Jack Nicholson

Corman, je me suis appuyé sur l’autobiographie de Corman, Roger Corman : How I Made a Hundred Movies in Hollywood and Never Last a Dime, coécrite par Jim Jerome (New York : Random House, 1990) ; et sur Flying Through Hollywood by the Seat of My Pants de Samuel Z. Arkoff et Richard Trubo (New York : Birch Lane Press, 1992).
    Je me suis par ailleurs inspiré de plusieurs articles publiés dans Fangoria et Filmfax , deux magazines qui ont mis un point d’honneur à collecter et à éditer des témoignages oraux au sujet de Corman, notamment « Full Nelson : An Interview with Ed Nelson », de Tom Weaver (Fangoria, juillet 1991) ; « Vincent Price : The Corman Years, Part One » de Larry French (Fangoria, juin 1980), et « Part Two » (août 1980) ; « Walter Paisley Lives », interview de Dick Miller réalisée par David Everitt (Fangoria, mai 1982) ; « The Other Coreman », interview de Gene Corman réalisée par Tom Weaver et John Brunas (Fangoria, mars 1985) ; « Not Just Another Cog in the Corman Factory », interview de Jack Hill réalisée par Jeffery Frentzen (Fangoria, mars 1985) ; « Jonathan Haze », interview réalisée par Sharon Williams (Filmfax, décembre-janvier 1987) ; « The House of Arkoff : Part One » de Tom Weaver (Fangoria, février 1987), et « Part Two » (mars 1987) ; « That’s Me, Charles B. Griffith ! », interview réalisée par Dennis Fischer (Filmfax, mars-avril 1987) ; « Dick Miller : The Early Years » de Sharon Williams (Filmfax, février mars 1988) ; « I Survived Roger Corman », interview de Richard Devon réalisée par Tom Weaver et John Brunas (Fangoria, août 1988) ; et une interview de Robert Campbell réalisée par W.C. Stroby (Filmfax, mai 1990).
    S’est révélé particulièrement éclairant l’article de Dennis Fischer « Roger Corman’s Little Shop of Horrors  » (Cinefantastique, n o  1, 1987). Voir également l’ouvrage de Fischer Horror Film Directors : 1931-1990 (Jefferson, N.C.  : McFarland, 1991).
    « Jack était le meilleur de tous les acteurs qui avaient lu le rôle » est une citation extraite de l’autobiographie de Corman.
    « Corey disait qu’un bon acteur. » est tiré du Film Comment de juin 1985.
    « Curiosité vorace » et « vocabulaire très riche » sont des citations extraites de « It’s All Right Jack » de Jamie Wolf (American Film, janvier-février 1984).
    « Véritable encyclopédie de la culture, de l’histoire et des arts » est une citation de Warren Skaaren tirée de « Profile : Jack Nicholson, Devil of a Joker Is Laughing All the Way to the Bank » (Sunday Times, Londres, 6 août 1989).
    « Le grand centre mondain des sixties » est tiré de California Dreamin de Michelle Phillips (New York : Warner Books, 1986).
    « Un sorcier […], l’un des grands puries de Hollywood- L.A.  » est tiré du Playboy d’avril 1972.
    Pour les informations générales sur Maila Nurmi, je me suis appuyé sur « The One – The Only Vampira » de Maila Nurmi (Fangoria, mai 1983), et sur « Horror Show Hosts, Part One : The Horror of Them All ! » de Jim Knusch (Filmfax, décembre 1988).
    Les deux livres dont les auteurs prétendent que James Dean et Nicholson auraient vu leurs chemins se croiser dans le salon de DeBrier sont The Joker’s Wild de John Parker et James Dean : Little Boy Last de Joe Hyams et Jay Hyams (New York : Warner Books, 1992).
    « On allait voler des morceaux de bois. » est une citation tirée du Playboy d’avril 1972.
    « J’ai délibérément choisi de faire mes débuts dans le cinéma. » est tiré de l’interview enregistrée accordée par Nicholson pour la promotion de Shining.
    « Mais je n’étais pas vraiment le préféré de Roger. », « Roger a pris le script. » et « conneries bizarres » sont des citations de Nicholson extraites de l’autobiographie de Corman.
    « Je crois que si je l’ai eu. » est une citation tirée d’After Dark d’octobre 1969.
    « Je ne veux être lié en aucune façon. » est une citation extraite de la lettre de James T. Farrell à son éditeur publiée dans le New York Times du 10 avril 1960. Après avoir vu la version définitive du film, l’auteur écrivit au Motion Picture Herald une autre lettre visant à se désolidariser des résultats qui fut publiée dans le numéro du 12 octobre 1960.
    « C’est un exercice qui a été inventé par Lee Strasberg. » est une citation tirée du