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Le Druidisme

Le Druidisme

Titel: Le Druidisme Kostenlos Bücher Online Lesen
Autoren: Jean Markale
Vom Netzwerk:
(Salomon), Cultes, mythes
et religions , 4 vol., Paris, 1905-1912.
     
    RENARDET (Étienne), Vie et
croyance des Gaulois , Paris, 1975.
     
    SAILLENS (E.), Nos Vierges noires ,
Paris, 1945.
     
    SÉBILLOT (Paul), Le Folklore de la
France , nouv. éd., 1981-1984.
     
    SJOESTEDT (M. L.), Dieux et
héros des Celtes , Paris, 1940.
     
    DE SMEDT (Marc) et autres, L’Europe
païenne , Paris, 1979.
     
    TOUTAIN (Jules), Les cultes païens
dans l’Empire romain , vol. III, Paris, 1921.
     
    VAN GENNEP, Manuel de Folklore
contemporain , Paris, 1935-1947.
     
    VARAGNAC (André), L’Art gaulois ,
nouv. éd., 1964.
     
    VENDRYES (Joseph), La Religion des
Celtes , Paris, 1948.
     
    VRIES (Jan de), La Religion des
Celtes , Paris, 1963.
     
    REVUES :
    Revue Celtique (Paris), Études Celtiques (Paris).
    Revue de l’Histoire des Religions (Paris), Ogam-Celticum (Rennes).
    Revue des Traditions populaires (Paris).
     
    ----
    [1] Voir Jacques
Ellul, La subversion du Christianisme , Paris,
Le Seuil, 1983.
    [2] Voir J. Markale, Vercingétorix , Paris, Hachette, 1981.
    [3] Encyclopédie des Sciences religieuses .
    [4] Voir
J. Markale, Le Christianisme celtique et ses
survivances populaires , Paris, éd. imago, 1983.
    [5] C’est
malheureusement le cas de ceux qui persistent à affirmer que le Barzaz-Breiz,
d’Hersart de la Villemarqué, surtout les premiers chants dits
« historiques » du recueil, sont authentiquement populaires. D’une
part, on sait maintenant, par la critique interne du texte breton, que ces
chants « miraculeusement retrouvés » dans la mémoire populaire
bretonne ont été composés d’abord en français et traduits ensuite
maladroitement en breton. D’autre part, La Villemarqué avait beaucoup de talent
et de nobles intentions : il voulait donner à la Bretagne l’équivalent de
ce qui se trouvait, en manuscrits du Moyen Âge, au Pays de Galles et en
Irlande. C’est pourquoi, peut-être en partant de fragments de chansons
populaires, il a brodé, arrangé, développé ce qui lui tenait à cœur, démarquant
au passage tout ce qu’il connaissait des bardes gallois. Le premier chant du Barzaz-Breiz est présenté par la Villemarqué comme
un dialogue entre un enfant et un druide. Et La Villemarqué d’en faire une
sorte de catéchisme de la sagesse druidique. On peut tout pardonner à La
Villemarqué qui était un grand poète, mais que dire de ceux qui s’efforcent de
gommer la supercherie (que La Villemarqué a d’ailleurs avouée à la fin de sa
vie dans une lettre à son détracteur François-Marie Luzel) contre toute
logique ? Le dialogue supposé de l’enfant et du druide, que La Villemarqué
intitule Ar Rannou , « les Séries »,
est une trituration d’un chant populaire authentique, Gosperou ar Raned , « les Vêpres des
Grenouilles », sorte de litanies mnémotechniques fréquentes dans la
tradition populaire, et dont nous possédons plusieurs versions bretonnes. Il
n’y est évidemment pas question d’un quelconque « druide », et si le
mot s’y trouvait, il aurait été ajouté. Cela ne veut pas dire que les
« Vêpres des Grenouilles » ne contiennent pas quelques réminiscences
d’une tradition druidique, encore que cela soit bien problématique, cela veut
simplement dire qu’il est difficile, pour ne pas dire impossible, de retrouver
les druides dans un chant populaire. Et que dire du jeu de mots entre Rannou et Raned  ?
La Villemarqué était-il donc si innocent ?
    [6] On a été plus
loin dans ce domaine en voulant éviter à Jésus d’être juif, on en a fait un
Celte, chose normale puisqu’il était galiléen ,
donc galate ou gaulois (les deux termes étant des variantes d’un même mot).
Rabelais s’est moqué abondamment de ce genre d’étymologies, en particulier
avec  Gargantua (« que grand tu as », sous-entendu le gosier) et la
Beauce (« que beau  ce !).
    [7] J. Zwicker, Fontes Historiae Religionis Celticae , I,
p. 50.
    [8] J. Markale, L’Épopée celtique en Bretagne , 2e éd.,
Paris, Payot, 1975, pp. 59-76.
    [9] Je me suis
largement expliqué sur ce point dans mon Christianisme
celtique , Paris. Imago, 1983, pp. 28-48.
    [10] Sur ce sujet,
voir J. Markale, Vercingétorix , Paris,
Hachette, 1982, pp. 160-161 et 184-188.
    [11] Cité par
Guyonvare’h-Lc Roux, Les Druides ,
pp. 58-59.
    [12] Opinion de
Joseph Loth. Les principaux arguments sont les suivants : limites des Carnutes,
des Sénons, des Éduens et des Bituriges ; à

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