La danse du loup

Seuil coll. Points.
    PASTOUREAU (M.)
    Figures de l’héraldique, Paris 1996, Découvertes Gallimard Traditions.
    PASTOUREAU (M.)
    Traité d’héraldique, Paris 1997, Picard.
    PERNOUD (R.)
    La femme au temps des Croisades, Paris 1990, Stock/Laurence Pernoud.
    PERTHUIS (B. de)
    Larousse du cheval, Paris 1998, Larousse-Bordas.
    PIPONNIER (F.) et MANNE (P.)
    Se vêtir au Moyen Âge, Paris 1995, Adam Biro.
    REGO (A.) ET RENAUD (M.)
    Château de Bonaguil , Gavaudun 1994, Fragile, coll. La mémoire des pierres
    REGO (A.), RENAUD (M.) et STEFANON (L.)
    Brève histoire de la guerre de Cent Ans (1337-1453), Gavaudun 1998. Fragile, coll. Brève histoire.
    REGO (A.), RENAUD (M.) et STEFANON (L.)
    Brève histoire des châteaux forts en France , Gavaudun 1994-1995, Fragile, coll. Brève histoire.
    REY (A.)
    Dictionnaire historique de la langue française (tomes 1 et 2), Paris 1992, Dictionnaires Le Robert.
    RIPAULT (F.)
    Le classique des nœuds, Rennes, 1998, Ouest-France.
    SÉDILLOT (R.)
    Histoire morale & immorale de la monnaie, Paris 1989, Bordas Cultures.
    SÉNAC (P.)
    L’Occident médiéval face à l’Islam (l’image de l’autre), Paris 2000, Flammarion.
    SOYEZ(J. -M.)
    Quand les Anglais vendangeaient la France (d’Aliénor à Jeanne d’Arc), Paris 1978, Librairie Arthème Fayard.
    STEFANON (L.) et RENAUD (M.)
    Le Mont de Domme (Bastide royale en Périgord), Gavaudun 1994, Fragile, coll. La mémoire des pierres.
    STRIBLEY (M.)
    La calligraphie, Paris 1986, Dessam et Tolra.
    TOUATI (F. -O.)
    Vocabulaire historique du Moyen Âge, Paris 2000, La Boutique de l’histoire.
    TOUSSAINT-SAMAT (M.)
    Contes et légendes des Croisades, Paris 1961, Nathan.
    TROYES (C. DE)
    Le Chevalier de la Charette (ou le roman de Lancelot), Paris 1992, Librairie Générale Française, coll. Le livre de poche.
    VERDON (J.)
    Rire au Moyen Âge, Paris 2001, Perrin.
    WENZLER (C.)
    L’héraldique, Rennes 1997, Ouest-France.
    WENZLER (C.)
    Architecture du château fort , Rennes 1997, Edilarge/Ouest-France.

 
    Remerciements
    À Bréa mon épouse, pour avoir toujours su dans les moments de doute, m’encourager avec patience, sagesse, calme, abnégation et amour, acceptant de saisir, de relire et de remettre en page les innombrables corrections qui ont jalonné la rédaction de cet ouvrage. Entre deux plats. Car elle est fort bonne cuisinière au demeurant.
     
    À mon fils Benoît, dit Manfred, mon plus sûr et plus fidèle « coach », mon directeur de conscience épistolaire, dont le talent dans la palette riche en couleurs de l’écriture (les poèmes des pages 45-46,189-190,238,274-275 et 347 sont de lui), du dessin et de la peinture, éclatera demain au grand jour. S’il surmonte quelque mésaventure de passage, celle de quelques cuistres ou autres jaloux.
     
    À Catherine, son amour et son épouse, sans laquelle ce roman n’aurait pu voir le jour. Qu’elle en soit ici remerciée du fond du cœur.
     
    Au Dr Michel Philippe, pour les conseils éclairés qu’il m’a donnés sur l’architecture et la navigation des nefs médiévales et sur l’utilisation des termes anciens de notre belle langue d’oc. Il sait cependant qu’il n’est pas responsable de mes interprétations romanesques.
     
    Au Dr André Gilloux et à son épouse, sans qui rien n’aurait été possible au départ. À la croisée des chemins.
     
    À mes filles Isabelle et Hélène, moins absorbées par leur maternité, leurs recherches académiques ou leur travail, pour avoir su prendre le temps d’une escapade moyenâgeuse.
     
    À tous mes amis et à tous nos auteurs (ils sont aussi devenus nos amis). Ils furent les premiers et les plus enthousiastes de mes lecteurs. Complaisance Amicale ? Peut-être. Les connaissant, j’en doute cependant. Eu égard à leurs premières critiques. Elles furent rarement féroces, souvent bien fondées et parfois acceptées. Voire corrigées (je l’espère) pour le nouveau tirage de ce roman.
     
    À vous tous, amis lecteurs, français, britanniques, allemands, italiens, espagnols, belges, canadiens ou suisses, rencontrés à l’occasion d’une dédicace ici ou là, dans une librairie ou lors d’un salon du livre, qui avez partagé ce voyage dans notre histoire commune. En ce milieu du XIVe siècle, au cœur du Périgord et dans d’autres lieux de l’Occident et de l’Orient.
     
    Hugues de Queyssac,
    Calviac-en-Périgord, le 12 mai 2008.