Jack Nicholson

comme une mine d’or par toute personne entreprenant d’écrire un livre sur Nicholson.
    D’autres sources clés ont été présentées ci-dessous, mais comme le sujet a été traité et mentionné dans des milliers d’articles et d’interviews, j’ai néanmoins essayé d’épargner au lecteur une bibliographie trop longue.

Prologue
    Pour retracer l’histoire d’ Easy Rider, plusieurs livres m’ont été particulièrement utiles, notamment The Fondas Ae Peter Collier (New York, Putnam, 1991), Haywire de Brooke Hayward (New York, Knopf, 1977), Dennis Hopper : A Madness to His Method d’Elena Rodriguez (New York, St Martin’s, 1988), et Easy Rider : The Complete Screenplay de Peter Fonda, Dennis Hopper et Terry Southern, script augmenté d’essais et d’interviews édité par Nancy Hardin et Marilyn Schlossberg (New York, Signet, 1969).
    Parmi les articles de l’époque qui se sont révélés très éclairants, il y a « Nicholson Leaves Obscurity in Dust » de Kevin Thomas (Los Angeles Times, 28 août 1969) ; « I Have the Blood of Kings in My Veins in My Point of View » de Neal Weaver (After Dark, octobre 1969) ; « Fonda Parlays 325G into Hit » de Hank Werba ( Variety , 5 novembre 1969) ; « Only Fluke Aspect of Easy Rider. AIP ’s Doubts on Dennis Hopper Gave Bonanza to Columbia Pics » de Rick Stewart ( Variety , 18 février 1970) ; « The Man Who WalkeA Off Easy Rider  » de Rex Reed (New York Times, 1 er mars 1970) ; « Success Is Habit-Forming » (Time Magazine, 30 novembre 1970) ; l’interview de Nicholson réalisée par Richard Apt (Sunday Press, Atlantic City, 30 janvier 1972) ; et « The Playboy Interview with Jack Nicholson » de Richard Warren Lewis (Playboy, avril 1972).
    J’ai par ailleurs lu attentivement les notes de la production d’ Easy Rider conservées à la Margaret Herrick Library de l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences et ai cité « Peter Fonda on Easy Rider  », retranscription de la conférence de presse donnée par Peter Fonda après le Festival international Au film d’Édimbourg en 1969 conservée au British Film Institute de Londres.
    « Un western moderne…» est une citation tirée de The Fondas.
    « Un vieux qui se tape des putes. » est tiré de «  Rolling Stone Raps with Peter Fonda », article d’Elizabeth Campbell republié dans l’ouvrage sur le scénario d’Easy Rider.
    « Mais la version papier était nulle. » est tiré de « Peter Fonda on Easy Rider  ».
    « La Chevauchée fantastique des films de motos » est tiré de « Jumping Jack » de Stephen Schiff ( Vanity Fair, août 1986).
    « Tu n’as qu’à faire ton film de merde sans moi. » est tiré de l’After Dark d ’octobre 1969.
    « Tout le monde voulait tuer quelqu’un. » est tiré de « J.N. : Jack Nicholson » de Harry Clein (Entertainment World, 7 novembre 1969).
    « Je n’avais jamais vu Jack faire un truc comme ça… » est tiré de Jack Nicholson : Face to Face.
    Les détails sur le costume de Nicholson ont été relevés dans « Jack Nicholson – Talking and Talked About », article de Marjory Adams republié dans l’ouvrage sur le scénario d’Easy Rider.
    Toutes les citations relatives au LSD et au trip de Nicholson lors du tournage d’Easy Rider sont extraites de son interview réalisée pour le Playboy d’avril 1972.
    « On a parlé des insectes. » est tiré de Jack Nicholson : The Search of a Superstar.
    « J’avais l’impression que ce type. » est tiré de Jack Nicholson : The Unauthorized Biography de Barbara et Scott Siegel.
    Toutes les citations de Terry Southern sont extraites de « Exact Genesis », lettre du scénariste à son éditeur publiée dans le New York Times en mars 1970, coupure de presse non datée archivée dans les dossiers de la Motion Picture Academy.
    « L’Amérique piégée, qui se tuait elle-même » est tiré de « The Bird Is on His Own », interview de Jack Nicholson réalisée par Beverly Walker (Film Comment, août 1985).
    « Sortis tout droit de la tête de Dennis » est une citation extraite de la conférence de presse donnée par Peter Fonda au Festival international du film d’Edimbourg.
    « Je crois que de tous les acteurs du film. » est tiré de After Dark , octobre 1969.
    La référence aux cent cinquante-cinq joints très souvent citée est issue du Time Magazine du 30 novembre 1970.
    Les souvenirs de Nicholson concernant les joints qu’il a