 ; Jean Goret, La Pensée de Fourier (Paris,
1974), 46-66, 111-138.
    2. OC VI, 167.
    3. OC V, 1-2.
    4. Fourier ne goûtait guère les « folies
dogmatiques » de Fénelon, qu’il dissèque dans une « ultra-pause » particulière
de son Traité (OC V, 477-485). Mais