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Furia Azteca

Furia Azteca

Titel: Furia Azteca Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Gary Jennings , Robert Gleason , Junius Podrug
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notre langue, quand on parle de séduire une femme, on dit : " Je la caresse avec des fleurs. "
    Pendant un moment, Chose Délicate resta étendue sur le dos, obstinément indifférente à ce que faisait Poupée de Jade, uniquement avec sa bouche, sa langue et le bout
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    de ses doigts. Elle les promenait sur les paupières closes et les cils de la femme, sur le lobe de ses oreilles, sur le creux de sa gorge, entre ses seins, sur son ventre et le long de ses jambes. Tour à tour, de la langue ou du bout des doigts, elle traçait de grandes spirales autour de l'un de ses seins avant de pincer ou de lécher le téton raidi. ne la couvrait pas de baisers passionnés, mais efle l interrompait de temps à autre ce qu'elle était en train de ? faire pour effleurer moqueusement de_ sa langue la bou-: "he fermée de la femme. Alors, peu à peu, les lèvres de ci, comme le bout de ses seins, commencèrent à ' -slenfler et à rougir, et sa peau couleur de cuivre p‚le, si
    -lisse jusqu'à présent, se hérissa et frissonna, >.i De temps à autre, Poupée de Jade cessait ses caresses jr*t son corps arqué s'agrippait à
    celui de Chose Délicate ai, même les yeux fermés, ne pouvait ignorer ce qui se
    ssait. Seule une statue de pierre aurait pu rester insen-et une femme, même la plus vertueuse et la plus Effrayée, n'est pas une statue. quand la jeune reine |"ecommença à frissonner, Chose Délicate émit une sorte roucoulement, pareil à celui d'une mère consolant un ; enfant malheureux.
    Elle prit alors la tête de Poupée de
    de entre ses mains, l'attira contre son visage et [l'embrassa. De sa langue elle entrouvrit la bouche de la f)eune fille, ses joues se creusèrent profondément et une Hplainte étouffée s'échappa des deux bouches écrasées
    *Ô'une contre l'autre. Leurs corps se mirent à trembler < tandis que la femme arrachait son dernier vêtement. .
    Après cela, je vis Chose Délicate, redevenue immobile, les yeux fermés, se mordre le dos de la main, tandis qu'un sanglot lui échappait. Une fois son émotion calmée, Poupée de Jade fut à nouveau la seule à remuer sur le lit défait. Mais la femme était nue maintenant, et vulnérable, et le champ d'action de la fille s'était élargi. Chose Délicate garda d'abord les jambes serrées, mais peu à peu ses muscles se détendirent et elles commencèrent à s'ouvrir...
    . Poupée de Jade y enfouit sa tête, à la recherche de ce qu'elle appelait la " petite perle rosé ". Cela dura un certain temps et la femme poussait de petits cris, comme si on la torturait, puis enfin, elle fit un violent mouvement.
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    Elle dut penser, ensuite, que s'étant laissée aller aussi loin, aucun abandon ne pourrait l'avilir davantage et elle entreprit de faire à Poupée de Jade ce que celle-ci lui faisait.
    Parfois, elles se t ;naient enlacées comme un homme et une femme, bou -ne contre bouche et pubis contre pubis. A d'autres moments, elles se renversaient sur le lit, ,e caressant mutuellement les hanches et se servant de leur langue comme du sexe d'un homme. Parfois, encore, elles entrelaçaient leurs cuisses et essayaient de mettre en contact leurs petites perles rosés.
    Dans cette position, elles me faisaient penser à la légende qui raconte la naissance de la race humaine. Après les temps o˘ la terre n'était peuplée que de dieux et de géants, les dieux décidèrent de l'abandonner aux hommes.
    Mais, comme ceux-ci n'existaient pas encore, les dieux durent les créer et ils fabriquèrent un nombre égal d'hommes et de femmes. Mais ces premiers êtres humains n'étaient pas tout à fait au point. A partir de la taille, leur corps se terminait en une sorte de bouton arrondi. La légende prétend que les dieux voulaient cacher leurs parties génitales, ce qui est difficile à croire, étant donné le peu de pudeur qu'eux-mêmes manifestaient dans leur comportement.
    quoi qu'il en soit, ces premiers hommes se déplaçaient en sautillant sur leur moignon et ils pouvaient profiter de toutes les beautés du monde dont ils avaient hérité, mais ils n'avaient pas la possibilité de profiter les uns des autres et, pourtant ce n'était pas l'envie qui leur en manquait, car cachés ou non, les deux sexes s'attirent violemment l'un l'autre.
    Heureusement pour l'humanité future, ils trouvèrent un moyen pour surmonter ce handicap. Voici comment : en faisant un très grand bond, un homme et une femme parvinrent à unir dans les airs le bas de leur corps, comme le font

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